ANTENNES A BALAYAGE ELECTRONIQUE )INTRODUCTION problème des anten pour modifier la zo or 13 to View d’un radar classique, il faut faire tourner le projecteur vers la direction choisie. Mais ? cause de l’inertie du projecteur, ce mouvement ne peut être que continu et faiblement rapide et ne permet donc pas facilement de s’arrêter dans les zones intéressantes. Le problème est donc de s’affranchir de l’inertie mécanique de l’antenne : il faut pouvoir, l’antenne restant fixe, modifier quasi instantanément la direction du rayonnement, afin d’utiliser pleinement les possibilités du radar.
Il) PRINCIPE DU BALAYAGE e plan d’onde aura subi le déphasage suivant : q. F=q [DF+ (d sin( q ). 2p/l)] Le module du champ rayonné dans la direction q étant : E( q)l = n EO sin( nF/2 sin( F/2)) (avec n=nbre total de sources) e champs rayonné est donc maximal dans la direction qmax lorsque F=O, d’où la relation entre le déphasage à introduire entre chaque source élémentaire et la direction de rayonnement qmax : – d sin( qmax ). 2p/l une action sur OF permet alors de modifier la direction privilégiée qmax et donc de positionner le faisceau dans l’espace .
Cest le principe du balayage électronique. Ce dispositif permet
Le déphasage entre les sources S est alors lié à la longueur électrique Dl de la ligne entre deux sources et à la longueur d’onde guidées lg par la relation : DF = 2P Dl Ag Une simple variation de la fréquence émise permet alors de odifier lg, donc la position du faisceau. EMBED pantshoppro IV )EXEMPLES DE RÉALISATIONS ‘un des facteurs prépondérant est le prix des déphaseurs. En général, la réduction du coût va dans le sens dune réduction du nombre de sources qui s’accompagne d’une réduction du volume balayé. alayage, qui au mieux peuvent atteindre plus ou moins 600, et plus couramment 450 – les limites pratiques liées à la précision de réalisation de OF (rayonnement déformés) Toutefois, les perspectives offertes par le balayage électronique permettent d’espérer une évolution considérable des erformances des radars. On peut imaginer d’utiliser une structure constituée d’un grand nombre d’éléments comportant chacun leur propre émetteur récepteur.
Les signaux de réception provenant des diverses sources pourraient alors par exemple être combinés de façon numérique et fournir des diagrammes de forme sophistiquée, comme des diagrammes multifaisceaux (par exemple, avec deux faisceaux regardant en même temps dans deux directions différentes). Cependant, l’éventail très large des possibilités offertes posera, dans chaque cas, le problème d’une définition précise des esoins sans laquelle il n’est pas possible d’aboutir au meilleur compromis coût-efficacité. r,… jkgjnbaZWaJNmb? ,%4, ]ci7a SA 3 YE-YYYYYYyyyyyyyyYffj’ YYYyyyyyyyrnyyjYYYYYYYYYV’YYYYY c=9X YYYDYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYY-IYYYYYYYYYYYYYYYYYYYDYYYYYYYYY mjjytw ;YYYYYYYYYYYYYYYYYYYDYYYYYYYYYYY? p YYYYYYYYYYYYYYYYYYYYDO’YYY, 0DWYb0D’DDWYYYY. Yi_JUGFb kcc, IWSYCI F50 LYYYYYYYYYYYYYYY YYYYYYYYYYYYYYYYY 1 p tihhmjYYYYYYYYYYYYYYYYY9m2YYYYYYYYYYYYYYY9 QegEk krui’ aSK-8A$%! +DIUO% )$9B . I METAFILEPICT ‘JCi7a „qrowabGQ> SA hzYYYYYYYYY YYYYYyYYYYYYYYYYYYYYYYY-bYYYYYYYYYYYYYYYYYY ‘ I c nbPBMJJQ<' O? nwuxu* uMK02. HAOO kkZVGQ[Q uk nfx-y YUUGFb_kCC, IWSYCI [YYYYYYYYYYYYYYYDYYYYYYYYYYYYYYYLYYYYYYYYYYYYYYYYDYYYYYY YYYYiDYY M • LYYYYYYYYYYYYYYY YYYYffDYYYYYYYYY 1 IYYYYYYYYYYyyyyyYYffDYYYYYYYYYYYYYY'jYYYY9 P Q"Ek krui aSK-8A$%! _wxkrfXguATklhsAhkvg "O'YYYYYYYYYYYYYYYYYYYYS€YYYYYYYYYYYYYYYMYYYYYYYYYYYYYYYY YYYDYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYDYYYS ÂyyyyyyyyyÂyy- {l t I flyxxymfXKHJR p_Shkdrllp_ DYYYYYYYYYYYYY fYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYA -YYYYYYYYYYYYYYYYYYY YYYDYYYYYYYYgÇYYY ewwvm_-t