Rhapsody in Blue de Geo ge Gershwin l. Résumé : Je vais vous présentez Rhapsody in Blue de George Gershwin. Cette œuvre a été commencer en Janvier 1924 et a été jouait pour la première fois le 12 février 1924 par Paul Whitheman et son jazz Band a l’Éolian Hall de New York. Le style de musique est la musique populaire. Gershwin a été le premier à faire ce style de musique. Gershwin écrivait toutes ses partitions sur 4 portés comme pour un piano donc c’est Ferdé Grofé qui a réorchestré cette musique.
Il c’est inspirais de Debussi pour cette musique. Il. Biographie George Gershwin est 1924, dans le journal or 2 Sni* to View en 1937. En janvier itheman faisait un concert a l’Éolian Hall de New York et que c’ tait Gershwin qui en était le compositeur. Pour cela il décida de s’y mettre. Mais il ne rester plus que 5 semaines. C’est dans un train pour aller ? Boston que Rhapsody in blue fut terminé avec tous les bruits d’un train. Ill. L’œuvre est écrite sur 5 thèmes : Le premier thème est joué en premier par une clarinette.
Au tout début nous pouvons entendre un trille. C’est le joueur
Le deuxième thème est assez simple, il est joué par les cuivres qui font comme répété deux notes puis il descende vers le grave. Le troisième thème est beaucoup plus festif il est comme une musique de cirque. II est joué par les trompettes. IV. Aspects de la musique populaire Gershwin est le premier a faire entrée le jazz dans des salles de concert. Sa musique est la première aussl à Introduire plusieurs styles de musique en une. Comme le jazz, le classique, le blues et certains rythme de danse pour le charleston. ur beaucoup, l’idée que la musique populaire afro-américaine puisse être avec le classique. Dans la musique populaire il n’y a certain instrument qu’il ny a pas dans les salles de concert avant que la musique populaire soit crée comme le banjo, la batterie et des balais, la sourdine wah – wah avec les trombones et les trompettes. V. Rhapsody in blue est la musique symbole de l’Amérique . Elle fera le tour du monde. Elle célèbre la liberté d’expression mais aussi la diversité culturelle