Oral TPE L’EPO Mode d’action Tout d’abord l’EPO es sme, mais c’est pratiquem L’EPO est une hormo à 1096 om Sni* to View s utilisé dans le cycli rand public. par les reins et par le foie. Elle agit sur la moelle osseuse où elle stimule la produc tion de globules rouges. Ces globules transportent les molécules de dioxygène que nous respirons. En effet, les molécules d’hémoglobine captent au nivea u des poumons l’oxygène pour l’acheminer vers les cellules de notre cor ps et ainsi fournir l’énergie nécessaire à leur fonctionnement. Mais les globules rouges ont une durée de vie limitée.
La diminuti on de globules rouges dans le sang s’accompagne d’une diminution de pression en oxygène. Ce phénomène si il est excessif peut engen drer enzymatique permettant d’établir une liaison covalente entre une protéine et un glucide. (Une réaction enzymatique est une réaction chimique ou biochimique catalysée par une enzyme L’EPO comme nous l’avons vu est constituée par une protéine qui codée au niveau d’un gène localisé sur le chromosome 7. Les scientifiques vont isoler la séquence d’acides nucléiques codant p ur EPO humaine et l’intégrer dans une cellule ovarienne de hamster chinois.
Cette cellule va donc fabriquer en même temps que
Un traitement à base de fer permettra une mellleure fixation de la molécule d’oxygène sur les hématies. Il. Hormone de croissance L’hormone de croissance fait partie des hormones peptidiques, s ubstance naturellement fabriquée par le corps qui participe à la régulation des organes, à la croissance du corps en augmentant la masse musculaire, en dimi nuant la masse grasse, et en aglssant sur les facteurs de croissance.
L’hormone d e croissance eut être d’origine humaine ou synthétique. L’hormone de croissance humaine a été à l’origine de la transmiss ion de la maladie vache folle. Le traitement médical par l’hormone de crois sance était justifié par les pédiatres dans le cas de nanisme hypophysaire: un retard de croissance jusqu’en 1985, on utilisait une hormone humaine, issue de la glan de pituitaire (ou hypophyse).
En aucun cas, l’utilisation de rhormone de croissance n’est justifiée chez le sportif. Effets de l’hormone de croi PAGF3C,F7 le sportif extrémités comme les poignets, les genoux, les chevilles, les main et pieds ?? déformation irréversible du visage et de la tête : avancement prononcé de la mâchoire inférieure, augmentation du périmètre crânien • diabète irréversible à plus ou moins longue échéance. • croissance anormale de certains organes. ?? augmentation anormale de la taille du coeur, du foie, des reins, de la thyroïde. • maladie de la vache folle • hypertension • hypertrophie des cavités cardiaques. • insuffisance cardiaque. Conclusion L’hormone de croissance fait partie des substances interdites en permanence Grâce aux recherches entreprises et à l’avancée des technologies e dépistage, l’hormone de croissance peut maintenant être beaucoup plus facil ement retrouvée lors de contrôles ciblés. Ill.
Testostérone La testostérone est un produit do ant anabolisant, dérivé d’une h ormone naturellement Augmente la résistance à la fatigue • Facilite la récupération Effets négatifs du dopage à la testostérone : • Déchirures musculaires • Développement important de l’acné • Gynécomastie (développement des seins chez Ihomme) • Risque d’oedèmes ( un œdème correspond au gonflement d’un organe ou d’un tissue) et de tendinites ?? Calvitie • Maux de tête et troubles du foie • Cancers (notamment de la prostate) • Troubles cardiovasculaires graves • Dépendance, agressivité et troubles psychologiques • Impuissance et stérilité IV. Cortisone La cortisone a été découverte en 1935. Jabord appelée « Compo und E», elle fut renommé « Cortisone » en 1939. C’est un antiinflammatoire qui pe ut soigner certaines maladie de type ORL ou pulmonaires. Cependant il favorise l’ulcèr e. De nos jours, on peut dire que la Cortisone est utilisée pour un usage personnel ou à des fins sportives. La Cortisone fait partie des Corticoïdes (ce sont des hormones pr oduites par les sportif à poursuivre un effort physique.
De plus son effet antiinfla mmatoire permet de diminuer la sensation de douleur. La Cortisone agit également su r le système nerveux, ce qui permet au sportif de se sentir plus confiant lors de l’effort et de diminuer la sensation de stress. Cependant pour les patients traités par la cortisone il est conseillé de pratiqué certaines activité physique pour éviter certains effets secondaires comme la sensation de fablesse ou la prise de poids. Dans le cadre du dopage nous parlons de la cortisone de synthès e qui n’est bien évidemment pas l’hormone naturelle sécrétée par les glandes sur rénales (situées audessus des reins). La Cortisone se présente sous forme de com primes ou de liquide buvable.
Elle agit quelques heures après injection (cepend ant elle peut être détectée seulement quelques heures après utilisation). Les sports sans lesquelles la cortisone est le plus utilisés sont les sports d’endurance comme le cyclisme ou Fathlétisme. Le traitement de cortisone sans ordonnance ou autorisation médi cale peut provoquer es effets secondaires. Il peut augmenter la sécrétion acide par Ile stomac, ou peut même l’irriter et favoriser la survenue d’ulcères. La cortisone fait monter la tension ainsi que le taux de glycémie. De plus, elle fragilise les os, peut au gmenter le risque de dépression nerveuse, et, chez certaines personnes, elle fragilis e les os.
De plus, après l’arrêt d’un t sportif peut être victime d’ Autotransfusion L’autotransfuslon consiste à prélever du sang à un athlète pour le lui réinjecter par la suite : pendant l’entraînement, environ un litre de sang est prél vé ; celuici est alors conservé selon un protocole rigoureux ; dans la semaine qui précède la compétition (un à sept jours auparavant), le sang est retransfusé. En fournissant plus de globules rouges, cette technique augmente la capacité de transport d’oxygène aux muscles, ce qui améliore l’endurance mu sculaire et les performances de fathlète. Les effets peuvent se prolonger penda nt deux semaines.
Les principaux risques associés à l’autotransfusion sont une réacti destruction des globules rouges, les réactions allergiques, la trans mission ‘infections bactériennes ou virales et l’augmentation de la Vlscosi té du sang qui peut entraîner des problèmes cardiovasculaires. Cette méthode a été très utilisée, notamment lors des Jeux olymp igues d’été de 1984, aux ÉtatsUnis. Elle est difficile voire impossible à détecter. L ors d’une transfusion homologue, le sang provient d’un donneur humain do nt le groupe sanguin est compatlble avec celui du receveur. Ces cas de dopage sont plus faciles à déceler, cela a été le cas pour le coureur cycliste américai n Tyler Hamilton. Les tests font intervenir des interactions antigènes/ anticorps qui