Société et economie à l’époque classique (principalement ? Athènes) Période classique : V-IV eme siècle avant notre ère. Il y a de nombreux clivages importants dans les sociétés grecques classiques (qui se superposent, plus qu’ils ne se juxtaposent). un clivage, cpt, plus important que d’autres, par rapport au fonctionnement global du système social et de son évolution . hommes libres et esclave. Les statuts sociaux au regard de la loi Sni* to View Les citoyens On appelle l’ensembl citoyen politès. Le dè homogène. or 3 et le statut de lé un ensemble Ces constituants sont différenciés car :
Il persiste pendant toute l’époque classique les classes censitaires (en fonction de leurs revenus fonciers, 4 groupes sont expliqués les pentacosiomédimnes, les hippeis, les zeugites et les thètes) Citoyens de la ville et citoyens de la campagne Anciens et jeunes Riches et pauvres Ces constituants sont semblables car : Les divisions professionelles ne jouent aucun rôle dans l’accès au pouvoir politique Les distinctions faites à travers les classes censitaires conditionnent l’accès aux magistratures MAIS le rôle familial/traître/conspirateur/auteur de proposition de loi contraire ? la politeia.
Qui est citoyen ? Pour être citoyen, il faut être né d’un père citoyen et avoir 18 ans. Cette citoyenneté
Pour être citoyen, il faut avoir fait reconnaître par la cité son droit de cité. Pour cela, il faut se faire inscrire sur le registre du dème, le lexiarkhikon grammateion à 18 ans. Garçon présenté par son père (biologique ou adoptif) et soumis à un double vote : pour savoir si le jeune a ‘âge requis (car pas d’état civil), il passe un entretien oral. Ensuite pour savoir s’il est bien le fis légitime d’un cltoyen et d’une de citoyen. Pour être citoyen, il faut avoir fait deux ans de service militaire. Cest ce qu’on appelle l’éphébie.
Celui auquel on refuse la cito enneté métèque. II est possible de eut avoir le statut de e la décision devant le l’on traduira par étranger) désigne aussi bien l’ennemi que l’hôte. Entre deux étrangers, deux relations possibles : se lier ou se battre. Quelques règles concernent l’ensemble des étrangers Le proxène : « un citoyen qui assume pour tous les citoyens d’une cité étrangère en dehors de tout rapport d’alliance entre les deux cités, les fonctions et les devoirs qu’assure le xénos (hôte) pour un individu ou une famille étrangère. (selon la définition de Ph.
Gauthier). Il accueille, secourt, sert de témoin et de garant, mais en vertu de sa seule position personnelle. Ex : En temps de guerre, le proxène des Spartiates à Athènes va s’occuper des prisonniers de guerre spartiates. -> Multiplication du nombre de proxènes pour une même cité et du nombre de cités pour un même proxène. Existence d’accords entre les cités = facilitation de la protection des étrangers : – Les sumbola : accords (attestés au IVème siècle) protégeant les citoyens des deux cités contractantes contre les actes arbitraires.
Protection contre la violence/entrave aux droits de représailles, le sylon) – Les dikai emporikai : les procès commerciaux. Vers 350, les Athéniens élaborent une législation pour les litiges commerciaux avec les étrangers. – Les conventions entre cités pour faciliter l’activité commerciale et donner certaines garanties aux étrangers de passage existent au Vème siècle. Ex : entre les deux cités locriennes Oianthéia et Chaleion IV ème siècle : 1ères conventions d’isopolltie (Chaque cité accorde aux citoyens de l’autre cité la possibilité