ses pib bien être

ses pib bien être

1. Nous savons que la croissance économique peut être un risque pour la sauvegarde des biens communs. Il faut en effet distinguer croissance et développement. Tandis que le développement n’est pas dangereux, la croissance économique peut avor des conséquences dangereuses. La croissance économique est l’augmentation de la production de biens et de services sur une période donnée. Les biens communs sont l’ensemble des ressources appartenant et pouvant être utilisé par une collectivité. Il ne faut pas confondre bien commun et bien public. Tout en sachant que la croissance économique est un facteur e risque pour les bi l’écologie.

Prenons mellleure, un pays p rejetant beaucoup d donc présente, mais org to nextÇEge un danger pour ir d’une croissance n sur des industries a croissance sera sera sali par les rejets de pollution, la croissance s’averera donc néfaste pour l’environnement qui est un bien public. 2. Le capital est l’ensemble de biens et de richesses stockés dans le but de produire de nouveaux biens. Cette définition n’est toutefois pas la seule existant dans le domaine économique car c’est aussl un ensemble de biens divers et reproductibles qul ermettent l’accroissement de la productivité du travail par le biais de l’emploi.

Il existe différents types de

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capitaux, nous avons tout d’abord le capital physique qui est Swipe to vlew next page l’ensemble des biens produits auparavant servant dans la production future. , il existe le capital fixe (camions) et le capital circulant (électricité). Le capital technique est l’ensemble des biens de production lié au progrès technique. Le capital financier représente la totalité des actifs pouvant rapporter un revenu, un titre de propriété est un capital financier Il existe aussi e capital naturel qui est l’ensemble des ressources dont un pays est doté.

Nous avons pour finir le capital humain, qui est l’ensemble du travail fourni par Vhomme, intellectuellement et physiquement parlant. Le principe de l’accumulation est le fait qu’accumuler les capitaux augmente la production de l’économie. Plus nous possédons de cap ‘taux, plus notre production peut être augmenté, dans la mesure où il existe différents types de capitaux, en accumuler de toutes les sortes est donc la possibilité d’augmenter son potentiel de production au maximum. Nous devons faire un lien entre bonheur et consommation de apital naturel.

Rappelons que le capital naturel est l’ensemble des ressources exploitables pouvant être utilisé comme moyens de production. Il est cependant risqué écologiquement parlant de trop l’utiliser. Nous possédons un document nous permettant de constater le rapport entre l’empreinte écologique d’un pays, c’est à dire la surface en hectare qu’un habitant doit avoir pour subvenir à ses besoins et aux déchets qu’il génère, puis, l’espérance de vie « heureuse La source du document est «The Happy Planet Index 2. ». Nous commencerons par citer pl « heureuse D. La source du document est «The Happy Planet Index 2. 0 Nous commencerons par citer plusieurs exemples et comprendre ce qu’ils impliquent. Les Etats-lJnis sont de loin le pays avec l’empreinte écologique (chaque habitant aurait besoin de presque trois hectares de plus que les autres pays ayant une empreinte écologique forte) la plus forte qui est en d’ailleurs en constante hausse de 1990 à 2005, nous voyons aussi que l’espérance de vie heureuse est la plus grande.

Si nous n’avions que ce chiffre, nous aurions pu faire un lien entre vie heureuse et utilisation de nos ressources naturelles. Pourtant, l’Europe e l’Ouest est une région voyant son empreinte écologique un peu diminuée entre 1990 et 2005 et nous voyons aussi que l’espérance de vie heureuse augmente un peu. La Russie et les pays de l’Est avait en 1 990 une empreinte écologique de 6 hectares par habitant, en 2005 d’un peu plus de trois hectares, leur espérance de vie heureuse s’est vue augmenter de cinq ans sur la période.

Nous pouvons donc conclure que la corrélation entre l’espérance de vie heureuse et l’empreinte écologique n’est pas flagrante. Il existe surement un lien entre les deux car l’augmentation de l’empreinte écologique amène souvent à un iveau de vie meilleur, mais ce n’est pas l’empreinte écologique qui détermine directement l’espérance de vie heureuse. Ill. À l’aide des documents et de vos connaissances, vous montrerez que le PIB ne peut être considéré comme une mesure adéquate du bien être. Les Etats-Unis, avec un PIB de plus de 16 000 m comme une mesure adéquate du bien être.

Les Etats-Unis, avec un PIB de plus de 16 000 milliards de dollars en 201 3 est le pays ayant le produit intérieur brut le plus élevé, la Chine est la deuxième puissance économique en utilisant ce critère avec plus de 15 500 milliards de dollars suivi par le Japon ui a un PIB de plus de 8000 milliards de dollars. Le PIB est le produit intérieur brut, c’est à dire la quantité totale de biens et services produite dans un pays sur une période de temps. C’est l’un des indicateurs économique les plus utilisés.

Le PIB est-il efficace pour mesurer le bien-être d’une population ? Dans quelle mesure peut-on dire qu’il n’est pas approprié pour mesurer le bien-être d’une population ? pour répondre à ces questions nous avons accès à un certain nombre de document. Nous verrons dans un premier temps ce qu’est le PIB et nous rappellerons qu’il possède certains nconvénients, puis, dans un second temps, nous montrerons que le lien entre bien-être d’une population et le PIB est limités. Le PIB est donc la somme de toutes les richesses créées sur un territoire sur une pér10de donnée.

Il nous permet d’avoir un ordre d’idée de la richesse des pays et donne la possibilité d’établir un classement des pays les plus riches. La notion de puissance économique est calculée sur les bases du PIB, c’est d’ailleurs pourquoi la Chine est la deuxième puissance économique mondiale alors que sur un plan social et écologique, elle est loin d’être un modèle. Le PIB mesure la production de biens mais aussi des services, il es elle est loin d’être un modèle. Le PIB mesure la production de biens mais aussi des services, il est calculé avec la somme des valeurs ajoutées des entreprises établies sur le territoire.

Les valeurs ajoutées sont obtenues en soustrayant la valeur finale d’un produit et le coût des consommations intermédiaires, elle permet de mesure la richesse créée par une entreprise. Le PIB, bien qu’encore couramment utilisé, est de plus en plus critiqué et certains économistes pensent même qu’il faudrait le remplacer ar d’autres agrégats mesurant plus précisément la réalité des choses, nous pouvons d’ailleurs citer Stiglitz. En effet le PIB a plusieurs inconvénients, il est limité par le fait qu’il ne prend pas en compte un certains nombres de points.

Nous commencerons par montrer que les chiffres donnés par le PIB sont faussés. Si nous pouvons dire qu’il déforme les chiffres, c’est parce qu’il omet quelques sources de richesses, nous pouvons citer le travail non rémunéré (le bricolage pendant le week end par exemple) ; le travail au noir, c’est à dire le travail qui n’est pas déclaré à l’État, n général pour ne pas avoir à payer de taxes sur le salaire ; les activités illégales ne sont pas comptabilisés car elles ne sont évidemment pas déclarées ou encore le bénévolat qui est Faction de travailler gratuitement, souvent dans un but caritatif.

Le PIB n’évalue donc pas précisément les rlchesses d’un pays. Mais il comporte d’autres désavantages. Nous introduirons maintenant la notion d’externalité. C’est en fait Varrivé d’un effet externe étant produit maintenant la notion d’externalité. C’est en fait l’arrivé d’un effet externe étant produit par Factivité d’un agent économique t n’étant pas régi par une contrepartie monétaire. Il existe les externalités positives, c’est à dire que l’effet de l’activité économique profite aux personnes alentours et les externalités négatives qui au contraire sont néfastes.

Une activité produisant des externalités positive n’est pas récompensée et les externalités négatives ne sont pas pénalisées. La pollution est l’exemple d’externalité négative les plus utilisé. Pour en revenir au PIB, il ne prend pas en compte ces externalités, un pays peut s’enrichir fortement tout en polluant, le PIB ne tiendra pas en ompte tous les problèmes suivant cette pollution. L’épuisement d’une ressource naturelle n’est pas pris en compte, un pays rasant toutes ses forêts verra son PIB augmenter fortement, pourtant ses ressources auront été utilisées et cette perte n’est pas comptabilisée.

Il ne mesure donc pas le patrimoine d’un pays. Si une catastrophe naturelle ou une guerre survient, alors la destruction ne fera pas diminuer le PIB mais la reconstruction le fera augmenter. Nous avons un document tiré de « Alternatives internationales » présentant les grandes catastrophes industrielles dans le monde depuis 1976. Ce document nous ontre par exemple des Incldents tels que celui de Bhopal en Inde qui tua 20 000 personnes ou encore celui de Tchernobyl en Ukraine qui fut un des plus grandes catastrophes nucléaire connue.

Nous avons encore l’exemple de l’explosion d’une raffinerie grandes catastrophes nucléaire connue. Nous avons encore l’exemple de l’explosion d’une raffinerie au Mexique ou celle d’une fuite de gaz et explosion sur une plate forme off shore dans la mer du Nord. Ce document nous montre que les catastrophes sont assez courantes, mais que pourtant, le PIB ne les comptabilise pas. Nous avons donc vu ce qu’était le PIB mais aussi ses nconvénients. Nous avons expliqué dans quelle mesure les chiffres de cet agrégat étaient trompeurs et mal évalués.

Nous expliquerons maintenant le lien entre PIB et bien être. Le bien être est le niveau de vie lié à différents facteurs que sont la santé, le plalSlr, la réussite soclale et économique. Nous nous demandons si le PIB permet de bien mesurer cette notion, c’est ? dire s’il y a corrélation entre produit intérieur brut et bien être. Le second document mis à notre disposition se pose justement cette même question. Cest un graphique utilisant les indices « vivre ieux » de l’OCDE, qui est le rapport entre bien être (sur une échelle de 1 à 10) et PIB par habitant.

A première vue nous ne pouvons nié le fait que la corrélation entre PIB et bien être existe, pourtant cela ne prouve pas que le lien entre les deux est si important. En effet la Nouvelle-Zélande a un PIB par habitant de presque 25 000$ mais a un niveau de bien être (8 sur 10) plus élevé que la Belgique qui a un PIB par habitant de 30 000$ pour un niveau de bien être moins élevé (7 sur 10). Le PIB, c’est à dire la quantité de richesse n’est donc pas le seul critère de bien être.

Nous pouvons donc d’ors et Nous pouvons donc d’ors et déjà affirmer que le PIB n’est pas l’outil le plus approprié pour mesure le bien être, bien qu’il nous donne encore une fois un ordre d’idée. Ce n’est pas tout, nous avons un texte, le document 1, paru dans un livre traitant de l’économie écrit par D. Méda et paru en 2008 où il est question d’absurdité d’utiliser le PIB comme mesure de bien être d’une population. Pour lui un pays riche n’est plus un pays avec un produit intérieur brut important mais plutôt un pays avec une bonne politique sociale et une égalité au sein de la population.

Il va même plus loin que ça car il nous parle d’un niveau d’éducation élevé, une société solidaire s’intéressant à sa vie politique. Il parle aussi d’égalité entre les hommes et les femmes, mais aussi une égalité au niveau des soins apportés à la population, la santé ne doit pas être réservé aux riches. La notion de famille y est développée car une société riche doit avoir du temps à consacrer à ses proches. Il nous parle aussi d’une société où la qualité de l’air serait bonne, c’est à dire que la pollution ne serait pas trop forte.

Pour finir il nous explique qu’une société iche doit avoir la meilleure sécurité possible, la violence ne doit pas être trop présente, les citoyens devraient être égaux devant la loi mais dans tous les domaines de la société. Le PIB est un outil utile, mais tous ces critères là ne sont pas du tout comptabilisés. L’auteur du texte craint presque l’utilisation du PIB car si les gens s’en c du tout comptabilisés. L’auteur du texte craint presque l’utilisation du PIB car si les gens s’en contentent, la vérité des choses serait cachée et une détérioration de toutes ces valeurs ne serait pas comptabilisée par le PIB.

Il y aurait alors peut être une disparltion des principes même d’une société riche sans que le monde s’en aperçolve. Nous avons donc vu que la corrélation entre PIB et bien être, bien qu’existante, est assez faible. Il serait donc incongru de mesurer le bien être d’une population avec comme indicateur le PIB. Mais il existe d’autres agrégats plus appropriés tels que l’indicateur de développement humain. Nous nous sommes intéressés à ce qu’était le PIB, plus particulièrement à ses limites et ses inconvénients. Il est un outil de mesure très répandu, mais les économistes le rediscutent de lus en plus du fait de ses limites.

Le bien-être de la population ne peux être mesurer précisément avec cet outil, ce ne serait pas le plus adéquate. L’IDH serait surement plus efficace pour mesurer le bien-être car il calcule l’espérance de vie et le taux d’alphabétisation mais prend aussi en compte le PIB, qui, a lui aussi un lien avec le niveau de bien être. L’IDH est-il l’outil le plus précis que nous pouvons créer pour calculer le niveau de bien-être ? Un pays ayant un bien-être haut mais un PIB peu élevé doit-il s’estimer plus heureux qu’un pays ayant un PIB fort mais un bien être moyen ? N. M. K.