Resumé Mr nechad

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L’école classique : 1) Adam Smith : La division du travall : Adam Smith met en évidence le rôle de la division du travail comme facteur de croissance intensive, elle permet de réaliser des gains de productivité, parce qu’elle développe l’habilité du travailleur, par la répétition des tâches et les effets d’apprentissage qui lui sont associés. La main invisible : l’é invisible, la course ap s or 19 l’intérêt personnel m e • collectivité.

L’Etat gendarme : l’Et nécessaire à l’économie de march égie par une main térêt de la institution à travers son rôle législative en ce qui concerne les lois qui égissent les individus opérants sur le marché. La richesse de l’Etat est la valeur travail et non pas l’accumulation des capitaux : il commence par établir une première distinction entre la valeur d’usage et la valeur d’échange : L’avantage absolu : On suppose que chaque pays ait un avantage productif dans le cas d’autarcie, mais dans le cas d’une économie ouverte, le pays va exploiter le manque à gagner en son activité productive vers d’autres activités.

Donc il insiste sur l’ouverture des frontières et l’économie ouverte. caractère inévitable de catastrophes émographiques, à moins d’empêcher la population de croitre. Malthus rejette

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par conséquent toute action sociale de l’état, qu’il accuse de nuire à la régulation démographique. Il croit en « liutilité de la misère » et il préconise la suppression de toute charité en faveur des pauvres, pour ne pas les encourager dans leur comportement nataliste.

La sélection naturelle et sociale est le plus sûr moyen d’enrayer l’augmentation rapide de la population. Malthus est aussi l’un des premiers à se rendre compte de l’importance de la demande comme stimulant de la production ; cette thèse infirme pourtant en partie on principe de population 3) David Ricardo . La théorie de la valeur : Elle se fonde sur la théorie de la valeur travail qu’il a reprise à Smith en l’approfondissant.

Selon cette théorie, la valeur d’échange des marchandises dépend de la qualité de travail nécessaire pour les produire. Ricardo affirme qu’il faut non seulement prendre en considération le travail direct (celui des salariés), mais aussi le travail indirect (contenu dans les installations, machines La valeur d’échange se ramène à une quantité de travail incorporée. La loi des rendements décroissants : A partir de sa théorie de la épartition, Ricardo forme sa 101 des rendements décroissants. our faire face à l’accroissement de la demande induit par l’augmentation de la population, il est nécessaire de cultiver de nouvelles terres de moins en mains fertiles, dont le rendement est donc décroissant. Les terres moins fertiles nécessitant plus de travail pour les cultiver, le prix du blé augmente ainsi que, par voie de conséquence, les salaires, puisque l’achat de blé est nécessaire à la subsistance. Il en résulte que la rente foncière versée aux propriétaires fonciers s’accroît, au détriment des profits qui diminuent.

Or, le profit étant la motivation principale de la production, celle ci tend vers un état stationnaire, c’est à dire la situation d’une économie sans croissance (crise économique). La seule façon de s’éloigner de cet état stationnaire est de stopper l’augmentation du prix du blé de façon ? stopper celle des salaires. La théorie de Favantage comparatif : Les pays ont intérêt à se spécialiser dans les produits pour lesquels ils sont les plus avantagés ou les moins désavantagés. Quelle que soit la situation d’un pays, la spécialisation et l’échange international procurent un gain.

Pour arriver à cette conclusion David Ricardo émet quatre hypothèses : la valeur du travail est égale au prix multiplié par la quantité de travail; la concurrence doit être parfaite; il doity avoir immobilité des facteurs de production au niveau international (seules les marchandises circulent) et enfin la productivité doit être constante. Dans la réalité, ces conditions théoriques ne sont jamais remplies, et l’application pratique de la théorie de l’avantage comparatif pose un certain nombre de problèmes, et l’application pratique de la théorie de l’avantage comparatif pose un certain nombre de problèmes. John Stuart Mill : John Stuart Mill est l’un des re résentants de l’école classique. Sil s’adhère à ses principes PAGF lg Stuart Mill est l’un des représentants de l’école classique. Sil généreux, tels le « laisser-faire », il accepte néanmoins l’intervention de l’état lorsqu’elle permet le progrès social. (Il est le prolongement de l’école classique et l’école néoclassique). Il considère que l’état doit favoriser l’instruction publique, aider les pauvres et contribuer ? l’émancipation des femmes.

L’école néoclassique : jean Baptise Say • La loi de Say (La loi des débouchés) : toute offre génère sa propre emande. Cela signifie que toute production donne lieu à la création d’une somme de revenus d’égale valeur. Puisque toute production se transforme en revenus qul eux mêmes se transformant en demande, la surproduction est impossible. La loi de la valeur : la valeur des marchandises ne dépend pas de la quantité de travail nécessaire pour le produire, mais par leur utilité.

Et puisque les consommateurs utilisent intégralement leur revenu, pour créer de la croissance, il faut donc stimuler l’offre. L ‘équilibre des marchés : la représentation de la pensée néoclassique passe par le modèle d’une économie de marché. Le marché est le lieu de confrontation entre l’offre l’allocation des facteurs de production issue de l’équilibre sur le marché considéré. Cher à Alfred Marshall, est souvent opposé ? l’équilibre général, la paternité revient à Léon Walras.

L’équilibre général : Dans son livre « éléments d’économie politique pure », Léon Walras explique que, si les conditions de la concurrence pure et parfaite sont réunies, c’est à dire si l’ordre naturel est respecté, l’économie se maintient automatlquement en équilibre. Par hypothèse, chaque agent économique est un homo oeconomicus, l’origine de cette xpression est incertaine, on la trouve chez Pareto en 1906, c’est à dire un individu rationnel qui cherche à maximiser son profit s’il est producteur et ? maximiser sa satisfaction s’il est consommateur.

L’équilibre général est la formation d’un prix d’équilibre sur chacun des marchés existants. Ainsi, chacun des trois marchés principaux, le marché des biens et des sep. ‘ices, le marché du travail et le marché du capital, se confrontent une offre et une demande qui sont le résultat de l’agrégation des demandes et des offres individuelles. Si une modification intervient sur l’un des marchés, elle se épercute immédiatement sur les autres marchés, qui compensent la variation de façon à maintenir l’équilibre.

La fixation des prix s’effectue par tâtonnements : des ajustements successifs permettent de fixer un prix d’équilibre, é ntité offerte et la quantité globale (somme des demandes de chaque marché particulier) est forcément égale à l’offre globale (somme des offres de chaque marché particulier). L’équilibre partiel : Si pour Walras le réalisme passe par la prise en compte de l’interdépendance des marchés, Marshall privilégie l’étude de l’équilibre partiel, qui est ne approche consistant à étudier un marché en laissant de côté les influences des autres marchés.

Pour lui, lorsqu’un marché est équilibré, on n’a pas forcément l’équilibre dans tous les marchés. L’école marxiste : Karl Marx . Le matérialisme historique : Marx critique les lois naturelles ou universelles avancées par les classiques, pour leur opposer un caractère historique des formes d’organisation economiques et sociales des sociétés, qu’il appellera des modes de production. Chaque mode de production peut être défini par un rapport de production et par des forces productives.

De ces rapports de production naissent les rapports d’exploitation : La classe sociale qui ne possède que sa force de travail doit la mettre au service de la classe qui a la propriété d la propriété privée des moyens de production et donc par l’opposition entre la bourgeoisie et le prolétariat. Marx affirme : « l’histoire de toute société jusqu’à nos jours, c’est l’histoire de la lutte des classes ». Que cette lutte des classes est l’aspect primordial de la contradiction de chaque mode de production.

La théorie de la valeur : Marx reprend la théorie de la valeur de David Ricardo avec quelques épassements, Marx cite fréquemment Ricardo dans Le Capital. Il évoque la notion de la valeur d’usage et la valeur d’échange : Une valeur d’usage : soit une considération liée à l’utilité de cette marchandise indépendamment de l’effort qu’elle a nécessité pour être produite. Une valeur d’échange d’une marchandise est déterminée par la quantité de travail nécessaire pour la produire, cette quantité de travail étant mesurée par la durée du travail pendant laquelle la marchandise a été produite.

Le concept de la plus value : La plus-value est la valeur prise par les cap ‘talistes sur le prix de a marchandise, après avoir payé les frais des matières premières, et les salaires des travailleurs. Marx présente la monnaie comme intermédiaire des échanges . Cycle marchandise-argent-marchandise (cycle de la classe ouvrière) : (M-A-M). Dans dont l’existence est conditionnée par la présence d’une marchandise particulière : la force de travail. La différence entre A’ et A, le gain réalisé par le capitaliste, est appelée par Marx plus- value.

Le capitalisme et ses trois contradictions : Selon la conception marxiste, le système capitaliste repose sur des rapports de production bien définis ‘ La propriété privée des moyens de production Le salariat. Deux classes antagonistes s’opposent : les bourgeois, qui possèdent les moyens de production, et les prolétaires, qui vendent leur force de travail. Ces deux classes sont en lutte car leurs intérêts divergent ; elles se disputent la richesse créée. Les contradictions du mode de production capitaliste .

Marx rejette le capitalisme, qui, selon lui, génère trois contradictions fondamentales : paupérisation de la classe ouvrière : la recherche d’une plus-value toujours plus importante et la concurrence entre capitalistes provoquent une paupérisation des ouvriers. Crise de surproduction : en raison de la paupérisation de la population salariée, les débouchés sont faibles. Pourtant les capitalistes, pour accroitre leur profit, continuent ? augmenter la production.

Cette situation entraine une tendance ? la surproduction. La tendance à la baisse du taux de profit : cette tendance à la surproduction, entraînera une baisse des prix qui va-t-elle même provoquer une baisse du taux de profit. Rosa Luxembourg Elle explique que, pour dépasser l’une des contradictions du mode de production capitaliste, la crise de surproduction, les pays capitalistes partent chercher des débouchés commerciaux ans le reste du monde. D’où la formation des empires coloniaux.

Luxembourg nous précise dans son ouvrage le rôle joué par le milieu non capitaliste dans le développement du capitalisme, ces derniers considérées comme des débouchés pour sa plus value, comme sources de moyens de production et comme résewoirs de main d’œuvre pour son système de salariat. L’impérialisme ne fait que reculer la fin du capitalisme car les débouchés sont limités, les pays à coloniser sont en nombre restreint, la concurrence des nations impérialistes dans la recherche des débouchés coloniaux pourrait précipiter la chute e capitalisme.

Lénine : Il affirmait que l’impérialisme est un moyen de reculer la chute du capitalisme. Mais, contrairement à Luxembourg, Lénine met l’accent sur ses aspects financiers de l’impérialisme. un intérêt fondamental de l’impérialisme est de retarder la tendance à la baisse du taux de profit. Ainsi, l’exportation des capitaux vers des pays moins développés permet d’accroître les profits. 2) La théorie du capitalism de l’Etat : compensant ainsi l’insuffisance de la consommation des ménages. Il nationalise les entreprises en difficulté dansés secteurs où la aisse du taux de profit est la plus forte.

Les analyses de Paul Baccara ont été à l’origine de la thèse de Michel Aglietta et de la théorie de la régulation. 3) La théorie de la régulation : Groupe d’économistes français du dernier quart du 20ème siècle (Michel Aglietta, Robert Boyer, Alain Liepietz ayant analysé les grandes périodes du capitalisme et insisté sur leur cohérence interne. Ces auteurs s’opposent à Marx, en insistant sur la capacité du capitalisme à surmonter ses difficultés. La théorie de la régulation a mis l’accent sur le fait qu’au sein du ode de production capitaliste, plusieurs modes de régulation peuvent fonctionner.

Les acteurs définissent ainsi deux principaux « modes de régulation » du capitalisme : Le mode de régulation concurrentielle : Lors de la révolution industrielle, tout ajustement se faisait sur la base du marché et de la concurrence. Le mode de régulation monopoliste : Après la seconde guerre mondiale, les prix ont été contrôlés par de grands groupes industriels peu nombreux, alors que de nouvelles relations employeurs-emplo és s’établissaient dans le cadre de conventions collectives