RAPPORT DE STAGE Marketing Online Enseignement à distance des bases du marketing et du marketing stratégique Description : Marketing Online est un projet d’enseignement ? distance du marketing pour les étudiants en management. Le projet utilise une approche matricielle transversale pour aider les étudiants à mieux appréhender tout le rayon d’action du marketing.
Les deux logique dans l’appren sa org également êtres suivi év rafraîchir leurs conna des cas plus complex t une progression s modules peuvent de tudiants désireux de e se pencher sur L’objectif pédagogique de ce projet est d’am liorer la qualité de ‘enseignement dans le domaine en : 1. augmentant l’interactivité entre les étudiants d’une part et entre les étudiants et les enseignants d’autre part, ainsi que la communication par le biais de communautés d’apprentissage ; 2. ffrant la possibilité de personnaliser le processus d’apprentissage et la preparation pour les examens, ainsi que l’auto-évaluation par les étudiants. du projet . 4. La réalisation des interface en Conclusions Technologies pour l’Enseignement et la Formation de l’Université de Lausanne (CenTEF) pour informatiser une collection photographique de 27’000 pièces. Pour cette collection — composée de 709 films de 36 poses, 455 plaques stéréoscopiques, 223 plaques de verre et 1156 diapositives –
L’interface doit être simple d’utilisation en tenant compte du public cible pour laquelle elle sera destinée (Figures 1-6). Les visiteurs du musée sont surtout des personnes âgées qui, très souvent, ne possèdent aucune connaissance en informatique et n’ont jamais utilisé un ordinateur. 2. e design de l’interface doit être sobre mais attrayant; il doit donner l’envie au visiteur de rester au musée et de s’intéresser de rès à la collection tout en comprenant l’importance de l’apport technologique.
Il doit aussi promouvoir l’image de marque du musée (Figures 1-6). 3. L’ergonomie doit être un point fonda de marque du musée (Figures 1-6). 3. L’ergonomie doit être un point fondamental sur lequel repose tout le travall; la construction de l’interface dot absolument être simple mais à la fois suggestive, en utilisant le texte et les images par le biais d’un support navigationnel cohérant et structurellement valable. Aucun problème de confusion dans la gestion des boutons et des liens hypertextuels ne doit survenir. La navigation à l’intérieur des pages doit être aisée et ne doit en aucun cas interférer négativement avec le travail de la consultation. 5. a base de donnée doit être simple d’utilisation et doit permettre la recherche des occurrences sans trop de complications. Les étapes du projet 1 . La première étape du travail a consisté à scanner les 27’000 négatifs et à les numériser afin de constituer une bibliothèque d’archives (plus de 500 cd-rom). En plus de l’importance d’avoir des documents scannes donc une meilleure conservation, ce choix facilite également la recherche d’images. Après le travail de scannage, la qualité de chaque photographie a été soigneusement contrôlée, éventuellement des travaux d’amélioration ont été effectués en y apportant des réglages permettant de restituer dans des meilleures conditions chaque document numérique. 3. Suite à cela, il a fallu concevoir la base de données (Access / ASP / SQL) dans laquelle in documents et la relier des requêtes SQL Lors de cette étape, nous avons rencontré de nombreuses difficultés dues, entre autre, à l’élaboration et la structuration pointues des différentes tables de requêtes.
La précision des descrptions a permis d’indexer l’ensemble selon une multitude de critères, des rues aux personnes, des architectures aux jours, mois et annees. 4. Après, nous avons procédé à l’indexation de chaque document dans la base en se référant à un thésaurus pré-établi par la consewatrice du musée. 5. Elaboration de l’interface utilisateur des bornes interactives en utilisant Photoshop pour les dessins et les maquettes. Dreamweaver a servi à la mise en forme HTML de toutes les pages nécessaires à l’affichage.
La facilité de cette démarche st donnée par la possibilité d’imposer le choix quant au type de navigateur à utiliser. Sur les deux bornes, le navigateur est Internet Explorer, ce qui permet une plus grande aisance pour le codage des pages et l’utilisation des balises de manière plus complexe. 6. Élaboration de l’interface utilisateur du site web a été plus ardue. Pour un travail destiné à la publication sur internet, il faut préparer et structurer le site en fonction de paramètres liés aux habitudes des utilisateurs.
En d’autres termes, la liberté de programmation n’était plus la même que pour l’interface tilisateur des deux bornes puisque le travail devait tenir compte de la présence de plusieurs navigateurs (IE, NN, O), de plusieurs résolutions d’écran, de différents réglages de couleur d’écran (1 6 bit, 32 bit). 7. Conseil, achat et installa d’écran, de différents réglages de couleur d’écran (1 6 bit, 32 bit). 7. Conseil, achat et installation des machines (serveur et postes de travail) sous «W2k» et «W2k Serveur» dans les salles du musee. 8.
Après l’installation des machines, nous nous sommes tenus ? disposition pour la maintenance et la gestion administrative du erveur. g. Réalisation d’un cd-rom destiné à la vente au grand public. Présence lors des conférences de presse organisées à l’occasion de la présentation du travail et du lancement de l’exposition. Plusieurs articles de journaux font état de notre collaboration (par ex. « Le Temps», mercredi 12 juin 2002, page 14). La réalisation des interfaces en image Figure 1 La page d’entrée de l’interface pour les bornes pouvoir mettre en pratique les connaissances acquises tout au long de ma formation à TECFA.
La réalisation des bornes interactives et du site internet, m’ont onfronté à la diversité des points de vue des personnes impliquées dans ce projet. Il a fallu tenir compte de toutes les remarques des différents corps de métiers impliqués dans le projet (informaticiens, conservatrices muséales, enseignant du gymnase), du manque de connaissance dans le domaine de la part de la majorité des intewenants du musée et des volontés parfois irréalisables de la conservatrice qui n’avait pas les moyens pour pouvoir mener à terme une réflexion orientée pour le web.
Tout cela m’a permis de mettre en réelle pratique le rôle ‘intermédiaire entre les personnes directement reliées au développement technique du site et les responsables du musée. Parler des langages à adopter pour une meilleure réalisation du travail s’est avéré parfois très difficile, et m’a obligé à revoir la «question» technique en essayant d’être le plus compréhensible possible afin de convaincre et conseiller au mieux par rapport aux véritables exigences du projet tous nos partenaires.
En d’autres termes, il a été impératif de rendre le plus possible simple la réflexion liée à la construction du projet vis-à-vis es responsables, tout en évaluant et en expérimentant les différentes possibilités techniques (même les plus complexes) éventuelles pour garantir un résultat optimal et convivial. J’ai constaté que sans l’approche indispensable des connaissances technique et de la pratique, on va au dev que sans l’approche indispensable des connaissances technique et de la pratique, on va au devant de problèmes conséquents.
Si d’un point de vue technique, les problèmes peuvent être contournés assez facilement et modifiés par la suite au fur et à mesure, une mauvaise planification peut engendrer d’autres ypes de problèmes, comme par exemple celui de la mauvaise publicité du site ou encore de la faible attractivité de l’exposition qui se résume à peu d’entrées pour le musée lui-même qui ferai penser qu’un tel investissement en temps et en argent ne valait finalement pas le peine.
Il était donc impératif de ne pas se tromper de stratégie et de partir d’emblée sur la bonne ligne. Au-delà de ces considérations, un tel effort a été consenti car les musées évoluent en même temps que le public, il faut que les technologies d’aujourd’hui servent la mémoire d’hier. Le Jura, omme toutes les régions un peu excentrées, souhaitait par le biais de cette exposition prouver qu’il était à même de présenter le passé d’une manière attractive.
L’objectif posé a été pleinement atteint. La présentation partielle effectuée au mois de juin a permis de remarques que le musée a incrémenté les entrées et que la population locale a montré beaucoup d’intérêt pour cette réalisation. Ceci, a conduit les responsables du musée de nous proposer la réalisation d’un cd rom destiné à la vente pour le grand public qui réunit un choix de 60 photos effectuées par Albert Perronne.