Question 54

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Question 54 : Quels sont les différents déterminants de l’épargne et la consommation ? INTRODUCTION L’épargne des ménages peut être définie comme la différence entre leur revenu disponible et leur consommation. Consommer signifie détruire par l’usage, immédiatement ou progressivement des biens et des services. Il existe donc une interaction entre consommation et épargne.

Nous allons dans un premier temps montrer en quoi la consommation et l’épargne ont un rôle dans l’équilibre offre/ emande et dans un deuxième temps comment ces termes sont perçus selon keynes 1/ La consommation entreprises et les inci est égale à la conso or 3 Sni* to vieu uchées des libre, la demande entr donc toute variation de la consommation entraine une variation de la demande.

Quant à l’épargne, elle est indispensable au maintien de l’équilibre macroéconomique car elle permet le financement de l’investissement qui est une composante de la demande. Elle est aussi à l’origine de l’accumulation du capital qui est une omposante de l’offre. par consequent, toute varlation du niveau de ‘épargne a une implication directe sur cet équilibre. L’épargne et la consommation sont donc des variables de l’équilibre offre ‘demande.

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les pensées néoclassiques et classiques. 2/ Les deux approches de la consommation et de l’épargne. Selon KEYNES, la consommation est une fonction croissante du revenu courant, son augmentation entraîne un accroissement roportionnellement plus faible de la consommation (propension moyenne et marginale à consommer), on appelle cette analyse la fonction de consommation keynésienne.

Il existe pour lui un effet d’imitation selon lequel les individus sont parfois tentés d’adopter une autre norme de consommation que celle du groupe auquel ils appartiennent en imitant celle des catégories sociales supérieures, aux revenus souvent supérieurs Pour KEYNES une consommation atteinte est difficilement réduite du fait des habitudes et des engagements qui ont été pris. Ce qu’il a appelé effet de cliquet.

Concernant l’épargne, elle revient à une analyse proche de « l’épargne pour motif de précaution », donc face à l’incertitude de son revenu, l’agent constitue une épargne liquide qu’il pourra mobiliser rapidement. En cas de chômage élevé l’épargne ne doit pas être soutenue car elle se constitue au détriment de la consommation, donc de la production et de l’emploi. Du point de vu classique (Friedman), il existe différentes théories dont la théorie du revenu permanent selon laquelle