Synthèse évolution technologiques, risque et progrès

Synthèse évolution technologiques, risque et progrès

Cholvy Maëva 1 TSApp Depuis la maîtrise du feu, les techniques n’ont cessé d’augmenter en se perfectionnant, parcourant des domaines aussi vastes que variés, allant de l’agriculture à l’aéronautique. Pour certains, le progrès technique est synonyme de nouvelles technologies nécessaires à l’avancée du monde, pour d’autres, comme pour Georges Bernanos, grand défenseur de la liberté, c’est un fléau pour la société et la liberté humaine. « obélisques de l’industrie, vomissant contre le firmament leurs Sni* to Swp to page coalitions de fumées, ivilisation Un mo e g la liberté. ? c’est ce q et G. Bernanos pour la technique. ors eux décor de la ique est perdu pour ent C. Beaudelaire endre le progrès de Cest justement sur ce thème que porte le corpus proposé. Celui- Cl comporte une illustration datant de 1880 pour un poème de Victor Hugo dénonçant le travail des enfants, un extrait du roman de Louis Ferdinand Céline Voyage au bout de la nuit de 1932, ainsi que deux extraits d’articles : « Entretien avec Edgar Morin » de A. Rapin paru en Juillet 1997 et « Les ratés de l’âge industriel » de

Jacques Marseille datant de 2000, respectivement extraits du na28 du magazine d’information Label France

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et du n0239 de LIHistoire. Ce dossier soulève la question suivante : Le progrès technique est-il bon pour « Homme et la société dont il fait partie ? Dans un premier temps nous évoquerons la domination de l’Homme par l’évolution de la technique et plus globalement par la machine. Puis nous analyserons les répercussions de la technique sur l’Homme alnsl que sur la société et l’environnement. Les avancées technologiques ont au fil du temps, pris le dessus ur l’Homme qui en est devenu dépendant.

La technique domine à présent l’être humain et exerce sur lui une forme d’asservissement, ce qui l’empêche d’avoir une vie épanouie et heureuse. En effet, comme l’explique Louis Ferdinand Céline dans son ouvrage paru en 1932 lorsqu’il fut au cœur du fordisme, ces compagnons et lui-même ne devait ni penser ni réfléchir, mais agir comme des robots. La machine les a alors assujettis, car dans ces usines, le message était clair : « C’est de chimpanzés dont nous avons besoin b, les transformant ainsi eux-même en machines. L’illustration pour un poème de V.

Hugo dénonçant le travail des enfants représente parfaitement cet soumission, cet asservissement : la machine y est représentée par un monstre avec des engrenages en guise d’yeux, de la fumée sortant de ses narines et une gueule dangereusement dentée qui engloutit les enfants. Ces enfants sont pieds nus, pour la plupart accroupis, « appliqués » à la tâche, n’osant lever la tête et le regard par peur et esclavage de leur bourreau : la machine. Dans l’article « Les ratés de l’âge industriel » publié par L’Histoire en 2000, Jacqu