Objet d tude eco n 2 d localisation relocalisation

Objet d tude eco n 2 d localisation relocalisation

Miréla LABONTE 1 ère Baccalauréat Professionnel Commerce Lycée Jean-Durand Professeur : Mme. ROlJSSE OBJET D’ETUDE ECONOMIE V2 . LA DELOCALISATION ET LA RELOCALISATION org Sni* to View Année : 2013-2014 SOMMAIRE Document NO 1 : Graphique 1 – proportion de sociétés de 50 salariés ou plus ayant externalisé en France ou délocalisé des activités entre 2009 et marchandes non financières de 50 salariés ou plus ont externalisé en France (totalement ou partiellement) au moins une activité et 4,2 % ont délocalisé (totalement ou partiellement) au moins une activité.

Champ : sociétés marchandes non financières de 50 salariés ou plus (fin 2008) implantées en France, dont le secteur appartient aux divisions 05 à 82 (hors divisions 64 à 66) de la NAF rév. 2. Source : Insee, enquête Chaînes d’activité mondiales. Document 2 : Les adeptes de la relocalisation Entre volonté politique et recherche de valeur ajoutée, 1’« inshoring » ou la relocalisation des centres de relation client est ? l’ordre du jour. Une vraie réflexion pour les donneurs d’ordre. Après la vague de l’offshore, 1’« inshore » redessinera-t-il le paysage des centres de relation client ? ?? Les délocalisations ralentissent depuis trois ans, observe Marc Gladysz, président de Phone Marketing. La raison

Désolé, mais les essais complets ne sont disponibles que pour les utilisateurs enregistrés

Choisissez un plan d'adhésion
? La délocalisation a montré ses limites. S’y ajoute la pression aliti ue et sociale française. » Si 70 % des centres d’appels France, avec 3. 500 *AGF 9 rif q encore. Dans un secteur où la main-d’oeuvre représente de 60 à 70 % des coûts, les raisons de délocaliser ne manquent pas. Selon l’AFRC, une entreprise paie de 25 à 28 euros quand elle externalise en France contre 14 euros en offshore. ? Mais la délocalisation a montré ses aspects négatifs, souligne Laurent Hermel, auteur de « Centres d’appels-centres de relation client ». Coûts cachés et différences culturelles sont trop importants. Or, si les réponses techniques sont capitales, l’échange avec le client l’est tout autant. » Dès lors, pour certains comme Laurent Tupin, directeur de relation client de Vente- privee, le choix de 1’« inshoring » s’impose : « Nos relations client les plus complexes sont traitées en interne. Le reste est sous- traité, mals en « inshoring ».

Il est impossible de répondre au plus près des attentes client via un centre en offshore où la culture et l’éducation sont trop différentes. Nous ne travaillons qu’avec des « natifs » : des conseillers allemands répondront à des clients allemands, par exemple. » Outre la question de l’image, 1’« inshoring » répondrait donc à une recherche accrue de qualité, facilitée par la proximité. Chez Vente- privee, « un formateur dédié se déplace tous les quinze jours chez nos prestataires, souligne Laurent Tupin.

Nous les choisissons d’allleurs pour leur proximité géographique et qualitative avec notre manière de travailler, de même que pour le climat social qui y regne. » S’il ne semble pas d’actualité de stopper la délocalisation, la endance pourrait bien être dans la segmentation. « A l’offshore, les appels techniques, note Eric Dadian. A I »‘inshore » la vente, le rebond commercial ! » Phone Marketing confirme : « Pour nos clients (mutuelle l »‘inshore » la vente, le rebond commercial ! Phone Marketing confirme : « Pour nos clients (mutuelles, banques, etc. , l’offshore n’est pas adapté, explique Marc Gladysz. D’autres ne conçoivent pas de réaliser de la télévente ou du conseil auprès de leur fichier clients via l’offshore. En termes d’image, ce serait trop négatif. » Le secteur, plus mature, cherche en outre à valoriser ses savoir- aire : « La course à la diminution des coûts est un calcul à court terme, souligne Eric Dadian. Notre défi, c’est de valoriser la valeur ajoutée de nos métiers. Les directeurs de gestion de relation client doivent aller plus loin qu’un simple calcul économique.

Le coût/contact n’est pas le seul critère face aux bénéfices d’une relation client bien menée. Les marques qui n’investissent pas aujourd’hui dans leur relation client seront perdantes car c’est un élément de différenciation précieux. » Crucial dans un contexte économique rendant plus difficile la conquête de nouveaux clients ! http://www. esechos. fr/ 28/02/201 1 2 Document 3 • Trois ans après avoir failli disparaître, le géant du ski surfe sur le made in France. ;ll fabrique désormais 44 % de ses produits dans « Hexagone.

Pour Rossignol, made in France se conjugue avec compétitivité. Deux ans après avoir entrepris de relocaliser en Haute-Savoie la production de 75. 000 paires de skis auparavant fabriqués ? Taiwan, le groupe Rossignol rapatrie à Sallanches (Haute-Savoie) 20. 000 paires supplémentaires. Son unique usine de fabrication de skis en France finalise ainsi un plan de modernisation de IO millions d’euros qu’elle partage a n France finalise ainsi un plan de modernisation de IO millions d’euros qu’elle partage avec l’autre site de production du groupe à Artès, en Espagne.

Plusieurs lignes d’usinage ont été refondues et rénovées. Bruno Cercley, PDG de Rossignol, a annoncé pour 2013 de 5 à 10 embauches sur le site de Sallanches, qui compte 180 salariés. Rationalité économique Concrètement, au pied du mont Blanc, 50 % de l’outil de production ont été revus, 28 machines de dernière génération ont été installées et l’ensemble du personnel a été formé. Le groupe annonce en revanche une vingtaine de suppressions de postes ? Nevers. Sur la saison 2011-2012, Rossignol, qui emploie 1. 21 personnes dans le monde, dont 694 en France, a vendu 900. 000 paires de ski dont 300. 000 produites à Sallanches. Tous types de fabrications confondues, la part du made in France atteint désormais 44 % de sa production et celle de l’Europe 99 Un renversement total de stratégie par rapport à celle du précédent propriétaire, l’américain Quiksilver. Racheté en novembre 2008 par la société Chartreuse et Mont-Blanc, dirigée par Bruno Cercley, Rossignol accusait alors 300 millions d’euros de dettes et perdait 200. 00 euros par jour. Aujourd’hui, Rossignol concentre ses investissements en Europe. Pour des raisons de marketing, mais aussi économiques, puisque 70 % du coût des skis viennent des matières premières et qu’il fallait transporter tous les composants. En fait, en l’espace de dix ans, les ventes mondiales de skis ont diminué de moitié, passant de 7 à 3 millions de paires. Le géant français a donc intérêt à produire au plus près de son marché principal, l’Europe, qui représente 60 % de ses ventes, pour être plus réactif.

Sur l’exerci marché principal, l’Europe, qui représente 60 % de ses ventes, pour être plus réactif. Sur l’exercice clos au 31 mars 2012, Rossignol a réalisé un chiffre d’affaires de 207 milllons d’euros, en légère progression, avec un résultat de 5 millions d’euros. http://www. lesechos. fr/LesEchos 11/01/2013/ Introduction Cette étude porte sur la délocalisation et la relocalisation des facteurs de production des Entreprises. Nous allons nous demander si la délocalisation à encore un intérêt.

La délocalisation est le fait de déplacement, de faire des transfères d’activités d’une partie ou de la totalité des capitaux, d’unités de production et d’emplois d’un endroit à un autre pour rofiter d’avantages qui seront bénéfiques à l’entreprise. La délocalisation est la recherche d’une production à bas coûts. Mais elle comporte bien souvent des efforts négatives. Ainsi certaines entreprises chosissent de rapatrier leur production.

La relocalisation se définit comme le retour des entreprises dans leurs pays d’origine pour produire, creer, assembler, antérieurement délocalisée sous diverses formes dans les pays ? faibles coûts salariaux. France, l’intérêt principal de la délocalisation est de réaliser des économies, comme par exemple la main d’œuvre moins cher dans les pays asiatique. La délocalisation économique est le transfert par une société internationale d’activités, de capitaux et d’emploi dans des régions du monde offrant un avantage compétitif du fait . oit de coûts plus bas ( main d’œuvre peu coûteuse, meilleur accès aux ressources naturelles, fiscalité moins élevée, réglementations sociale et environnementale moins exigeantes) soit d’un pôle de compétence technologique, ou moins de personnel plus qualifié soit d’infrastructures mieux adaptées ou d’un environnement plus attrayant. La délocalisation et son contraire la relocalisation sont les deux ossibilités de choix de localisation des activités productives de biens et de services.

Selon le document 1, d’après insee, il y a eu 7,3 % des sociétés Pour externaliser en France, cela coûte plus chère que de délocaliser dans un pays asiatique où le coût est a bas prix. Ils sont à la recherche de main d’œuvre plus qualifiante pour donner aux clients d’acheter leur produits de qualités et bien différentes de le leurs, pour faire de la concurrence aux autres entreprlses, il s’agit aussl de la compétitivité, évidemment au niveau des prix pour laisser aux clients le choix de choisir, de la ualités des produits pour bénéficier des avantages.

Pour certains entreprises, il s’a It é alement de délocaliser pour les raisons de transports d eurs produ entreprises, il s’agit également de délocaliser pour les raisons de transports de façon que leurs productions soient le plus près possible de leurs sources d’approvisionnement. Notamment si le coût de transport est tel qu’il grève de façon substantielle le coût de production et donc le prix de vente payé par le consommateur.

En délocalisant, l’entreprise détruit en effet sur son sol national des emplois mais qu’elle crée ailleurs, dans des zones où le coût u travail est moindre, favorisant ainsi l’apparition de conditions de dumping social révélatrices d’une concurrence estimée déloyale. Ex : La France a ainsi pu accueillir dans la région de Valenciennes le site européen du constructeur automobile japonais Toyota.

Partie 2 : Intérêt de la relocalisation Certains entreprises font marche arrière et préfère relocaliser en France, dans leur pays d’origine. Le coût économique et social des aller retour est important. Le partage de production on qui permet aux PAGF8CFq tels que la vente, le service après vente posaient problèmes car es interlocuteurs n’étaient pas de la même nationalité, n’avaient pas de la même nationalité, n’avaient pas la même culture pour comprendre au mieux les clients.

Cela donnait une mauvaise image de l’entreprise. Le cas rossignols (document 3) est sans doute lié à la moins bonne qualité des produits fabriqué en Taiwan. Sa relocalisation en France lui permet de lui donner une meilleure image « made in France » lui permet d’avoir une image avec des produits de qualités et d’offrir des emploies en France. Ceci est bon pour son image de marque, donc pour ses ventes. 6