Quels sont les conditions à rassembler pour obtenir un clone génétiquement identique a l’initial, le clonage végétal est il un danger pour l’envlronnement ? Sni* to View INTRODUCTION Le clonage est un suj le monde, on en parl or 19 e fascination dans le, dans beaucoup de film de science fiction.
Cest pour cette raison que nous avons choisi de travailler sur ce sujet Pendant notre enfance ou même maintenant, tout le monde rêve ou a déjà rêvé de pouvoir cloner quelque chose que ce soit un animal de compagnie pour ne jamais le perdre lors de la mort de ‘original ou de se cloner soi même pour avoir un frère jumeau et ainsi louper un cours ennuyant d’histoire géographie. Le clonage est devenu possible au XXO siècle grâce aux progressions dans le domaine scientifique.
Ces manipulations suscitèrent chez les chercheurs beaucoup d’espoirs pour l’avenir. Dans le monde, de nombreux scientifiques se sont appropriés cette pratique, en l’occurrence Ian Wilmut qui est a l’origine du premier mammifère cloné, la brebis Dolly. Cette pratique est questions aux quelles nous tenterons de répondre à l’issue de cette étude. Les questions sont les suivantes : Quels sont les onditions à rassembler pour obtenir un clone conforme,
Shettles greffe des cellules germinales dans des ovocytes dénoyautés. L’expérience est un échec, mais elle constitue un nouveau pas vers le clonage reproductif humain. 1983 : Première mère porteuse. Première plante transgénique. 1990 : Aux États-Unis est mis en place le projet « Génome Humain », dont le but est de déchiffrer le patrimoine génétique humain 1994 : Dix-sept embryons humains non viables sont clonés et cultivés jusqu’à un stade assez avancé pour certaines, ce qui constitue donc une nouvelle tentative de clonage humain. 97 : Le transfert de noyau de cellule adulte est réussi pour la première fois chez un mammifère, mettant au monde la célèbre brebis Dolly, par le Docteur Ian Willmut 1999 : Des scientifiques réussissent le clonage d’une cellule d’une femme infertile, qui s’est développe jusqu’au stade de quatre cellules, mais sans aucune transplantation in utero (pour des raisons éthiques et légales). 000 : – Premier clonage de singe, par la même technique que celle aboutissant à des vrais Jumeaux (technique de divlsion de cellules indifférenciées). – Les membres du projet « Génome Humain » réussissent ? dresser une cartographie presque complète du génome humain. comportant de nombreuses compatibilités génétiques avec l’Homme). – Premier clone d’embryon humain, dans le but d’obtenir des cellules souches par une firme américaine. Premier clone à but lucratif : il s’agit d’un chat domestique, nommé « CC » pour « Copy Cat » ou « Carbon Copy cloné par une firme américaine, et acheté environ 45 milles dollars (selon le Wall StreetJournal, la recherche sur le clonage des animaux domestiques est financée par un américain âgé de plus de 80 ans,à hauteur de plus de 3,5 millions de dollars). 002 : La secte des Raëliens et la Société Clonaid déclarent avoir réussi le premier clonage humain (il s’aglralt d’une fille nommée Eve), mais le résultat de leurs expériences n’a encore jamais été prouve. 004 : Le professeur Hwang déclare avoir obtenu des cellules souches embryonnaires humaines par clonage, mais ses résultats sont reconnus comme falsifiés. 2007 : Des chercheurs américains réussissent pour la première fois le clonage d’un embryon de primate (un macaque) à partir de la technique du clonage par transfert de noyau prélevé sur des cellules d’animaux adultes. ‘une cellule somatique adulte, une brebis nommée DOLLY.
Le 2 avril 1996, ce dernier et Keith Campbell, réalisent une manipulation génétique à partir de cellules de glande mammaire de la brebis adulte Geniees, dont le noyau cellulalre est transplanté dans l’ovule énucléé d’une autre brebis, nommée Belinda. 277 cellules-œufs sont créées, qui donnent naissance à 30 embryons. Un seul d’entre eux se développe jusqu’? l’âge adulte. Pour la première fois, un être viable issu de cette technique de clonage survit.
Les scientifiques écossais appellent la brebis « Dolly » en hommage à Dolly Parton, chanteuse méricaine dotée d’une poitrine avantageuse, car le clonage a été réalisé à partir de cellules de glande mammaire. Les chercheurs se sont Vlte aperçu qu’elle vieillissait rapidement. L’arthrite( Inflammation d’une articulation ) prématurée de Dolly est attribuée au fait que la cellule prise sur Belinda, alors âgée de 6 ans, comprend des télomère* raccourcis. En effet, la longueur des télomères est réduite après chaque division cellulaire.
De fait, Dolly a un patrimoine génétique vieux de 6 ans dès sa naissance La brebis sera euthanasiée en février 2003 à la suite de roblèmes d’arthrite précoce et de difficultés respiratoires. Son corps est exposé au National Museum of Scotland, à Édimbourg Le corps naturalisé de Dolly Télomère : Extrémité d’un chromosome intervenant dans sa stabilité et dans les processus cellulaires intervenant dans le vieillissement. PAGF s OF lg (« klôn ») qui signifie « jeune pousse ». Un clone est un être vivant, génétiquement identique à l’original (« donateur »), il est créé en laboratoire selon différentes techniques.
Cette pratique consiste à mettre à part une portion d’ADN du «donateur» où se rouve l’information génétique et à la reproduire à l’identique en l’introduisant dans une molécule d’ADN « porteuse » qui permet son grossissement. Ce procédé a pu être utilisé sur différents animaux grâce aux nombreuses progrès de la science au cours du précédent siècle. Mais aujourd’hui encore, malgré le progrès que représente le clonage de mammifères, aucun laboratoire n’a été en mesure de cloner un humain, même si certains affirment l’avoir déjà fait.
Dans la nature, certaines espèces non sexuées comme les bactéries utilisent le clonage pour se reproduire. En laboratoire, on l’expérimente sur des espèces sexuées. Les bactéries se reproduisent par division cellulaire. Quand elles se trouvent dans un milieu propice (généralement à une température et une humidité moyennes) elles peuvent se multiplier à une allure vertigineuse. Certaines bactéries ont développé une résistance aux conditions extrêmes. C’est pourquoi on en trouve dans tous les milieux. types de clonage 1) Le clonage reproductif Le clonage reproductifs se lg deux parties, la première de cette cellule somatique est extraite et implanté dans l’ovule vide de la donneuse. L’œuf contient maintenant le matériel génétique du donneur. Grâce à des chocs électriques et à des manipulations chimiques, l’œuf commence alors sa division et son développement. L’œuf poursuit son développement jusqu’au stade de plus de 100 cellules. La couche externe va former le placenta, la partie interne (futur embryon) contient les cellules souches.
La seconde partie consiste a implanter l’embryon dans l’utérus de la femme receveuse. II peut alors se développer jusqu’au stade de fœtus. Le bébé donné est la copie génétique du donneur de la cellule somatique. Le bébé obtenu ne sera pas tout à fait la parfaite copie du donneur, car il héritera de petites quantités d’ADN mitochondrial(molécule d’adn) contenu dans l’ovule énucléé ainsi que d’un environnement fœtal différent. https://vmw. youtube. com/watchòEL7gN8m026Mw (Albert Jacquard) EN IMAGE 2) Le clonage thérapeutiq d’utiliser ces cellules souches dans des thérapies pour soigner diverses maladies.
Shoukrat Mitalipov et son équipe de scientifique réalisèrent en 2007 le premier clonage thérapeutique sur des primates, ce fût un succès. Ils la reprodulront quelque temps plus tard sur un homme. Mais qu’est ce que le clonage thérapeutique ? Cette technique d’obtention d’embryon diffère peu du clonage reproductif. Elle consiste à prélever, sur un organisme adulte, une cellule somatique (non sexuel). Il peut s’agir, par exemple, d’une cellule de peau. Cette cellule est fusionnée avec un ovocyte énucléé, ( préalablement privé de son noyau) on peut aussi n’introduire dans l’ovocyte que le noyau de la cellule adulte.
Après une rapide décharge électrique, le développement de l’œuf en embryon commence . Celui-ci est ensuite cultivé pendant quelques jours in vitro dans une ?prouvette, jusqu’au stade blastocyste en d’autre terme jusqu’à 7 à 8 jours de développement ,le stade auquel les embryons sont physiologiquement prêts à se fixer dans la muqueuse utérine. A partir de la, nous pouvons distinguer les 2 types de clonage, dans le clonage reproductifs, l’embryon est transféré dans l’utérus, pour y poursuivre son développement.
Pour le clonage thérapeutique, l’embryon ne quitte pas lieprouvette dans lequel il est mis en culture, ce dernier ne depasse donc pas le stade de blastocyste Comment soigner une maladie avec le clonage thérapeutique ? Prenons l’exemple d’une personne atteinte de diabète, une maladie provoquée par un manque d’insuline ( substance produite par l’organisme qui régule le taux de sucre dans le sang). Cette maladie est dût par l’organisme qui régule le taux de sucre dans le sang). Cette maladie est dût à une défaillance d’une certaine zone de pancréas.
Jusqu’a present pour soigner definitivement cette maladie, il falait changer l’organe defectueux en introduisant un organe sain, le problème est que l’organisme ne tolère pas les « corps etrangés » et donc les rejette. C’est la que le clonage hérapeutique intervient, on prélève une cellule de peau sur la personne malade, on retire le noyau et on le met dans un ovule, ensuite on déclenche le processus de division cellulaire, on obtiendrait donc un embryon constitué de cellule souche ayant le même patrimoine génétique que la personne malade.
Ensuite il faudrait envoyer un signal et les cellule souche se différencierait en cellule de pancreas, puis pour finir, greffer les cellules de pancréas saine sur le pancréas malade. Dans ce cas, on ne retrouverait plus le problème de rejet étant donné que le atrimoine génétique des cellules greffées serait le même que celui du receveur Quelques maladies guéries : – Alzheimer – Parkinson Diabète PAGF lg que la plante sur laquelle il est planté.
Le marcottage consiste à prendre une branche d’une plante et de la replanter, de sorte à ce que la plante repousse et reproduise des racines, elle aura un code fgénétique identique à la plante mère. (cette technique est utilisée naturellement, par exemple chez les fraisiers qui se reproduisent en enracinant un bourgeon, ainsi une nouvelle plante pousse ayant le même code génétique que la plante initiale). Le bouturage consiste à prélever une feuille et la tige d’une plante et de le replanter, ainsi une nouvelle plante va poussé à partir de ce morceau. Par bouturage naturel des morceaux de plante peuvent repousser s’ils se retrouvent placés dans de bonnes conditions, et redonner une plante adulte complète. ) La culture in vitro ressemble au bouturage, mais a lieu en laboratoire et la plante repousse dans un flacon, au sein d’un milieu de vie idéal. Cette technique est la plus utilisée car elle permet de produire une grande quantitée de plantes ? l’identiques rapidement. C’est cette technique que nous vons utilisé pour réaliser notre expérience.
Les interêts et les dangers du clonage : 1 -intêrets Le clonage in vitro, notamment , permet de produire à faible coût, délocaliser de grandes quantités d’individus, en effet, alors que la production par semis demande de grandes surface, et beaucoup de moyen, la production par clonage in vitro permet de produire beaucoup plus de plantes dans un espace bien plus réduit. En pleine terre, la reproduction de végétaux nécessite des serres immenses, beaucoup de temps et de main d’œuvre; à l’inverse le clonage en laboratoire s’affranchit de l’es