SI Janicot Pdf Complet

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Système d’information PARTIE I : Fondement conceptuel des systèmes d’information Chapitre 1 : L’approche systémique 1) Le concept de système 2) La théorie de la complexité 3) L’application en Entreprise, (modèle 010) Chapitre 2 : L’information et les systèmes d’informations dans l’entreprise Des représentations pour gérer 2) or28 De représentations d e, Chapitre 3 : Les politi 1) Le modèle linéaire de communication Un modèle conversationnel ou circulaire (modèle orchestral) Chapitre 4 : l’apprentissage organisationnel PARTIE Il : Les systèmes dlnformations sociales

Chapitres : Les systèmes d’informations sociales (le bilan social)* PARTIE I : Les fondements conceptuels des systèmes d’informations Introduction Les différents systèmes d’information. Collecticiel ou groupware, ce sont des applications informatiques permettant à des personnes grande masse d’information. Internet peut être cité comme système d’information, c’est une infrastructure de télécommunication et ensemble de normes permettant à chaque utilisateur connecté au réseau d’accéder à des pages d’informations répartit sur des serveurs.

Intranet : c’est la version privée d’internet fondée sur la même echnologie mais à vocation interne a une organisation. Lecture automatique de document : ensemble de techniques qui permettent d’extraire des informations textuelles sur des documents afin de les réutiliser dans des bases de données ou des applications informatique.

PGI : progiciel

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de gestion intégrée : ERP : entreprise requirement planning, Ensemble complet de programme standard utilisable directement pour la gestion d’une entreprise après une adaptation par paramétrage, il se caractérise par la suppression des redondances de saisies et la réduction des incohérences entre appllcations. Un système d’information est un ensemble organisé de ressources permettant d’acquérir, traité, stocké, communiqué, des informations. C’est la dimension humaine et sociale qui va nous intéresser.

CHAPITRE 1 : L’approche systémique de l’organisation Paradigme : modèle qui permet de représenter le monde, vision du monde partagé à Pintérieur d’une communauté qui est dominant, c’est-à-dire que l’ensemble de la communauté pensent de la même manière. On oppose le paradigme cartésien avec l’approche complexe. Fayol : découpage fonctionnel de l’entreprise, la définition du management qui renvoie PAGF OF l’optimiser. L’optique étant l’optimisation sous contrainte tout comme le « one best way » de Taylor.

On applique donc la pensée scientifique cartésienne. A. Le concept de système A. 1. Définition du système Von Bertalanffy en 1951 propose la théorie générale des systèmes avec Vidée qu’il y a une nécessité d’une approche différente qui soit applicable à tous les développements de tous les domaines scientifique, on peut donc modéliser tout évènement comme étant un système. Un système est une chose qui comprend des parties mutuellement reliée appelée sous-systèmes.

Chaque sous-système a un effet sur les autres et en retour chacun dépend de l’ensemble. On peut quand même identifier une hiérarchie du système. Boulding : cet économiste se propose de donnée une hiérarchie de système, organisée du plus simple au plus complexe. Ily a 9 niveaux dans cette hiérarchie Le système statique, renvoie à l’idée de classification, terminologie, label Le système dynamique : va être caractérisé par un certain nombre d’état d’équilibre, ou de mouvement qui deviennent des cles qui ramènent ? l’équilibre.

PAGF 3 OF mobilité, la perception de soi, des récepteurs sensoriels, un ystème nerveux développé, structure de connaissance et notion d’image (gestion d’Image) Le système humain : Conscience de soi, la capacité à produire, absorber et interprété des symboles. La nation du temps qui passe. Le système d’organisation sociale : entreprise gouvernement, association, dimension collectives joue un rôle dans l’aspect des systèmes de valeur et la signification partagée. Le système transcendantal, l’inévitable inconnaissable.

Jean-Louis Le Moigne : Modélisation des systèmes complexes et paradigme de la complexité, a été inspiré d’un auteur américain prix Nobel d’économie « Science des ystèmes Herbert Arthur Simon, soulève la question de la rationalité, il critique le paradigme ancien et cherche à le remplacer par une solution acceptable par le système. Le système est un enchevêtrement intelligible et finalisé d’action interdépendante. B. La théorie de la complexité paul valerv 1924 « nen n’est naturel, voilà le fruit imprévisible. La complexité est liée à l’imprévisibilité potentielle des comportements. (Lemoigne) Merunka, la prise de décision dans le management 1987, une situation complexe implique l’existence d’objectif contradictoire, la présence d’information ombreuse et divergente, la nécessité d’aboutir à des compromis dans la prise décision. L’aspect humain, tension, conflit, vient du fait que la modélisation est faite par un homme. Cette modélisation est donc subjective qui provient de celui qui parle contrairement au paradigme cartésien.

Paul Valéry parle également d’imprévisibilité essentielle. On peut faire une opposition entre la démarche analytique, paradigme cartésien et de l’autre le paradigme de la complexité. Descartes en 1637, le discours de la méthode, fondement conceptuelle du paradigme analytique, la démarche Cartésienne on peut réduire le principe précédent ? artir de 4 préceptes : – L’évidence : ne recevoir aucune chose pour vrai, qui ne soit pas évidente, qui ne puisse être mise en doute. la vérité absolue n’existe pas) – L’analyse : pour appréhender un objet il faut diviser chacune des difficultés rencontré en autant de parcelles qu’il se pourrait et qu’il serait requis pour les mieux résoudre. 31/01 – La structuration hiérarchisé : il faut conduire par ordre mais penser en commençant par les objets les plus simples et les lus aisés à connaître pour monter propressivement PAGF s OF systèmes dynamiques complexes. Principe de l’approche globale de la complexité :

Le Moigne propose en 1991, 4 préceptes : La pertinence : tout objet considéré se définit par rapport aux intentions du modélisateur, ne pas s’interdire de mettre en doute cette définition, si la perception que nous avons de cet objet ce modifie. (l’objectivité est inatteignable, on est constamment dans la recherche d’une remise en cause, donc l’évolution de la perception des éléments) Globalisme : c’est le plus marquent, il faut considérer l’objet comme une partie immergé et active au sein d’un plus grand tout. Le percevoir d’abord globalement dans sa relation avec son environnement sans se soucier de sa structure interne. l faut repérer le système que l’on veut étudier et bien le différencié du système globale, mais il faut l’analyser dans sa globalité) Téléologique : l’étude des grandes finalités de l’homme, il faut interpréter l’objet non pas pour lui-même mais par son comportement. ‘agrégativité : convenir que toutes représentation est simplificatrice, donc sélectionner des agrégats tenue pour pertinent et exclure l’illusoire objectivité d’un recensement exhaustif des éléments à considérer (représentation partielles ? accepter) B. 2.

Méthode de la représ mique OF finalités (un projet); uel est la raison d’être du système ; dans un environnement actif et évolutif ; identifier quel est son environnement pertinent, il faut faire des choix, est ce que cet acteur de l’environnement influe ma finalité ; en exerçant une activité (des fonctions) ; on répond ? la question qu’est-ce que cela fait ? les fonctions sont définit en tant que processus TEF : temps, espace, forme ; en s’organisant (interactions) ; répartition des taches du processus pour quel temps et quels ressources ; et en évoluant sans perdre son Identité.

C’est la remise en cause des évènements en mettant le point sur l’évolution du système pour le arder opérant au fil du temps. B. 3. Les caractéristiques des systèmes dynamiques complexes Approches linéaire : relation de cause à effet, tel action sur un objet va entrainer tel effet avec une certaine régularité. La plupart des systèmes, ne peuvent plus être analysé de cette manière, car il y a des situations d’évolution qui sont producteurs d’ordre, ces situations peuvent être appliqué sur les systèmes sociaux.

Les historiens doivent utiliser la théorie de la complexité pour gérer ces systèmes sociaux et organisationnels. Les systèmes complexes constitués des phénomènes émergeant aractérisé par la non linéarité (interactions entre multiples acteurs et facteurs) et par des boucles de rétroaction (multiplicité de soussystème), avec des organisations dynamique complexe, dans le cas où elle génère de la variation ou de la diversité et si elles sont adaptative.

Chaque système complexe est uni ue et dynamique interaction propres à chaq PAGF 7 OF locale et non pas à l’information du système en tant que tel Les interactions au sein des systèmes complexes sont non linéaire (ne peut pas être expliqué par une simple relations de cause à effet) Ils changent constamment et évoluent dans le temps de façon mprévisible De l’ordre peut surgir du chaos par des phénomènes d’auto- organisations c.

L’entreprise comme système, modèle OID Modèle proposée par Le Moigne décide de modéliser ce modèle en 9 niveau de complexité successif : OID : opération, information et décision, Modèle Canonique » appliqué à l’entreprise puisque c’est une entreprise organisant et finalisant. D L’entreprise est un système organisant et finalisant, le système d’information est là pour couplé le système opérant vers le système de décisions et informations. Ily a plusieurs étapes de la modélisation systémique. : Le phénomène est identifiable en tant que objet ou événement.

PAGF 8 OF possibles, sous système de conception ou d’intelligence 9 : la finalisation, avec la finalisation du système, il détermine ce a quol il veut tendre, ou de sa décision. Application à l’entreprise 1) Organisation identifiable intégrée dans un environnement. 2) Organisation économique qui produit et qui répartit, en interaction avec son environnement ? travers des flux externes soient . a. Des flux de structure : du personnel, d’équipement, matériel b. Des flux d’activités : logistique, monétaire c.

Des flux d’informations : d’informations, communication ) Organisation régulée (le système de décision pratique la régulation à partir de flux informationnels) : – régulation par alerte : dans système, on repère une anomalie (info est donné, ex constat d’un trou dans les stocks cause livraison non régulière) On attend de repérer quelque chose qui va troubler notre organisation pour ensuite la corriger régulations par anticipation : traite l’information, anticipe une variable avant qu’elle ne vienne perturber notre système d’infos régulation par rétroaction : par rapport aux objectifs finaux du système, on arrive dans une situation ù il y a un écart entre objectif et résultat pour finir on peut parler de la qualité de système d’information ? travers le : Principe de la variété requise, loi ashby : idée de finesse de régulation : il faut que la variété du système de commande corres onde à la variété du système commandé à n’importe quel élément qui peut être stocké ou transmis, d’un point de vue technique (codage particulier, canaux ex binaire). 2. 2nd vision : Donné transformé sous forme significative, (qui est parlant pour celui qui les reçoit) Définition de système d’information par rapport à la 2eme vision Tous système d’information oncerne un individu pourvus d’un profil psychologique donné, confronté à un problème décisionnel précis, dans un contexte organisationnel déterminé.

Il y a nécessité d’éléments de décision perçus au travers d’un mode de représentation propre au décideur (Mason et Mitroff) Définition du SI par rapport a la 1 er vision : Un SI est un système qui utilise des technologie de l’information pour saisir , transmettre, stocker, retrouver, manipuler, ou afficher de l’information utilisée dans un ou plusieurs processus de gestion (Alter 96) L’information dans l’organisation- comprendre le rôle de l’info ans une structure au niveau individuel et collectif. Information dans le système de Collectifs : Comprendre aspect informationnelle des systèmes de gestion collectif Information dans le système de gestion Individuel : Objectif : travailler sur le rôle de l’information de chaque individu SECTION 1 : Des représentations pour Gérer : Informer c’est fournir des Représentations pour résoudre des problèmes L’individu dans l’organisation dispose d’objectif, il est doté de variable de décision, et il applique pour effectuer ses choix un modèle de estion (ensemble de règle, de principes). Mais ce modèl