SOMMAIRE l. INTRODUCTION 1. Objectif du stage 2. Choix de l’entreprise : le pourquoi du secteur de l’entreprise 3. Annonce des différentes parties du rapport . Organisation du ca 1. Présentation du se présentation et o Ill. Déroulement du s ur or 13 prise d’accueil d’accueil 1. Définition et description detaillee des t ches effectuées (département(s) et/ou service(s) visité(s) liés à une ou deux options de la 4ème année). 2. Diagnostic et recommandations par rapport à la structure et ? l’organisation (propositions d’amélioration). IV.
CONCLUSION Bilan du stage : les difficultés constatées et les apprentissages ecueillis à l’issue du stage. comptabilité) d’être indépendant et n’avoir de comptes à rendre ? personne. Il faut noter aussi le plaisir de contacter des (clients, banques, entreprlses, PDG, avocats… ) car il est le coeur du metier. Devenir expert comptable, c’est aussi avoir une vie professionnelle dynamique. A un autre niveau être EC permet d’exercer 2 professions (EC et CAC) qui sont complémentaires tout en étant différentes. Enfin, être EC permet d’être mobile géographiquement .
Ce rapport contiendra plusieurs parties. une première qui abordera d’une manière concise le secteur d’activité de ‘entreprise d’accueil, ensuite, une présentation générale de l’entité d’accueil. Une deuxième qui s’intéressera aux tâches effectuées
C’est dans ce contexte que la Loi 15/89 a été publiée en 1993. Cette loi a expressément limité le champ du monopole de ‘expert comptable aux missions de l’audit contractuel et légal (commissariat aux comptes) des établissements publics et des sociétés. Cette option laisse donc libre l’exercice de toutes les autres missions effectuées dans les fiduciaires et les cabinets comptables et de conseil, notamment la tenue des comptes et le conseil juridique, fiscal et financier. L’inscription au tableau de l’ordre a été réservée aux titulaires du diplôme d’expert comptable.
Mais, en vue de respecter les situations acquises , la Loi 15/89 a reconnu l’accès à l’Ordre, sans condition, à toutes les personnes qui exerçaient la profession ffectivement, à titre libéral, et disposaient d’un certain nombre d’années d’expérience associées à la détention d’un diplôme d’enseignement supérieur (type BAC + 4), alors qu’ailleurs, l’inscription au tableau de l’ordre est conditionnée par la détention du diplôme d’expert comptable qui nécessite une durée d’études et de stages professionnels d’au moins sept ans après le baccalauréat.
La réglementation avait pour ambition de doter le Maroc d’une organisation professionnelle répondant aux standards internationaux pour promouvoir une culture de la transparence t renforcer la fiabilité de l’information financière publiée par les entreprises. Depuis l’instauration de l’Ordre, une avancee considérable a été réalisée en matière de transparence des comptes des entreprises. Cette instltution s’est donné tous les mo de transparence des comptes des entreprises.
Cette institution s’est donné tous les moyens et a bénéficié de la coopération d’organismes internationaux pour assurer la formation continue de ses membres, un effort couronné de succès puisqu’en 2004, l’ordre des experts comptables a été admis comme membre titulaire de l’organisme de normalisation ondiale des techniques de révisions comptables, l’International Federation of accountants (IFAC). Le cursus de formation des experts comptables mis en place début 1990 est fortement inspiré du cursus français, jugé l’un des meilleurs au niveau européen.
Cette formation professionnelle nationale a atteint son régime de croisière puisqu’elle compte plus de 360 étudlants prépa ant le diplôme et 200 professionnels déjà diplômés ou mémorialistes. Par ailleurs, 300 autres étudiants suivent le cursus français organisé à PISCAE et plus de 800 étudiants marocains poursuivent la même formation à l’étranger. Un travail de longue haleine a été réalisé par les instances successives de l’ordre des experts comptables pour veiller aux meilleures pratiques des techniques d’audit et de révision souvent réactualisées, et à la formation continue de ses membres.
Ainsi, l’Ordre des experts comptables a entrepris, depuis la publication de la loi 17-95 relative à la société anonyme, qui rend l’audit légal obligatoire, plusieurs actions, portant notamment sur : l’élaboration d’un manuel de procédures pour l’audit légal et contractuel ; – l’élaboration de normes sur les incompatibilités et l’indépendance du contrôleur des comptes ; l’élaboration du projet de code des devoirs professionnels ; – la mise en place d’un centre de formation attaché à l’Ordre.
Le but recherché à travers ces actions est de s’assurer de la qual 3 de formation attaché à POrdre. Le but recherché à travers ces actions est de s’assurer de la qualité du travail qui sera effectué par les experts comptables marocalns, car, dans la conjoncture actuelle, si les opérateurs économiques venaient à douter de la compétence des experts comptables marocains, la conséquence serait la dévalorisation de leurs travaux vis à vis des entreprises et des investisseurs arocains et étrangers.
L’un des apports essentiels de la Lai 17-95 relative aux sociétés anonymes réside dans le rôle dévolu au commissaire aux comptes, à qui il incombe d’émettre une opinion sur la base de la mission de contrôle permanent qu’il assume, ainsi que les responsabilités civile et pénale qu’il engage au titre de ladite mission. Le rapport de la Banque mondiale, élaboré en juillet 2002, sur le respect des normes et codes au Maroc, n’a pas manqué de souligner les efforts fournis par le Maroc en matière notamment de réformes législatives dans les domaines du droit des affaires, e la finance et de la comptabilité.
L’audit et le commissariat aux comptes instaurés par le Maroc ont également été abordés dans ce rapport, qui en a fait un maillon essentiel dans la construction d’une culture de la transparence financière des entreprises. L’ordre des experts comptables ne revendique que la protection du monopole de l’audit égal et contractuel, lequel constitue un acte majeur dans la vie de l’entreprise marocaine, et un facteur de crédibilité pour celle-ci Présentation et organisation de l’entreprise d’accueil L’expert comptable est d’abord un expert de la comptabilité comme son nom l’indique.
Ensuite, c’est un professionnel qui tient, manage, pilote, surveille, et redresse la comptabilité des entreprises et même aussi de toutes PAGF s 3 manage, pilote, surveille, et redresse la comptabilité des entreprises et même aussi de toutes les entités juridiques des entreprises.
L’expert comptable a des missions variées : la révision comptable, ou l’audit, consiste en un examen en vue d’exprimer une opinion motivée sur la régularité et la sincérité des comptes ; l’établissement des comptes des entreprises et la consolidation des comptes annuels des groupes de sociétés ; le diagnostic et onseil en organisation générale, administrative et comptable, conseil et aide à la décision, conseil en matière juridique, fiscale et sociale, organisation et mise en place de systèmes informatiques spécialisés, relations avec les banques et organismes financiers.
L’expert comptable exerce sa profession le plus souvent à tltre libéral : il est personnellement responsable professionnellement, pénalement et financièrement. L’essentiel de son activité réside dans les contacts avec sa clientèle, ce qui nécessite des déplacements fréquents selon un planning chargé. Il peut également être embauché par une grande entreprise. Les perspectives d’évolution dans le métier sont nombreuses : conseil juridique, fiscal, audit externe, commissaires aux comptes.
Il a souvent des horaires irréguliers et peut travailler le week-end, spécialement au moment des bilans et comptes annuels. L’expert comptable garantit la fiabilité des comptes de l’entreprise en conformité avec les législations comptables, sociales et fiscales. Un métier qui requiert des compétences précises. Des compétences techniques : L’expert comptable maitrise les différentes techniques comptables et financières ainsi que les outils informatiques de gestion. Il peut ainsi mieux gérer les isques lors des audits. Il anticipe aussi les évolutions et les 6 3 gestion.
Il peut ainsi mieux gérer les risques lors des audits. Il anticipe aussi les évolutions et les futures possibilités des outils ? mettre en œuvre. Des qualités personnelles : La disponibilité est souvent rendue obligatoire et les déplacements chez le client peuvent être nombreux les premières années. L’expert comptable, pour se constituer une clientèle, et la conserver, doit faire preuve de rigueur et d’exigences de qualité. Lors de ses missions, son esprit d’analyse et de synthèse lui donnent une grande efficacité et lui ermettent d’optimiser son temps de travail.
Il sait aussi déléguer pour se consacrer pleinement à des tâches plus complexes. Être expert comptable nécessite une formation particulière. En effet, le diplôme d’expertise comptable est obligatoire pour exercer ce métier. Ce qui signifie en gros un niveau de BAC+7 exigé. Pour exercer la profession, l’expert comptable doit obligatoirement être inscrit à l’ordre des experts comptables, après avoir prêté serment. En ce qui concerne « Concept Performance » est un cabinet d’expertise comptable basé sur Casablanca.
Rassemblé autour de aleurs communes et fort d’expertises complémentaires dans des domaines variés, il apporte des solutions adaptées au bénéfice de chaque professionnel et garantit un service de qualité sur rensemble des prestations pour chaque type d’entreprise. Concept Performance est organisé pour accompagner le chef d’entreprise à faire face à toute problématique d’organisation ou de gestion qu’il peut rencontrer tout au long de son activité, qu’elles soient comptables (établissement des documents comptables, tenue de la comptabilité, contrôle des comptes de l’entreprise, élaboration de budgets prévisionnels… , juridiques Constitution de 7 3 de l’entreprise, élaboration de budgets prévisionnels… ), juridiques (Constitution de société, Secrétariat juridique, cession de fonds de commerce… ), fiscales (Optimisation fiscale, Etablissements des déclarations fiscales… ), sociales (Etablissement de la paye et des déclarations sociales), ou organisationnelles ( Manuel de procédures comptables, Mise en place de tableau de Bord, suivi budgétaire, et analyse des coûts de revient… Ce cabinet est composé d’un expert comptable ,d’un chef comptable et de 4 aides comptables. l. Déroulement du stage Les taches effectuées pendant mon stage : . Classement des documents comptables : Le classement des factures est la première tâche à réaliser. En fait, le classement facilite l’enregistrement, la vérification et le contrôle des opérations. 2. Enregistrement comptable : Après avoir classé les documents, nous passons les écritures dans les journaux, chaque journal doit traduire les mouvements et les opérations comptables.
La pièce comptable doit être vérifiée et imputée selon le plan comptable, la date et le numéro d’opération, ainsi le nom du (fournisseur, client) dans les journaux. Au fur et à mesure qu’on passe les opérations aux journaux, on ote sur les pièces justificatives un si ne signifiant que le document a été enregistr hat et au iournal caisse et PAGF E 3 qui représente les enregistrements comptables qui concernent les factures réglées par chèque ou effets de commerce.
Un relevé bancaire est nécessaire pour faire un état de rapprochement entre le compte de la banque tenu par l’entreprise et le compte de l’entreprise tenu par la banque. En suite on procède ? l’enregistrement de toutes les opérations selon la date avec la mention du libellé. Chaque opération débitée par la banque (sur le relevé) est créditée sur le journal banque et vice versa. D Journal Caisse : Nous y enregistrons toutes les opérations concernant la caisse et qui entrainent les mouvements d’espèce : les recettes et les dépenses.
Dans le crédit du compte caisse, on enregistre les dépenses réglées en espèce ( achat, versement à la banque, frais généraux… ). Nous constatons que le compte caisse diminue des dépenses pour chaque opération débitée et augmente du montant des recettes. D Journal Achats : Nous y enregistrons les factures d’achat, soit à crédit soit au comptant. n Journal Ventes : Nous y enregistrons les factures de marchandises vendues aux lients, soit à crédit soit au demandées par la suite à la personne concernée. 3.
Le calcul de la TVA: Définition « La taxe sur la valeur ajoutée est un impôt indirect par excellence, introduite au Maroc par la loi n030-85 du20 décembre 1985 et appliquer officiellement le 01104/1986, elle frappe la consommation finale (redevable réel) et elle est collectée par le redevable légal (les entreprises) . » Cependant, elle n’est pas généralisée et son champ d’application est limité aux : Opérations de nature industrielle, commerciale, artisanale ou relevant de l’exercice d’une profession libérale accomplie au
Maroc , Opérations d’éxportation,et aux opératlon réallsée ? l’importation . Selon les opérations effectuées on distingue, des opérations obligatoirement imposables et des opération imposées par option et enfin des opération qui sont exonérées sans droit ? déduction et d’autres qui sont exonérées avec droit à déduction. Le poids fiscal de Pimpôt demeure identique quelque soit la longueur du circuit de production ou de distribution, la TVA donc représente toujours le même pourcentage du prix de vente, ce pourcentage peut être soit : 7% , 10%, 14 , ou des taux spécifiques.