Susie Morgenstern

Susie Morgenstern

L’auteur L’auteur est Guy de Maupassant, un écrivain français de la deuxième partie du XIXème siècle ayant révolutionné la littérature française par ses nombreuses œuvres. On peut citer des romans tels que « Bel Ami », « Une Vie » ou des recueils de nouvelles tels que « Les Contes De La Bécasse » et « Boule de suif Les Nouvelles La folle a) Le narrateur est le voisin de la folle. Il est atteint de la goutte. ) Les actions décrites dans les nouvelles de cet ouvrage se déroulent en France, principalement dans les campagnes et les petites villes de provi folle la nouvelle se ro or7 oment de farrivée s V, c) la folle, 40 ans, seu M. Mathieu d’Endolin, vieille bonne, donne a manger 1870. Dans « La g de Cormeil au , seule, folle-défaite LJne folle, veuve et seule vivant avec une vieille bonne lui donnant a manger mourra convaincue dans sa bêtise de ne pas bouger, abandonner sur son matelas par les prussiens, se laissant mourir et ensuite dévorée par les loups. M.

Mathieu d’Endolin découvrit son cadavre un an plus tard environ. J’ai bien aimée la détermination dans la détresse de la folle, son idée fixe,

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intouchable. je n’ai pas aimée les prussiens et la tristesse de cette nouvelle. Jadis : il y a longtemps, avant. Bourru . renfrogné, peu accomodant Inerte : qui ne bouge pas, immobile Cortège : groupe de personnes Drue : vigoureuse, touffue Maniaque : qui a des traits o obsessionnels Ossement : os décharnés Linceul : pièce de toile Interminablement : qui ne se termine pas Lassitude : état de grande fatigue morale La bécasse a) Indéterminé. etites villes de provinces durant les années 1870. Dans « La Bécasse l’histoire se déroule dans la maison de province du baron des Ravots. La nouvelle se déroule sur une soirée. c) Baron des Ravots, plus de 45 ans, – baron, paralysie aux jambes. Joseph, se charge des armes d) Cette histoire nous raconte la vie du baron des Ravots cinq ans après son accident, une paralysie des jambes. Il continue toujours la chasse de son salon ou de son perron, cloué à son fauteuil. Il était excellent dans cette discipline.

Ce fût le meilleur de sa province 40 ans de suite ! Il lisait aussi, le temps qu’il ne passait pas à chasser. Il gardait contact avec le monde extérieur en demandant des nouvelles à ces convives ou ses amis passant par là. Dans sa maison existait aussi la coutume des contes de la bécasse qui consister à manger une bécasse puis raconter une histoire. J’ai bien aimé car ce passage est comme une introduction a l’histoire, le reste du livre est la suite car toutes les histoires qui suivent sont racontées par ses convives, le soir venu.

J’ai bien almé aussl l’attachement à la chasse que porte le baron des Ravots. Je trouve cela très bien qu’il n’ait pas abandonné sa passion. A mon avis, c’est ce qui lui permet de ne pas déprimer ou autre chose semblable. Je n’ai PAG » rif 7 Je n’ai pas aimé le fait qu’ils laissent les têtes comme des objets précieux, j’ai trouvé ça quelque peu déplacé. Vocabulaire : Domestique : serviteur, personne au service d’une maison Détonation . ruit produit par quelque chose qui explose Invraisemblable : improbable, qui n’est pas vraisemblable Vicomte : noble dont le titre est inférieur à celui d’un comte, un vice-comte Vestibule : pièce d’entrée d’une maison Réciproquement : pareil, de manière réciproque Crédule : nalf, qui croit facilement ce qu’on lui raconte Extasiaient : manifester son admiration Anxiété : inquiétude, trouble émotionnel d’insécurité Rissolait : faire cuire a feux doux pour dorer Pierrot a) Le narrateur est inconnu b) L’action se déroule dans la cam a ne, le long d’une route de Normandie, au centre du ans les années 1870.

RGF3CF7 Mais le quin ne jappait même pas. Mme Lefèvre arriva tout de même à porter de l’affection pour cette petite bête qu’elle eut gratuitement finalement grâce au boulanger. Elle en avait oublié l’impôt sur les chiens et quand on le lui demanda, elle prit la décision de faire « piquer du mas » au chien. Une fois dans le trou, le quin, il jappait ! Les deux femmes, saisies de remord, le regrettaient a un point qu’elles allèrent tous les jours lui donner à manger, la seule solution pour ne pas payer les quatre francs. Jusqu’au jour ou un autre chien arriva, plus fort que Pierrot.

Mme Lefèvre renonça et perdit Pierrot. J’ai aimé l’attachement et même l’amour que les deux femmes éprouvaient pour Pierrot. Je n’ai pas aimé la radinerie de Mme Lefèvre, elle aurait pût faire un effort pour sauver Pierrot. Vocabulaire Chamarrés : chargé d’ornements, souvent très colorés Écrue : se dit de matières textiles, de fils ou d’étoffes Larcin : petit vol Plate-bande : bande de terre plantée de légumes ou de fleurs, dans un jardin Parcimonieuse : économie de petite quantité Ostensiblement : que l’on ne cache pas ou que fon désire montrer Roquet : petit chien hargneux Pitance : nourriture

Freluquet : homme de petite taille Chaume : partie utilisée comme toiture de certaines maisons La rempailleuse a) Le médecin du pays, un ancien médecin parisien retiré aux champs. b) L’histoire se passe dans un village, l’histoire fût racontée au médecin trois mois plutôt avant que la vieille femme ne décède c) Personnages • La vieille femme, morte et l’âge n’est pas précisé, parents morts décède durant l’histoire, rempailleuse non-respectée, ne vivant que pour une chose, elle errait dans sa voiture, haillonneuse, vermineuse, sordide.

Le vieux médecin, retiré aux champs après avoir était médecin ? Paris, c’est le narrateur de l’histoire. d) C’est l’histoire d’une vieille femme rempailleuse vivant dans la misère qui un jour, voit un petit garçon qui pleurait. Cétait un bourgeois qui pleurait car l’on lui avait volé un sou. Pour une raison Inconnue, cette femme lui donna toutes ses économies, sept sous. La femme l’embrassa, de tout son cœur, puis s’en alla. Elle ne fit que rêver et espérer revoir cet enfant qui lui apportait tant de bonheur.

Elle le revu, un jour, derrière l’école, lui redonnant de l’argent. Puis continua quatre années durant. Il fût temps pour lui d’aller au collège et les vacances, revenant out fière, il ne lui parlait même pas, passant devant elle avec ses grands airs de bourgeois. Un jour, elle tenta le suicide et fit emmener à la pharmacie ou il travaillait. En la soignant, il prononça les mots : « Mais vous êtes folle ! Il ne faut pas être bête comme ça ! Ces simples mots suffisaient à la vieille femme. jusqu’à sa mort, elle ne songea plus qu’à lui, encore et toujours.

Quand elle mourût, elle céda tout son héritage au fils Chouquet qui l’accepta, confusément, mais il l’accepta. J’ai bien aimé l’amour pour aucune raison de cette femme envers cet homme, j’ai trouvé sa touchant. Je n’ai pas aimé par contre, le fait de consacrer sa vie à un amour j’ai trouvé sa touchant. même pas homogène et ne se basant sur qu’une rencontre. Polisson : enfant désobéissant, espièg e. Logis : endroit où l’on loge. Sordide : sale, misérable, repoussant. Haillonneuse : vêtu de haillons.

Ormes : arbre à feuilles dentelées. Consentis : accorder quelque chose à une personne. Eperdument : d’une manière éperdue. Ivrognes : personne qui s’enivre souvent. Marquise : titre de noblesse se situant entre celui du duc et celui du comte. Demeure : logement, domicile. En mer ) Le narrateur est un rédacteur de journaux b) Les actions se déroulent à Boulogne-Sur-Mer, le 22 janvier et il ya 18 ans en mer. L’action 1 ne dura pas longtemps, le temps que le navire se brise sur les roches. L’action 2 dura moins d’une semaine. ) Javel, décéder, ainé de son frère, patron d’un chalutier, mort le 22 janvier. Cadet Javel, frère et à bord du bateau de son ainé, un bras en moins, courageux et mort le 22 janvier. d) C’est l’histoire d’un homme nommé Javel qui meure lors d’un accident de bateau. Un rédacteur raconte une péripétie lui étant arrivé dix-huit ans plus tôt. Un jour, Javel sortit pêcher par un beau temps avec son chalutier et ses hommes. par malheur, le temps se gâta et le bateau, bloqué dans la manche entre la France et l’Angleterre ne pouvant pas accosté.

Le chalutier faisait sans cesse l’aller-retour espérant pouvoir accoster. Il était en pleine mer et le patron décida *AGF 6 rif 7 pleine mer et le patron décida de jeter le chalut. Le cadet glissa et son bras se retrouva entre la corde un instant détendue par la secousse et le bols ou elle gllssait. L’on aurait pût lui sauver le bras en coupant la corde mais le capitaine refusa net. Après que la corde se soit amollie, il retira son bras qui n’était plus qu’une bouillie de chairs et de sang. Son bras pourrie puis l’on lui coupa.

L’homme décida de le conserver dans la saumure. Rentré chez lui, il décida de le mettre dans un cercueil. Il arrêta de naviguer et trouva un petit travail dans le port. J’ai aimé car Javel ainé ne vit que pour son bateau au point d’y laisser le bras de son frère pour un chalut. Je n’ai pas aimé le fait que le frère cadet arrête son métier pour un accident, c’est triste. Embarcation : bateau de petite taille Ecume : mousse blanchâtre se formant à la surface d’un liquide Brise : vent frais, léger et régulier.

Hagards : adjectif qualifiant une personne qui a l’air effaré, hébété Roidi : raidi Vareuse : veste ample, caban Hémorragie : écoulement de sang en dehors de la circulation naturelle Spasmes : contraction musculaire qui peut toucher un à plusieurs muscles Aiguë : fine, pénétrante Putréfaction : pourrissement, décomposition Le testament a) Ily a deux narrateurs dans cette histoire, le premier est un ami de René de Bourneval et le deuxième est René Bourneval en personne. René de Bournveal le fils de