Theses Reel Photo Cm9

Theses Reel Photo Cm9

Le réel, la ressemblance et la photographie Les premiers arts picturaux seraient apparus à cause de ce qu’an appelle le complexe de la momie, qui est le besoin fondamental de Ihomme de se défendre contre le temps destructeur. L’image devient alors un substltut magique de la représentation, qui exorcise le temps, sauve l’être de la mort. I – André Bazin : Onthologie de l’image photographique (1945) L’invention de la photographie entre dans cette idée, et d’après Bazin, le sauvetage de l’essence du vivant est complètement ccompli.

Car pour lu image qui est tellem or 3 du réel. Cela serait p ibL••- la création de l’image objective. rs à travers une donne l’illusion ervient pas dans ue, elle est donc « Pour la première fois, entre l’objet et sa représentation, rien ne s’interpose sinon un autre objet : l’oeil mécanique de l’objectif » Pour ce théoricien, ce n’est plus une représentation du réel mais le réel même, car il sagit d’une emprunte laisser par l’objet.

Cet aboutissement de la ressemblance n’est autre que le produit ‘une croyance née chez les hommes qui firent les premières images : face à une image objective, on est obligé de concevoir que le sujet a exister un Swipe

Désolé, mais les essais complets ne sont disponibles que pour les utilisateurs enregistrés

Choisissez un plan d'adhésion
to vlew next page un Jour. A partir de la création de la photographie, les arts se sont libérés de l’obsession de la ressemblance. Selon Bazln, cest une conséquence de cette invention. Il Roland Barthes, La chambre claire, 1980 : le « ça-a-été » Selon Barthes, il y a un message sans code dans la photographie, une trace, une emprunte laissé par le réel qui nous atteint et nous rattache.

La photo est une continuité de la forme initiale qui pourtant fait partie du passé. « Ca a été » réel, et on ne peut pas le nier. http://clicnet. swarthmore. edu/litterature/moderne/barthes/ch . html (petit extrait de la pensée de Roland Barthes qui complète ce cours) Ill — Benjamin (1930) La photographie, selon lui, s’opposerait à cette idée de témoignage qui existait dans les autres représentations picturales. Ce serait à la fois un « ça a été » comme le pense

Barthes, mais aussi une présence réelle : la photographie est la trace de l’objet photographié et une représentation qui est réellement présente sous nos yeux. IV – Pierce, Why is a sign ? Lui développe la théorie de la sémiotique : c’est à dire l’idée qu’il y a trois sortes de signes dans les représentations picturales : les symboles (des conventions), les icônes (une ressemblance) et les indices (traces, empruntes ou externalité) La photographie serait à la fois iconique et indicielle, car c’est une trace chimique d