Vous N E Tes Pas Responsable De La Te Te Que Vous Avez

Vous N E Tes Pas Responsable De La Te Te Que Vous Avez

Cette phrase a été dite par Michel Colucci, dit Coluche, durant la deuxième moitié du XXème siècle. Coluche est un artiste et comique Français. Il était aussi surnommé le clown politique étant donné qu’il s’est présenté aux élections présidentielles de 1981. Cette phrase peut avoir plusieurs sens que nous allons essayer de comprendre. Tout d’abord, Coluche parle de la tête qu’on a, ce qui signifie au sens littéral, notre physique, nos traits, nos formes. En outre, cela Sni* to View peut aussi symbolise org à la naissance.

Ensuite, Coluche parl ce mot peut avoir de nous sont données faisons. A nouveau, emier, le mot gueule désigne nos expressions, ce que nous montrons sur notre visage. Les sens est connu grâce à plusieurs expressions notamment : « faire la gueule 9, « tirer la gueule Le second sens est une métaphore. Ce que nous faisons de notre gueule serait alors ce que nous faisons de notre inné, la manière d’utiliser les capacités qui nous sont offertes. Coluche introduit également une notion de responsabilité. être responsable signifie que nous devons répondre de nos actes.

La phrase nous dit donc que notre physique, tout comme notre inné, ne dépend pas de nos actes ni de nos

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choix. Ils nous ont été transmis à la naissance et nous ne pouvons pas les changer. Par contre, nous sommes seuls garants de la gueule que nous faisons, des émotions que nous montrons et exprimons sur notre visage ou avec notre corps. De même que la manière dont nous utilisons nos capacités, notre inné. Tout ceci soulève quelques questions : En quoi est-on responsable de la gueule qu’on fait ? Est-on entièrement responsable que de la gueule que l’on fait ou certains facteurs l’influencent-elle?

Où peut-on voir ce principe selon lequel nous ne sommes pas responsables de notre inné mais nous sommes responsables de os actions dans notre quotidien ? Ce principe peut-il également s’appliquer au décalage entre notre pensée et nos paroles, nos actes ? Vaut-il mieux faire une certaine gueule plutôt qu’une autre ? Pourquoi ? Mais, il ne faut pas perdre de vue que Coluche était un humoriste. Il avait donc pour but de faire réagir tout en falsant rire donc en restant léger. Coluche nous dit que nous sommes responsables de la gueule que nous faisons.

Mais en quoi sommes-nous responsables de la gueule qu’on fait? Et aussi, sommes nous réellement les seuls responsables de gueule que nous faisons? En premier lieu, nous allons voir en quoi nous sommes esponsables de la gueule qu’on fait. Il faut savoir que nous décidons de l’attitude que nous voulons montrer. Nous décidons avec notre pensée, notre cerveau. Notre responsabilité vient donc de notre ca acité à choisir une attitude plutôt qu’une a *AGF 9 rif q cerveau. Notre responsabilité vient donc de notre capacité à choisir une attitude plutôt qu’une autre.

En effet, la gueule que nous faisons, que ce soit un sourire ou des pleurs, dépend entièrement de notre choix. Sil nous arrive un événement marquant, nous pouvons choisir de ne pas montrer nos émotions, ce que nous ressentons, au monde extérieur, de les acher. Ou à l’inverse, nous pouvons décider de les montrer. Le choix de faire une certaine gueule dépend de nous. De même, nous sommes responsables des actes que nous faisons. Bien que nous ayons reçu une certaine éducation, que nous ne sommes aucunement responsables de notre inné mais nous sommes responsables de nos actes.

Ils ne nous sont pas dictés de plus haut ni inconscients. La manière dont nous utilisons nos capacités est notre responsabilité, elle n’est aucunement reliée à nos capacités. Pour en conclure, de ce point de vue, nous sommes entièrement responsables de gueule que nous faisons. Par contre, nous décidons, en effet, de la gueule et des actes que nous faisons, mais dans quel but? Nous choisissons de faire une gueule plutôt qu’une autre ou de telle ou telle chose pour satisfaire la société, ou en tout cas, pour être dans les « normes’ du monde actuel. Depuis longtemps, la société a pris le dessus sur nos décisions.

Nous faisons nos choix en fonction de la société. Elle est au centre de nos choix, elle est en grande partie la raison pour laquelle nous la société. Elle est au centre de nos choix, elle est en grande partie la raison pour laquelle nous faisons un certain choix. Nous ne pouvons plus dire que nous sommes les seuls responsables de la gueule que nous faisons. En essayant de se calibrer aux normes de notre société, elle est liée à nos décisions, nos choix. Ils ne sont donc pas entierement de nous. De ce point de vue, nous ne sommes pas seuls responsables, bien que le choix reste de nous.

La société et le monde actuel ont leur part de responsabilité. Au final, dans les deux cas, que nos choix soient dirigés par la société ou non, ils viennent de nous. Nous avons en effet, plusieurs ralsons qui influencent nos choix mais nous sommes seuls à prendre une décision en conscience. Comme l’a dit Coluche, nous sommes bien les seuls responsables de nos actes, de nos choix et de notre gueule. Une deuxième question se pose. Où peut-on voir ce principe selon lequel nous ne sommes pas responsables de notre inné mais nous sommes responsables de nos actions dans notre quotidien ?

Ce principe peut-il également s’appliquer au décalage entre notre pensée et nos paroles, nos actes ? Malgré le poids de la norme, de la société, du régime politique, il est encore possible d’avoir des attitudes dont nous sommes maitres. Prenons la période de la deuxième guerre mondiale en Belgique en exemple. Sous l’occupation allemande, nous n’étions pas libres de faire ce que nous décidions Belgique en exemple. Sous l’occupation allemande, nous n’étions pas libres de faire ce que nous décidions, nous n’étions, en quelques sortes, plus responsables de la gueule que nous faisions.

Nous étions sous le contrôle de la Gestapo. Certains ont fait plus que ce qui leur était demandé, des administrations sous pression ont fourni des listes de juifs ? l’ennemi. Ce qui a permis de les envoyer plus rapidement vers les camps. Bien que sous pression, ils étaient responsables de leurs ctes, des faits. D’autres, par contre, ont choisi de cacher des juifs, d’adopter leurs enfants, de les aider au péril de leur vie. Tous ceux-là ont, eux aussi, été entièrement responsables de leurs actes.

Certains ont décidé d’attendre que la mauvalse période passe et de ne rien faire pour ne pas avoir à en subir les conséquences. Eux aussi étaient responsables de leurs actes. Dans chaque situation, nous avons plusieurs possibilités qui s’offrent à nous. En choisir une plutôt qu’une autre ne fait pas de nous quelqu’un d’irresponsable envers nos actes. Quel que soit le oment, quelle que soit la situation, quel que soit notre choix, nous restons, à chaque instant, chaque jour, responsables de nos actes, de la gueule que nous faisons, avec toute la difficulté que cela représente.

Ce principe peut également partiellement s’appliquer aux différences entre la pensée et la parole. Il y a, parfois, un décalage visible entre notre pens entre la pensée et la parole. Il y a, parfois, un décalage visible entre notre pensée et notre parole. Mais nous sommes tout autant responsables de ce que nous pensons que de ce que nous disons. En effet, personne ne peut diriger notre pensée, elle ne nous a as été donnée à la naissance, elle ne fait pas partie de notre inné. Nous la construisons nous même. De même que la parole.

Bien que celle-ci fasse partie de nos acquis, nous choisissons de l’utiliser à notre façon, que ce soit à bon escient ou non. Nous décidons de ce que nous voulons dire. Nous sommes en droit de choisir entre plusieurs possibilités qui s’offrent à nous. Nous pouvons dire ce que nous pensons, dlre le contraire, ou ne rien dire et attendre. Dans les trois cas, le choix dépend de notre responsabilité. Depuis le début de notre vie, on nous apprend ? ?tre sincères et Coluche sous-entend dans sa phrase que le choix est entre nos mains, il ne nous reste plus qu’à faire le bon choix.

Dans sa phrase, Coluche nous dit que nous sommes responsables de la gueule que nous faisons. II sous-entend que nous devons faire une certaine gueule plutôt qu’une autre. Pourquoi ? Coluche nous pousse en effet à faire une certaine gueule plutôt qu’une autre. Il nous pousse, en fait, à ne pas tirer la gueule, bouder, montrer son mécontentement. Coluche qui tente par son travail de nous faire rire, essaye de nous faire comprendre qu’il faut sourire. Par définition,