Paris Anthologie 1

Paris Anthologie 1

dans leurs écrits, il serait donc int ressant maintenant de se questionner sur la vision qu’ont ces mêmes auteurs et les sentiments personnels qu’ils expriment à l’égard de Paris. Afin de répondre à cette question, ce recueil propose quatre textes, d’époques et de contexte totalement différents. Le premier texte q Paris Anthologie 1 Premium gy julesdIny22 Maa OB, 2015 7 pages Paris, considéré depuis des siècles comme le berceau de la littérature Française est à la base de l’inspiration de nombreux auteurs.

En effet, depuis aussi longtemps que la capitale de la ville existe ous le nom de Paris les auteurs s’en sont imprégner afin de réaliser leurs œuvres quelles qu’elles soient. Que ce soit du domaine du simple roman à l’écriture de nouvelles à chute en passant par la poésie ainsi que le théâtre sans oublier la peinture, le dessin et la musique, les auteurs puisent leur inspiration de la cité et de sa sublime architecture, en effet, Notre Dame de Paris, la tour Eiffel, le grand palais, sa multitude de ponts et bien d’autres monuments ont inspirés bon nombre d’œuvres a travers Swipe Lo nexL page les siècles.

Tout com au fil des siècles et le ainsi que bien d’autr L’art

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et la littérature s Paris. On devine don or7 Sv. ivx to opulations de Paris Iles-ci se livraient, tes de l’histoire de encé les poètes qui nous sera proposé s’intitule Sur la ville de Paris, poème écrit par Isaac de Benserade en au XVIIème siècle. Isaac de Benserade est un poète, dramaturge qui serait né à Paris en 1612. Très proche du cardinal de Richelieu et du roi Louis XIV il était très populaire auprès des milieux mondains de [‘époque, Isaac de Benserade était également tres intéressé par le théâtre et a consacré beaucoup de temps à son écriture.

Dans son poème, de Benserade nous propose une éloge de la ville de Paris et nous onfronte à sa prise de position personnelle concernant la cité. La deuxième œuvre de cette anthologie s’intitule «Rêves parisien », c’est un poème de Charles Baudelaire publié dans le recueil Les fleurs du mal paru en juin 1857. C’est un recueil qui englobe la quasi-totalité des œuvres de son auteur. Encore aujourd’hui ce recueil est considéré comme l’une des œuvres majeures de la poésie moderne.

Il est composé de près de 150 œuvres très variés alliant beauté, provocation et débauche. Ce recueil fera l’objet d’une très grande discorde lors de sa sortie et n procès sera mené contre le poète et son recueil sera accusé d’outrage à la morale publique et d’offense à la morale religieuse car ce dernier montrait l’attirance de Fhomme envers la beauté du mal et la débauche. L’auteur se verra alors condamné à la censure de plusieurs de ces œuvres. L’auteur, Charles Baudelaire est un poète né à Paris en 1821 ce poète à mi-c PAG » rif 7 plusieurs de ces œuvres.

L’auteur, Charles Baudelaire est un poète né à Paris en 1821 ce poète à mi-chemin entre le classicisme, le romantisme et le symbolisme est considéré comme un poète emprunt à la modernité. Baudelaire est connu pour son « spleen Y, un sentiment profond de découragement, d’isolement, d’angoisse. En quête d’un idéal qu’il le sait ne parviendra jamais à atteindre étant donné sa nature seulement et misérablement humaine il est alors envahi de ce spleen qui lui est si caractéristique.

Dans son œuvre « Rêves parisiens » Baudelaire y fait alors Péloge de la ville de Paris. La troisième œuvre de ce recueil est une nouvelle fois une œuvre de Baudelaire, également extraite du recueil Les fleurs du mal précédemment cité. Le poème parait dans la deuxième édition du recueil en 1861. Ce poème qui s’oppose en tout point au texte précèdent réalise cette fois-ci le blâme de la même ville de paris, il permet de voir les deux opinions personnelles différentes de l’auteur dans le cadre de deux situations différentes.

Le dernier poème inscrit dans ce recueil est un poème de Guillaume Apollinaire présenté sous forme de calligramme (poème écrit en forme de dessin) intitulé « Tour Eiffel » parût dans le recueil Calligrammes, poèmes de paix et de guerre écrit entre 1913 et 1916 mais parût en 1918. Guillaume Apollinaire est un poète et écrivain d’origine polonaise mais naturalisé français né n 1880, porteur PAGF3C,F7 est un poète et écrivain d’origine polonaise mais naturalisé français né en 1 880, porteur d’un esprit nouveau et précurseur du surréalisme, c’est l’un des poètes les plus importants du début du XXème siècle.

Il composera beaucoup de poème en temps de guerre et sera très inspiré par celle-ci. Dans son calligramme Apollinaire rend compte de son impression face à la guerre et de ce que lui inspire Paris en ces temps de résistance. Paris est donc vu de différentes façons en fonction de l’époque, en fonction de ce que l’auteur cherche à dénoncer ou bien du ontexte, on remarque alors qu’on peut tout aussi bien en faire l’éloge, comme le blâme. ? Sur la ville de paris Isaac de Benserade Dans son poème, Isaac de Benserade affirme dès le début sa prise de position par rapport à la ville de Paris, en effet y étant né et y étant issue d’un milieu mondain celui-ci est alors très attaché à celle-ci et n’hésite pas à en faire l’éloge. L’auteur grâce à une argumentation bien construite impose sa prise de position ferme et son avis à ses lecteurs. L’utilisation du présent tout au long du poème permet de rendre tout ce qu’il décrit comme fixer à jamais dans le temps.

L’auteur met son argumentaire en faveur de la ville et met en valeur la diversité qui y règne. Cette diversité est montré à l’aide d’antithèse et de symétrie de construction : « on y vole, on y tué, on y pend, on y roué » (vers 4) Le poème permet d’avoir u construction : « on y vole, on y tué, on y pend, on y roué » (vers 4) Le poème permet d’avoir une vision contrasté de la ville de Paris, de ce fait l’auteur peut convaincre à l’aide d’une approche comparative de la réalité.

Ici le poète à une vision de la VIIIe de Paris qui lui est propre mais celle-ci semble Itrès importante à ces eux. « Rêves parisien Les fleurs du mal, 1857 Publié dans la section « tableaux parisiens » dans ce poème-ci, l’auteur fait l’éloge de la ville de paris. En effet, dans son poème Baudelaire par l’utilisation du champ lexical du sommeil et des rêves semble faire la transcription d’un songe dont il est le seul créateur.

En décrivant alors la ville de Paris dans son propre rêve cela montre l’importance que le poète voue à la ville et son attachement à celle-ci. L’auteur met un point d’honneur à décrire visuellement les éléments auxquels il songe afin de nous faire adhérer à son point de vue. Baudelaire nous décrit alors la ville d’une manière merveilleuse et à la fois mystérieuse, avec l’utilisation des formules telles que « Flots magiques, féérie, prodige, merveilleux.. » qui donnent une autre dimension à la ville de Paris.

Baudelaire nous fait alors part de son fantasme par rapport n parlant d’elle comme montre les citations suivantes « ville rêvé, parfaite, trésors, or mat et bruni » Il nous fait également part de ses proportions démesuré et de son immensité afin de convaincre le lecteur de la grandes diversité de celle-cl et de sa source infini d’activité. ? Le crépuscule du soir Les fleurs du mal, 1861 En revanche dans ce poème, à l’inverse du précédant Baudelaire nous fait part de sa détresse quant aux vices qui inonde Paris et dont lui-même semble être victime.

Le poème lui-même dans sa forme semble désordonné et emprunt à la folie de par l’linhomogénéhisation du nombre de vers par strophes. Le poète décrit l’atmosphère des nuits parisiennes et parle des criminels, il décrit Paris comme leurs territoire à la nuit venue. Baudelaire pointe également du doigt la prostitution qui pullule et qui est omparé à une fourmilière, comme des animaux pouvant aller partout et se trouvant en un nombre infini.

Ainsi il compare la prostitution à un vice duquel on se rend compte seulement quand il est trop tard. Il décrit le nouveau Paris comme dégageant une atmosphère nerveuse et agressive, voire gênante, et pourtant impossible d’en échapper. La ville est alors personnifié ce qui permet d’accentuer ses défauts aux yeux des lecteurs. Le poète crée également une atmosphère de mort et d’agonie en parlant de la douleur des habitants de la ville « douleurs, les prends à la eoree, soupirs . finit paGF6CF7