TD 12 : Histoire médiévale Ordonnance sur les gens de guerre (1439) La Pragmatique Sanction selon Jean Jouvenel des Ursins et Thomas Basm La guerre continue et en plus on a des routiers qui sévissent c’est un des paradox des temps de violenc routiers, en même te ce qui inquiète les pri Liordonnance prise or 11 Snipe to View s temps de paix sont rras relance les forcer son pouvoir autonomie. ns répond aux problèmes politiques, militaire et sociale. Mais elles ne sont pas effectives tout de suite.
Il donne : Le droit au roi de lever des troupes et des impôts extraordinaires donc plus de guerre particulière. ?a réduit le pouvoir des princes au profit du roi ce qui participe au climat de contestation qui représente la Praguerie qui une revolte féodal et réunis beaucoup d’Armagnacs mais dure peut longtemps, Charles VII accorde son pardon pour ne pas se mettre à dos la moitié des nobles, il envoi son Dauphin Louis dans le Dauphiné pour l’éloigner des menaces.
Les troupes seigneuriales servent le roi dans la reconquête de la Normandie et dan Swlpe to vlew next page dans la Guyenne. Le roi nomme les capitaines donc ça empêche les nobles de se
Donc, à travers tout ce texte on s’inquiète de leur expliqué ce qu’il va leur arrivé si il pille les bons français. Pour financer ses troupes il faut un financement important donc un impôt qui devient permanent, le roi n’a plus besoin d’avoir les accords des états généraux. Cette mesure est suivit par celle de 1445. En 1444, on a fait une rêve de deux ans avec l’Angleterre mais dure jusqu’en 1449. Après cette trêve, Charles VII s’entend avec le chef des écorcheurs et en 1445 fait une ordonnance qui est d’organiser l’armée.
Elle est organisé en lance qui est l’arme qui sert à charger donc c’est un groupe d’homme où il y a un cavalier avec deux archers, militairement c’est efficace. Il recrute 15 capitaines chacun à la tête d’une grande compagnie avec 100 lances. En plus, dans les moments de combat on a des compagnies de petites ordonnances surtout en Guyenne et Normandie, c’est 400 hommes. On a des gardes d’archers en paroisse qu’on lève en cas de nécessité. Et le développement d’une artillerie royale. Cest comme ça que se finit la guerre d PAG » 1 nécessité.
Et le développement d’une artillerie royale. Cest comme ça que se finit la guerre de Cent Ans avec la reconquête de la Normandie et la Guyenne. Boris Bove : « la formation de cette armée permanente contribua a celle d’un milieu professionnel désormais isoler du reste de la société Donc continuation d’un mouvement qui se cristallise avec cette ordonnance. « cette résolution prenait acte d’une évolution patente depuis les années 1360 en en corrigeant les effets pervers » Donc on a une professionnalisation qui règle es problèmes de routiers.
Cette armée permanente survit à la fin de la guerre de 100 ans en 1453. On parle parfois de formation de nation. La pragmatique Sanction selon Jean Jouvenel des Ursins et Thomas Basin Charles VII est déshérité en 1420 suite au traité de Troyes et se réfugie à Bourges, à la mort de son père sa légitimité et toujours remise en question mais il est sacrer à Reims en 1453. Il veut redresser le royaume notamment développer le gallicanisme, il profite de la faiblesse de la papauté pour donner plus de liberté ? l’Église de France.
Le concile de Constance. Le nouveau pape est Eugène IV qui a 60 jours pour abdiquer. Cest dans ce contexte de crise qu’il met en place la Pragmatique Sanction. Thomas Basin est un chroniqueur et un conseiller du roi, il revient sur le contexte de crise après la Pragmatique Sanction, il montre comment elle fut difficile à mettre en place et comment le roi l’appli PAGF30F11 Pragmatique Sanction, il montre comment elle fut difficile ? mettre en place et comment le roi l’applique en prenant des libertés notamment dans la nomination des clercs.
Jean Jouvenel des Ursins est un historiens et diplomates français. Il montre les problèmes pour la nomination des clercs. Dans quelle mesure, Charles VII a-t-il mis en place la pragmatique Sanction et quelle en est son application ? I – Charles VII : protecteur du gallicanisme A – La convocation d’une assemblée à Bourges ‘envie de donner de nouvelles libertés à l’église du royaume se renforce à partir du XVe siècle. À partir de 1436, son attitude avec le pape commence à changer.
Le roi décide de convoquer une assemblée pour éviter un nouveau Schisme et faire valoir les droits de l’Église de France, il convoque plusieurs évêques et abbés. Son ordonnance tend à établir un lien privilégié entre le roi de France et l’Église de France. Charles VII connait des difficultés, il aurait pu facilement imposer ses idées si il n’avait pas eu de corruption au sein de l’Assemblée. En effet, certaines personnes ne sont pas résolus à prendre des décisions qui vont contre les intérêts du pape, qui préfèrent se rapprocher du pape.
B Inspiration des conciles précédents L ‘Assemblée doit discuter de 23 décrets négocier à Bales, Charles VII avait déjà revendiquer le droit de percevoir la moitié des bénéfices. Il a envoyer en 1436 une ambassade à Bales mais le concile avait PAGFd0F11 le concile avait pris des décisions plus sévères donc Charles VII st bloquer car si il suit le concile de Bale il risque de provoquer un nouveau Schisme et si il sult le pape il ne pourra pas donner plus de libertés à l’église gallicane donc il ouvre l’Assemblée de Bourges. Cette Assemblée semble vouloir se détacher du pape ce qui n’est pas l’intention du roi.
Il – Devenir indépendant du Pape sans l’abandonner pour autant A – Affaiblissement de Rome Au Moyen âge les papes pouvaient réorganiser les monarchies mais avec le Schisme, le pape se voit réduit dans ses pouvoirs. Les questions fiscales sont celles qui font le plus parler, d’abord es décrets sont approuvés par le pape dont l’abandon d’un impôt reversé au Saint Siège, les évêques et les abbés sont nommé par le chapitres ou monastères mais le roi peut avancer son choix, etc. Charles VII accomplit ce que Philippe le bel voulait donc affaiblissement du pouvoir du pape.
B – Réaction pontifical La Pragmatique Sanction est inacceptable pour le pape car le Saint Siège se trouve privé de précieux revenus, on entame des négociations pour annuler les décisions du concile de Bourges mais elle demeure justifier pour la morale publique et l’équité. Plus les papes veulent y toucher plus elle semble inébranlable. Eugène IV rejette chaque décision mais Charles VII est soutenu donc la Pragmatique sanction a du mal à se mettre en s 1 chaque décision mais Charles VII est soutenu donc la Pragmatique sanction a du mal à se mettre en place.
Ill — L’application et ses premiers écarts A Des électeurs libres La Pragmatique Sanction est juste mais son application doit être revus. L’Assemblée ne voit pas d’inconvénient que les rois et les princes interviennent dans des affaires s’ils respectaient les droits. Charles VII confie ses lettres à des officiers pour intimider les électeurs. Le roi applique la loi que quand il y trouve son ntérêt. À Orléans, le maître de l’artillerie du roi qui prépare l’élection de son fils envoi des lettres de menace aux électeurs au nom du roi, ce qui choque le pape.
Mais parfois, Charles VII n’arrive pas à faire nommer ses choix. B- La question financière Il voulait se montrer comme le protecteur de ‘Église de France. Le clergé ne paye pas la taille mais comme les impôts ne peuvent recouvrir ses grandes dépenses pour cette expédition. Donc ? l’argent des clercs, il préfère emprunter à ses argentiers, il ne veut pas toucher aux privilèges de l’Église. La Pragmatique Sanction révoit de renverser à Rome une double décime. Il protège les clercs de son royaume mais il ne protège pas les chrétiens en Orient.
Ainsi, la Pragmatique Sanction veut être vu par Charles VII comme la libération de l’Église gallicane mais affaiblit considérablement Rome car le pape ne peut pas élire le plus grand nombre de clercs, car le roi y joue un rôle prépond 6 1 car le pape ne peut pas élire le plus grand nombre de clercs, car le roi y joue un rôle prépondérant. Thomas Basin prône la modération du roi alors que l’autre texte nous montre la pression qu’exerce le roi sur les électeurs. C’est un pas important dans ‘émancipation de la monarchie vis-à-vis de l’Église.
Correction La Pragmatique Sanction a été prise à Bourges car Charles VII n’a jamais vraiment vécu à Paris, elle est considéré comme le début du gallicanisme mais on le fait remonter au règne de Philippe le Bel. Les rois de France deviennent moins puissant et conteste moins la papauté qui commence dès le XIIIe siècle à s’organiser en théocratie avec l’idée que le Pape en tant que successeur de Pierre est le dirigeant spirituel et temporel donc il peut commander en tant que prince. Surtout au XIV e siècle, la papauté reçoit des sommes d’argent. Comment s’organisait la fiscalité avant la théocratie ?
Si on est clercs on a un bénéfice qui est un revenu qui en théorie permet de vivre. La chrétienté qui continue à s’étendre s’organise par paroisses, plusieurs sont réunis en évêchés avec à la tête un archevêque est à sa tête le pape. Les bénéfices est à la fois une charge et un revenu mis en place au XIIe siècle. Pour distribuer ces bénéfices on fait appelle à des collateurs ordinaires qui élisent, pour un abbé à la tête d’un abbaye c’est les moines qui élisent l’abbé, pour un évêque c’est les chanoines. Ce qui se développe au XIIIe sièc PAGF70F11