cigarette, buvant, portant un monocle et de surcrois ayant I ors «caritature» de la gar n ne représente ici, mais il peint model caricaturise la grand, une dentition nez presque Otto Dix , Le portrait de la journaliste Sylvia von Harden Premium By Skippyx CS, 2014 pages La journaliste Sylvia von Harden Nous allons donc vous décrire cette huile d’Otto Dix (1891-1969) datant des années folles, plus exactement ce fut en 1926 que la toile fut peinte.
Cet toile s’appel «La journaliste Sylvia von Harden» t représente donc, une femme -asise à une table de bar au coin d’un pièce rouge- représentative des années 20, habillée d’une robe style ecossaise rouge, fumant une Swipe to page cari presque la urise (comme son s): un corps trop ment du visage, un crochu ect. La toile est dans les tons rouges avec pour seuls contrastes la table en marbre et les parties découvertes de cette femme (mains, jambes, visage).
La journaliste a été peinte du coté gauche de la toile, elle est accoudée de son bras gauche au dossier e la chaise sur laquelle elle est assise, elle regarde dans le vide en face d’elle, un verre (style verre à Martini avec olive) est posé
Son visage met mal à l’aise, on ne sait pas ce qu’elle pense, néanmoins quelque chose nous pousse ? rentrer dans le tableau et à s’assoir en face ‘elle, peut-être rabsence de «barrières» comme d’autre tables ou un élément donnant plus de profonl 931, Sander rend homdeur comme un piler par exemple. mage au peintre en photo- Pour expliquer en quoi ce tableau est représentatif de cette époque, il suffit de vous dire ce que la jourgraphiant cette secrétaire naliste Sylvia von Harden relate de sa rencontre avec Otto Dix, sur un trottoir de Berlin en 1926: employée par une station de radio. ?- Je dois vous peindre ! Il le faut absolument Vous représentez oute une époque . – Vous voulez donc peindre mes yeux sans éclat, mes oreilles biscornues, mon nez long, ma époque ! biscornues, mon nez long, ma bouche mince et mes longues mains, mes jambes courtes, mes grands pieds, qui ne peuvent Otto Dix, «La journaliste Sylvia von Harden», «Bildnis der Journalisqu’effrayer mais pas réjouir le spectateur ? tin Sylvia von Harden», 1926. – Vous vous êtes caractérisée de manière extraordinaire et le tout Peinture à l’huile et tempera sur bois, 89 cm x 121 .
Conservée au onnera un portrait qui représente une époque, qui ne s’attache pas à la Centre pompldou, Nlveau 5 et achetée à fartiste en 1961. beauté extérieure d’un femme mais bien plus à son psychisme. » C’est amusant comme, avant même d’avoir peint son tableau, Dix avait une idée précise de la portée future de son oeuvre. Il avait compris l’esprit même de la libération de la femme que fut ces années: c’était une révolution des mentalités de chacun et non de l’image des femmes. August Sander, portraits d’Otto Dix et de son épouse, photographie de 1926.