Vanessa : Hani, crois- industrialisée nous m sociales? Tu ne sais de l’itinérant ne se ré choisi de se marginal Utopie Version Final Premium gy uanessaperto MapT,3 25, 2015 4 pages Eden-Vut (ville paradisiaque) Dans un café situé sur la Rue Sainte-Catherine, trois étudiants débattent vigoureusement de la mesure controversée pour contrer l’itinérance « Les pics de la honte Ces crocs, plantés devant les commerces du centre-ville montréalais, chassent les sans-abris de leur seul refuge. On tolère l’itinérance tant qu’elle reste invisible! Le Québec en tant que société démocratique ne peut se permettre de fermer pœil sur ce phénomène social, qui constitue désormais un enjeu de taille. Hani : Dans une société prospère comme le Québec, il ne devrait pas y avoir des sans-abris. Trop d’aide les enfoncerait encore plus dans le confort de la pauvreté. Swp to page or 4 ciété moderne et et des inégalités sage stéréotype fainéant qui a uses de l’itinérance sont multiples, les principales tant la d pendance aux drogues et à l’alcool, un milieu familial dysfonctionnel, la conjoncture ?conomique, la pénurie de logements à prix modiques ainsi que la réforme dans le système de la santé mentale. Krystelle (étudiante de la France) :
Le gouvernement libéral n’a-t-il pas promis de mettre en place une politique nationale pour lutter contre l’itinérance? Vanessa : Je ne suis pas convaincue de la sincérité de nos politiciens. En fait, le budget du ministre Leitao fait bien peu our la politique nationale de la lutte à l’itinérance. L’approche d’austérité du gouvernement n’a qu’un seul but, celui d’assainir les finances publiques et non le sort des plus fragiles de la société. Le premier budget du gouvernement Couillard ne répond pas à la cause des plus démunis de notre société. Hani: Malgré la triste réalité vécue par des milliers de sans-abris, je ne vois pas ce que le Québec pourrait faire de plus pour cette cause. Vanessa : C’est pourtant simple, le gouvernement doit exiger la olérance zéro envers cette calamité qui, tel un cancer,4 ronge la dignité et la sécurité des sans-abris. L’itinérance est un mal que la société ne peut tolérer, il faut se mobiliser pour le vaincre, car ne rien faire risque d’être fatal.
Livre second : Système économique et social Eden-Vut, nichée dans le nord du Québec et reconnue pou PAG » OF d Eden-Vut, nichée dans le nord du Québec et reconnue pour son vaste territoire aux attraits naturels, se distingue par son économie prospère basée sur la pêche, la chasse et l’agriculture. De plus, les gouvernants de cette cité souveraine, éloignée des grands centres urbains, se félicitent de diriger une communauté égalitaire, sans toutefois leur imposer des règles dictatoriales.
Les inégalités sociales sont inexistantes, car la constitution stipule que chaque citoyen ait un travail correspondant à ses intérêts, un revenu uniforme pour tous, ainsi qu’un logement fourni par l’État. Heureux les exclus, car ici, ils seront rassasiés de justice. Dans ce paradis terrestre, le bien-être collectif prime sur l’égolsme prôné ar les villes industrialisées. Le système de santé L’universalité et la gratuité des soins en santé physique et mentale sont une priorité incontestable pour les autorités d’Eden-Vut.
En fait, il est obligatoire de se faire soigner aussitôt qu’une condition médicale se manifeste. Ainsi, les familles n’ont pas à subir le stress de prendre soin d’un être cher qui ne peut recevolr un sulvi médlcal, faute de ressources financières ou de disponibilité dans un centre hospitalier. Par contraste aux villes capitalistes, à Eden-Vut la santé es apitalistes, à Eden-Vut la santé est un droit pour tous et ne pas s’acquitter de ce privilège est passible de révocation de la nationalité et de l’expulsion.
L’éducation La tolérance zéro pour le décrochage scolaire est une règle du code de vie de la cité dont les autorités sont fières. La scolarité est obligatoire et financée en totalité par l’État, car elle est considérée comme un droit fondamental et non un privilège. En restant sur les bancs d’école jusqu’à l’âge de vingt-et-un ans, les jeunes évitent de tomber dans l’itinérance, la toxicomanie et ‘autres fléaux. À Eden-Vut, féducation est le moyen de cultiver l’égalité pour tous.
Par contre, même si tous les étudiants ne sont pas des Einstein5, il n’y aucun citoyen non diplômé. Le bulletin n’est pas uniforme pour tous, chaque étudiant a une grille d’évaluation personnalisée qui permet de valoriser ses forces et ignorer ses faiblesses. Ville chimérique, Eden-Vut, alimente mes songes de justice. Vanessa PERTO Eden-Vut (Ville paradisiaque) Présenté ? HéloiSe Archambault Cours d’écriture et littérature