Preuves • L’école conditionne les personnes à vouloir acquérir un plus hau t niveau de connaissance au bénéfice du salaire qu’elles vont faire. D’autant pl us qu’on accorde une grande importance au diplôme obtenue par rapport au salair e acquis. http://www. cairn. info/revue regardscroisessurleconomie20122page11. htm richesse) • plus spécifiqueme atif, les buts ont été majoritairement abordés en termes « e comme des orient Sni* to ations qui guident les comportements une tâche scolaire (p ar ex. Dweck, 2002 ; Nicholls, 1984). Ces orientations prennent deux formes. L’él ève peut être otivé pour être meilleur que les autres ou plus généralement po ur obtenir des jugements favorables au regard de ses performances. http://rfp. revues. org/220#text (le bon citoyen) • Parmi les travaux traitant de ce thème, ceux de Wentzel constit uent désormais une référence.
Les buts sociaux y sont définis, de manière générale, c omme des résultats que Hélève cherche à atteindre dans ses interactions avec les autr es (par ex. : Wentzel, 2002a). Plus spécifiquement, deux types de buts sociaux Plus concrètement, des travaux ont montré que les enfants qui ré ussissent le mieux n classe, c’estàdire les élèves qui obtiennent de meilleures notes sont aussi ceux qui poursuivent des buts
Ils arrive nt en classe ? l’heure, essaient de participer, de faire des efforts pour réaliser le travail demandé et tentent enfin de ne pas déranger la classe (Finn & Rock, 1997). • Les bons élèves aujourd’hui sont caractérisés de ceux qui ont de s buts sociaux autres que s’amuser. Par exemple, s’impliquer, aider au bienêtre de la cla sse, démontré un certain enthousiasme face aux projets des enseignants. Cela a po ur effets chez les nseignants de catégorisé les élèves variant de bon à mauvais étu diants.
On encourage donc beaucoup cette dimension social qu’est Fimplicati on volontaire face ? l’autrui ce qui vient conditionner l’individu. (le bon citoyen) • Leur thèse centrale est que l’école reproduit les inégalités social es à travers des méthodes et des contenus d’enseignement qui privilégient implici tement une forme de culture propre aux classes dominantes. http://www. cairn. info/magazine scienceshumaines20056page2S. htm PAG » OF d lettredelenfanceetdeladolescence201 02page55. tm (effets négatifs) ?? La critique est consensuelle : en 1967, ce sont les ministres euro péens de [‘Éducation qui dénoncent « les examens traditionnels coupables de « condi tionner les jeunes gens au réflexe de la bonne réponse, au détriment de la spontané itér de l’action, de la responsabilité, de la créativité que réclament aussi bien l’Universit é, Findustrie ou les services publics que la société ellemême [10] Cité par Le Nouvel Observateur, 3 janvier 1968. [10] • Le conditionnement est utile à dose raisonnable. Mais en trop g rande quantité, il rend à tous la vie impossible.
Dans ce cas, ce qui revient à un dressage ‘est plus éducatif. L’identité ne peut se construire. « Notamment cela se retrouve au niveau des marques d’opposition de l’enfant, qui s’oppose, refuse l’aide, mais non de fa çon uniquement verbale mais présentant des caractéristiques viscérale et neurom usculaire. lettredelenfanceetdela dolescence201 02 page55. ht (autorité) • Les jeunes perçoivent les enseignants comme des modèles. Les éducateurs physiques peuvent avoir une influence importante sur leurs élève s et transmettre ? travers leur enseignement des valeurs comme le respect mutuel, l’honnêteté et la PAGF3CFd
