Dédicaces Je dédie ce travail à ma famille et plus particulièrement, mes chers parents, puisque rien au monde ne pourrait compenser les énormes sacrifices qu’ils ont déployés pour guider mes pas, et leurs encouragements continus, qui me poussaient à entreprendre ces quatre années d’études avec sérénité et confiance.
Hommage leur soit rendu par ce modeste travail, qu’ils l’acceptent comme gage de notre profond amour, toujours croissant et notre reconnaissance jamais interrompue. Sni* to View A mon frère qui m’a t grande affection. A mes amies et tous leurs compréhension Remerciements : ofond respect et une r 128 pour leurs soutiens, continus.
A cette fin de parcours, je tiens à remercier dans un premier temps, toute l’équipe pédagogique de L’école Nationale de Commerce et de Gestion de Kenitra ainsi que les intervenants professionnels responsables de l’option Gestion Financieres et Comptable, pour avoir assuré la partie théorique de celle-ci, et spécialement Mlle ALAOUI Lalla Latifa, mon professeur encadrant engagement PME-PMI, mon encadrant professionnel qui n’a pas hésité à me prêter une oreille attentive tout au long de la préparation de ce mémoire et je le remercie pour ses conseils et a générosité quant à la transmission de son savoir. our conclure, je remercie tous ceux
Puis en se fondant sur un cas pratique, on va constater que le résultat d’une analyse financière peut influencer ‘ensemble de la plateforme de crédit dans la décision d’entretenir ou de se désengager définitivement d’une affaire. Ansl, ce mémoire propose donc d’étudier les apports des banques en matière de financement vis à vis des entreprises, et plus particulièrement les PME-PMI qui constituent 95% du tissu industriel et productif marocain, surtout dans un contexte de crise telle que la crise financière mondiale actuelle qui a éclaté en août 2007, et qui est loin d’être achevée 2 ans après.
En effet, cette crise se transforme consécutivement en crise de conjoncture pour impacter l’économie marocaine. Mots clés : banques, entreprises, analyse financière, crédits, crise mondiale actuelle. Abstract: « The banks – firms relationship, With the particular case of the current world financial crisis Leavine of a professional ve all pragmatic, this experience above all pragmatic, this work has for objective to redraw all the theoretical foundations of the relationship between banks and firms.
Then by basing itself on a practical case, vue WIII be able to notice that the result of a financlal analysis can influence all the people in charge of granting Ioans on their decision, so they can support or deflnitely disengage from a firm. erefore, this report suggest studying the contributions of banks in financing companies, and more particularly the small and medium-sized firms and industries which constitute 95 % of the Moroccan industrial and productive fabric, especially in a crisis context such as the current world financial crisis which burst in August, 2007, and which is far from being finished.
Indeed, this crists is transformed in an economical crisis to Impact on the Moroccan economy. Key words: banks, firms, financial analysis, Ioans, the current world financial crisis„. Introduction Aujourd’hui le secteur bancaire joue un rôle prépondérant dans ‘économie marocaine. Il a connu diverse réformes qui en font actuellement un système moderne, adapté aux besoins de la société comme à ceux des entreprises.
Le secteur bancaire regroupe les différentes activités des établissements de crédit, dont les banques font partie. Ces dernières sont des sociétés financières pouvant effectuer toutes sortes d’opérations bancaires : recevoir et gérer des dépôts, accorder des crédits, proposer et gérer des moyens de paiement et des services financiers. Ces établissements peuvent également effectuer des opérations de change et proposer des conseils en atière de placement ou de patrimoine, pour les particuliers et les entreprises.
Une analyse détaillée des nombreu de patrimoine, pour les particuliers et les entreprises. Une analyse détaillée des nombreuses crises financières qui se sont manifestées lors du dernier siècle (le jeudi noir en 1929, la crise de 1 987… etc. ) a poussé tous les organismes financiers internationaux à reconsidérer avec plus d’importance la relation banque entreprises.
Les graves répercussions des chocs financiers et périodes de crises lors des dernières décennies sur le système financier et bancaire international avec toutes les onséquences sur la croissance et l’économie mondiale, ainsi que le caractère international de toutes les crises financières de grande ampleur, ont mené l’ensemble des plus grandes puissances économiques mondiales à se mettre d’accord sur une vision unlforme d’optimisation de la relation des banques avec les entreprises qui sont généralement affectées par ces crises.
La crise financière mondiale actuelle appelée : « Crise des Subprimes » a épargnée le système bancaire marocain, ce qui n’est pas le cas pour les entreprises marocaines, notamment les PME-PMI. En effet, les crédits représentent la principale source e financement de ces dernières sauvent caracterisées par une faiblesse des fonds propres, et pour lesquelles, cette crise peut créer une incertitude indéniable.
A la lumière de cette nouvelle pondération des risques, la relation banques-entreprises connaîtra nécessairement des changements, et soulèvera de nombreuses interrogations : Y’aurat-il durcissement de la politique d’octroi des crédits et quelle réponse peuvent apporter les entreprises ? Les PME vont-elles être désavantagées par rapport aux grandes entreprises qui ont une probabilité de défaut moindre ? Les PME exportatrices, dont la maitrise de la s
Les PME exportatrices, dont la maitrise de la solvabilité de leur client est plus dlfficile, seront-elles davantage touchées ? Les réponses à ses questions, nous permettront de mieux comprendre les enjeux de la crise actuelle et l’impact qu’elle pourrait avoir sur le système bancaire marocain, les entreprises marocaines notamment les PME-PMI et la relation qu’entretiennent les banques avec cette catégorie d’entreprises qui constituent 95% du tissu industriel et productif marocain.
Etant étudiante en quatrième année à l’Ecole Nationale de Commerce et de Gestion de Kenitra, j’ai eu l’occasion et le rlvilège deffectuer mon stage de fin d’études au sein de la Banque Marocaine pour le Commerce et [‘Industrie, qui est une filiale du groupe BNP Paribas, lieu qui me semblait être le meilleur environnement pour mettre en pratique mes acquis théoriques et renforcer ma capacité d’analyse et de perception, qui est pour moi un principe fondamental dans le milieu professionnel.
Partie prenante non seulement dans l’évolution du secteur bancaire marocain, mais également dans le développement économque et social du pays, la Banque Marocaine pour le Commerce et l’Industrie occupe aujourd’hui une place très articulière dans le secteur bancaire marocain, et ce en se distinguant par sa stratégie d’innovation, de mobilisation des ressources humaines, d’optimisation de la qualité, et de développement continue, illustrée par plusieurs projets de taille, témoignant de sa volonté de progresser régulièrement et de s’imposer comme une référence du secteur bancaire marocain et comme un opérateur solide sur le plan national et international. Mon stage au sein de la Ban opérateur solide sur le plan national et international. Mon stage au sein de la Banque Marocaine pour le Commerce t l’Industrie, m’a permis ainsi de parfaire ma formation et d’appréhender un nouveau secteur : celui des banques.
Ce dernier regroupant plusieurs activités différentes et relativement peu connues du grand public. Je m’emploierai dans la première partie à en préciser les principales caractéristiques avec un bref descriptif de l’organisme d’accueil. Dans la deuxième partie, je vais traiter le thème qui m’a été confié a savolr « La Relation Banques-Entreprise, le cas de la crise mondiale actuelle La recherche sur ce thème a pour principal objectif d’apporter un éclairage à Péquipe dirigeante sur certains points, en mettant ? a disposition des éléments pertinents pour la prise de certaines décisions. La trolsième partie sera consacrée à une étude de cas, ou je vais traiter un dossier de crédit d’une PME-PMI.
Finalement, la dernière partie, j’exposerai la méthodologie employée pour traiter le thème qui m’a été confié au cours de la période de stage ainsi que les résultats de cette modeste recherche. Cette dernière permettra donc de découvrir d’une façon globale la position actuelle de la Banque Marocaine pour le Commerce et l’Industrie sur le secteur bancaire marocain et surtout d’identifier es perspectives d’avenir qui lui sont offertes pour atteindre ses objectifs de croissance et de développement et assurer sa pérennité. Présentation du secteur bancaire marocain A)- Historique : L’ouverture des premiers guichets bancaires au Maroc date de la deuxième moitié du 19ème siècle.
Avec l’avènement du protectorat français en 1912, des banques commerciales européennes, des banques d’affaires et des groupes financiers étrangers se sont installées au Maroc. De même, ont vu le jour des institutions financières marocaines remplissant des fonctions spécifiques et intervenant dans des domaines particuliers. L’exercice de l’activité bancaire, qui n’était régi par aucun texte particulier, a été organisé pour la première fos en 1943. Au lendemain de l’indépendance du Maroc en 1956, les bases d’un système bancaire national ont été mises en place. La Banque du Maroc (Bank al Maghrib) a été instituée le 30 juin 1959 pour se substituer à la Banque d’Etat du Maroc et assurer la fonction de Banque Centrale.
En 1967, une loi relative à la profession bancaire et au crédit a été promulguée. Elle a permis une définition plus précise de l’activité des banques, la délimitation des attributions des autorités de utelle et de surveillance et l’institution d’une réglementation plus appropriée. Cette loi établissait une distinction très nette entre les banques commerciales (ou de dépôts, qui avaient pour objet d’effectuer des opérations de crédit et recevoir des dépôts à vue) et les organismes financiers spécialisés (OFS, qui étaient régis par des textes propres et concouraient au financement de l’investissement et de secteurs particuliers).
Une nouvelle loi bancaire a été instaurée en 1993 et a introduit un concept nouveau, largement inspiré de l’expérience internationale, celui de la banque universelle. En vertu de cette loi, les banques peuv loi, les banques peuvent exercer et commercialiser l’ensemble des produits et services bancaires. Cette notion annule la spécialisation établie jusque là entre les banques commerciales et les organismes financiers spécialisés. B)- Principales caractéristiques du secteur bancaire et financier marocain : Le secteur bancaire marocain se caractérise par une forte concentration. Cette concentration se matérialise par la prédominance des plus grandes banques en termes de parts de marché.
Les trols premiers établissements atteignent plus de 50 % en termes de part du marché en 2002. Le taux de bancarisation ne concerne encore que le quart de la population totale, mais la moitié de la population urbaine. Près du tiers du réseau bancaire est concentré sur l’agglomération casablancaise. Aujourd’hui, le secteur bancaire au Maroc est « essentiellement privatisé » et les quelques banques publiques qui restent sont en cours de privatisation. Le secteur bancaire marocain se caractérise également par une présence marquée des banques étrangères : Les grandes banques privées du royaume comptent dans leur actionnariat des banques étrangères plus ou moins impliquées dans leur gestion. On recense: 1.
Des filiales françaises BNP Paribas contrôle 63,12% de la Banque Marocaine pour le Commerce et l’Industrie (BMCI) ; la Société Générale contrôle 51 de la Société Générale Marocaine de Banque (SGMB) ; le Crédit Agricole contrôle du Crédit du Maroc. 2. Des participations étrangères minoritaires mais significatives et s’accompagnant d’accords commerciaux : le CIC, depuis 2004, a e capital de la Banque 2004, avec dans le captal de la Banque Marocaine du Commerce Extérieur (BMCE) ; Santusua Holding (Espagne) avec 14,48% du capital de Attijariwafa Bank ; Le Crédit Agricole avec 1,44% du capital de Attijariwafa Bank, mais présent à hauteur de 34% dans les filiales stratégiques que sont Wafasalaf et Wafagestion.
C)- Structure du système bancaire marocain Nombre d’établissements de crédits : 52 dont 16 banques et 36 sociétés de financement ; Nombre de banques offshore : 6 ; Implantations au Maroc : 2447 guichets bancaires et 1684 guichets de la poste ; Implantations des banques à l’étranger : 6 filiales, 14 succursales et agences bancaires ainsi que 64 bureaux de représentation Total bilan des établissements de crédits 540 milliards de dirhams fin 2006 ; du total actif du système bancaire est détenu par les banques à capital privé, par les banques publiques, et par les banques à capital étranger ; 66% des dépôts sont détenus par les banques à capital privé, 12 % par les banques publiques, et 22% par les banques à capital étranger. Représentations graphique • Figure 1 : la concentration des dépôts en fonction du statut de l’actionnariat. crédit populaire du Maroc : Leader historique du secteur, est constitué de la Banque Centrale Populaire (BCP) et son réseau de Banques Populaires Régionales (BRR). Organisme public partlculièrement concerné par la collecte de la petite épargne et la distribution de crédits aux PME-PMI. 3. Les anciens organismes financiers : Spécialisés dans le financement de secteurs d’activités particuliers : Ces banques sont engagées dans un processus de restructuration et d’assainissement. 4.
Diverses autres banques dont la création répond à des besoins spécifiques : BANK AL AMAL, pour le financement de projets d’investissement des Marocains résidant à l’étranger ; MEDIAFINANCE et CASABLANCA FINANCE MARKETS qui interviennent sur le marché des titres négociables de la dette ; e FONDS D’ÉQUIPEMENT COMMUNAL (FEC) dédié au financement des collectivités locales. 5. Bank Al Maghreb : Tous les établissements bancaires énumérés ci-dessus, sont soumis au contrôle de Bank Al-Maghreb, cette banque créée par le dahir du 30 juin 1 959, est une personne morale publique dotée de l’autonomie financière dont l’objet, les fonctions, les opérations ainsi que les modalités d’administration, de direction et de contrôle sont arrêtés par la présente loi ainsi que par les textes pris pour son application. Elle est entièrement détenue par l’Etat. PAGF 28