rapport de EP ESF

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Bouttier [email protected] ÂCpreuve ICAF or 8 Sni* to View qu’entraine un avancement dans les annÂ@es. Car plus une personne vieilli, plus elle prÂCsente des pathologies liÂOes  l’ÂCge. Au dessus de 70 ans, une personne a au moins une pathologie due  l’ÂCge. La population vieillissante est de plus en plus dÂ@pendante, il faut donc envisager le futur en prenant compte de ses transformations dÂ@mographiques et de la prise en charge de la nouvelle population des plus de 65 ans.

En rÂ@ponse  l’augmentation du nombre de personnes ÂCgÂ@es et par consÂ@quent, aux nombres de personnes ÂCpendantes, la prise en charge des personnes ACgÂ@es dÂCpendantes contribuent   -DÂ@charger les famllles qui ne peuvent pas toujours assurer la prise en charge d’un parent qui nÂ@cessite une aide et une prÂ@sence humaine quotidienne. -Pro Â@ger cette population fragile, qui est souvent victime d’accident de la vie courante, d’isolement et de discrimination -IntÂ@grer la personne ÂcgÂ@e dans un milieu de vie, oÂ1 elle pourra se sentir en sÂCcuritÂC et dÂCvelopper des liens sociaux.

En effet, pendant la pÂ@riode de mon stage, j’ai pu observer que la plus part des rÂ@sidents ÂCtaient tr -s minces. En participant  la pesÂ@ mensuelle et  la consultation des

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courbes de poids, j’ai remarquÂO qu’il y avait une perte de poids chez certains rÂCsidents. De plus, tous les rÂCsidents ne prÂCsentent pas les mÂames pathologies. Certains n’auront aucun mal  s’alimenter, d’autre auront plus de mal  tenir assis pendant tout un repas ou bien une autre partie n’est plus en capacitÂ@ de se nourrlr seule.

Ce qui ne facilite pas la prise de poids quand on sait que certaines personne ÂCgÂ@es ne ressenten pas la prise de poids quand on sait que certaines personne ÂCgÂ@es ne ressentent plus le besoin de manger. C’est pourquoi, entre autre, j’ai choisi cette population qui correspond aussi  mes cours thÂ@oriques de ma formation de technicienne en ÂCconomie, sociale et familiale. Dans ce document, dans un premier temps, je vous prÂOsenterai la [email protected] SAOvignÂC, puis, dans un deuxi me temps, je ferai un ÂCtat des lieux d’une situation qui me semble important et j’AOtablirai un diagnostic de la situation.

Enfin, je [email protected] les moyens humains, financiers ainsi que les outils d’ÂCvaluation de ce projet. l) CONTEXTE 1)La structure 1)Le statut Un Ehpad correspond a un label qui autorise un Â@tablissement ? accueillir des personnes ÂCgÂ@es dÂ@pendantes du fait notamment d’un personnel [email protected] tel que des infirmiers, des assistantes de vie, des aides soignantes, des mÂ@decins, des kinÂ@sithÂCrapeutes etc…

Cest une maison de retraite ayant conclu une convention aupr « s du conseil ainsi qu’avec l’assurance maladie qui participent au financement de la structure. Le financement de la rÂ@s enÂ@ est en parti fait grille AGGIR. Cette grille permet de distinguer diffÂ@rents groupes : le groupe Iso-ressources 1 comprend les personnes ÂCgÂ@es confinÂ@es au lit ou en fauteuil, dont les fonctions entales sont gravement altÂCrÂ@es et qui nÂ@cessitent une prÀ@sence indispensable et continue d’intervenant.

Le groupe iso-ressources 2 concerne les personnes ÂCgÂ@es confinÂOs au lit ou en fauteil, dont les fonctions intellectuelles ne sont pas totalement altÂOrÂ@es et dont l’Â@tat exige une prise en charge pour la plus part des activitÂrOs de la vie courante, ce groupe s’adresse aussi aux personnes dont la motricitÂC n’est pas altÂOrÂOe mais les capacitÂ@s mentales oui. Le groupe iso-ressources 3 rÂ@unit les personnes ACgÂCes ayant conservÂC leur autonomie mentale, partiellement leurs utonomie locomotrice, mais qui ont besoin au quotidien et plusieurs fois par jour diÂatre aidÂ@ pour leur autonomie corporelle.

Le groupe iso-ressources 4 inclus les personnes qui n’assument pas leurs transferts mais qui sont en mesure de se dÂ@placer. Elles peuvent parfois avoir besoin d’aide pour la toilette et rhabillage. Le groupe iso-ressources 5 comporte les personnes ayant besoin d’une aide unlquement pour la toilette. Enfin le groupe iso-ressources 6 rÂ@unit les personnes qui n’ont pas perdu leurs autonomie pour les actes essentiels de la vie courante.

Dans la rÂ@sidence SÂOvignÂ@ sont aussi accueillis les ersonnes soufrant de dÂ@mence tel que la maladie d’Alzheimer 3)Les locaux La rÂ@sidence se divise e ments qui sont reliÂOs par passerelle. Le premier bÂCtiment a quatre ÂCtages alors que le second, qui est rÂ@servÂC aux personnes appartenants au groupe iso-ressources 1 et que l’on appelle UnitÂ@ ProtÂCgÂ@, se compose seulement de deux ÂCtages. Cette unitÂ@ peut accueillir 24 rÀ@sidents au total pour une prise en charge personnalisÂ@ au possible.

A chaque Â@tage il y a un salon centrale ÂCquipÂ@ d’une kitchenette oÂ1 sont organisÂ@s les activitÂCs, oÂ1 les rÂ@sident e retrouvent entre eux mais aussi avec leurs familles. C’est aussi dans ce salon que les collations sont donnÂCs. Il y aussi une grande salle d’animation pour les grandes animations conviviale qui peut accueillir un grand nombre de personne et donc favoriser les liens entre tous les rÂ@sidents et leurs familles. La rÂ@sidence est muni d’une salle de restaurant avec service  table pour une convivialitÂ@ et un maintien de rep »re pour les rÂ@sidents.

Il y aussi de nombreux jardins oÂ1 les rÂCsidents peuvent s’y rendre en toute libertÂO pour profiter d’un paysage arborÂ@. Il st aussi possible d’y dÂCjeuner quand les beaux jours arrivent. 4) es activitÂ@s proposÂCes Pour divertir les rÂCsidents mais aussi  des fins thÂCrapeutiques, de nombreuses activitÂ@s sont proposÂ@es tout au long de la journÂCe, du lundi au dimanche. Chaque mois, la rÂOsidence est rythmÂC par un th »me principal. Les activitÂCs ainsi qu’un certain nombre de repas sont tournÂ@s alors vers ce thA » me.

Par exemple au mois de mars le th me Â@tait l’Irlande avec la de la Sant Patrick, des quizz sur l’Irlande, des reportages, des À@coutes musicales, des repas composÂ@s de irlan ‘Irlande, des reportages, des ÂCcoutes musicales, des repas composÂOs de spÂ@ciaIitÂCs irlandaises ou bien encore des sorties dans un pub irlandais. La stimulation cognitive est rÂCalisÂ@e par des activitÂ@s tels que des jeux comme qui veut gagner des millions» . Il y a trois fois par semaine des revues de presse effectuÂ@es pour les rÂOsidents qui souhaite se tenir informer des actualitÂ@s et ÂCchanger autours de celle-ci.

La stimulation moteur est prise en charge par des ateliers gymnastique, jeux de ballons. La prÂ@sence d’une ergothÂ@rapeute et d’une psychomotricienne facilite la prise en harge des activitÂ@ motrices et sont adaptÂCes aux rÂCsidents et parfois mÂame personnalisÂ@ en sÂCance individuelle. Enfin , il y a les activitÂ@s basÂ@es sur le plaisir et sur les activitÂ@s liÂ@es au quotidien pour faire en sorte que le rÂOsident se sente au maximum comme chez lui.

Ses activitÂ@s sont reprÂCsentÂCes par le bricolage, les soins esthÂOtiques, l’entretien du jardin etc… De plus, chaque jour, les rÂOsidents qui le souhaitent ont la possibilitÂC de faire une sortie dans le quartier accompagnÂ@ d’une ou plusieurs soignantes. La cuisine thÂ@rapeutique a lieu au moins trois fois par semaine u sein de l’ehpad. Cette animation consiste pour des rÂCsidents  se rendre au [email protected], d’y choisir les [email protected] d’un plat (celui ci peut Âtre une pÂttisserie ou une entrÂ@e).

De retour  la rÂCsidence, les rÂ@sidents prÂ@pare une recette simple 5)L’obiectif d’abord, cette structure souhaite le maintien et la restauration de l’autonomie de la personne ÂCgÂ@e. C’est  dire d’Âatre acteur de sa vie, d’Âatre libre de choisir, de dÀ@cider, de penser, de s’exprimer et d’agir quel que soit son degrÂ@d’autonomie. D’Âatre reconnu dans ses capacitÂ@s, de faire des projets, Âatre timuler et maintenir ses fonctions cognitives et amnÂ@siques. De stimuler et maintenir ses fonctions motrices et sensorielles et enfin de maintenir une curiositÂ@ et un intÂ@rÂat pour le monde [email protected]

De plus il est important pour le rÂ@sident de maintenir un contact avec ses proches et de crÂ@er des liens avec les autres acteurs de la vie sociale de l’AOtablissement. La rÂ@sidence a aussi pour objectif de prÂCserver la vie citoyenne au sein de l’ehpad. Les rÂ@sidents sont invitÂ@s  participer  la vie de liÂ@tablissement : conseil de vie sociale etc… t d’Âatre informÂ@ sur la vie de l’Â@tablissement00urnal interne, programme de vie sociale et culturelle).

Enfin la rÂ@sidence souhaite que le rÂ@sident participe  la vie de la citÂ@ en exerÂ5ant ses droits civiques tel que voter, avoir la possibilitÂ@ de rencontrer les commerÂSants de proximitÂC, pouvoir ÂCchanger avec des personnes externes  la rÂCsidences comme des artistes ou des bÂCnÂCvoles. 2Mon enquÂate 1 )Constat Apr »s avoir obsewÂ@ pendant la durÂ@e de mon stage les rÀ@sidents, apr -s avoir consultÀ@ certains dossiers mÂ@dical je e suis rendu compte que plus de la moitiÂ@ des rÂ@sidents n’avait pas un IMC convenable. annexe 1) L’IMC est l’indice de masse corporelle, c’est la relation entre la taille et le poids d’une per L’IMC est l’indice de masse corporelle, c’est la relation entre la taille et le poids d’une personne. Il se calcule en divisant le poids au carrÂ@ par la taille. On obtient ainsi un chiffre. Un IMC convenable est compris entre 19 et 25. De plus j’ai pu participer  la pesÂ@ mensuelle des rÂ@sidents. Certains rÂ@sidents perdaient continuellement du poids depuis leur dÂ@but de Â@jour dans la rÂ@sidence SÂOvignÂC.

J’ai pu aussi assister au service en salle, aÂ1 beaucoup d’assiettes revenaient remplies sans y avoir Â@tÂO touchÂ@es par les rÂ@sidents. En ce qui concerne les rÂ@sidents avec des pathologies plus prononcÂ@s, en consultant leur dossier et en les observant pendant le repas, je me suis aperÂSu qu’ils ne se servaient pas des couverts mais de leurs doigts. 2)Facteurs explicatifs Pour mieux comprendre pourquoi les rÂOsidents perdaient du poids ou du moins n’en prenaient pas malgrÂC parfois l’absence totale d’activitÂO physique, je me suis rendu en salle, oÂ1 je me uis installÂC pour observer le [email protected] d’un repas.

Je me suis aperÂ5u que beaucoup de rÂOsident ne prenaient pas la peine de gouter au p at qu’on leurs servaient. Par la suite, j’ai interroger les rÂ@sidents en leur demandant des explications sur le fait qu’ils n’aient pas manger. Ces derniers m’ont rÂ@pondu que le plat ne leurs semblait pas bon, pas assez bien prÂ@senter ou que l’odeur ne donnait pas envie de le manger. Concernant les pathologies plus prononcÂC, pour qui les couverts sont inutiles, la nourriture comme la purÂCe ou des petits pois est difficile