Si je mourais la bas, sur le front de l’armee. En écrivant le poème « Si je mourais là-bas » durant la guerre 14-18, Apollinaire s’est adressée à sa maîtresse, Lou, pour mieux oublier, l’espace d’un instant, les horreurs de la guerre. Ce faisant, il a composé un poème simple, beau et fort ; rempli d’images, de symboles, de nature, d’amour mais aussi de sang et de mort, omniprésents. C’est ainsi qu’il donne lui donne toute sa valeur, toute sa force de suggestion.
Contrairement aux poèmes d’Alcools, celui-ci est en effet moins « fou mais plus passionné, oins compliqué, mais plus désespéré que « La Chanson du Mal-aimé », par exemple. Ici, le poète attend sa mort et veut lui donner un sens, même illusoire, en s’attachant à son ultime espoir : l’amour ; mê PACF 1 Sni* to s’il lui faut, pour cela, En écrivant le poème « Si je mourais là-bas » durant la guerre 14-18, Apollinaire s’est adressée à sa maitresse, Lou, pour mieux oublier, l’espace d’un instant, les horreurs de la guerre.
Ce faisant, il a composé un poème simple, beau et fort ; empli d’images, de symboles, de nature, d’amour mais aussi de sang et de mort, omniprésents.