nouvelle fra

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Un songe d’été Phillipe Huffat, riche Comte parisien, accompagné de son compagnon Pascal Mouret, quitte sa résidence pour une large maison de vacances située dans le Sud-Ouest.. Après un long voyage, nous arrivions enfin à destination . « Nous voilà enfin arrivés, man cher Pascal ! -Je suis éreinté, j’ai bien besoin d’un grand lit confortable ! » Déchargeant les valises et les affaires aidé par mon ami peintre, Swipe to nex: page nous nous Installons occupé depuis la mo c or 5 Nous désaltérant apr ce . ?? rideaux de la demeu Ceci étant fait, je pro ‘avait pas été . ouvrîmes tous les nade au bord de ‘océan pour l’aider à trouver des idees d’inspirations pour sa nouvelle peinture. En fin d’après-midi, les rayons du soleil tapaient sur les douces vagues, donnait l’impression d’un immense lac étoilé, et aucuns bruits ne venaient déranger ce moment de quiétude, ne serait- ce l’interminable roulis des vagues sur le sable fin, qui parvenait ? nos oreilles tel une mélodie venant du fond des âges..

Soudain, j’aperçus au loin un bout d’étoffe blanc flottant au vent, qui était en fait un grand foulard enroulé autour du cou d’une femme assise dans le sable, accompagnée

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sûrement de sa servante, elle avait des cheveux de eu, qui tombaient en cascade sur sa robe blanche, on aurait dit une flamme dansante sur l’écume. Quand elle me vit, elle se leva brusquement et s’en alla d’un pas rapide, comme si elle se sentait menacée. Cette vision ne dura que trop peu à mon goût, et trop de question tournaient dans ma tête, qui était-elle, pourquoi s’était- elle enfuie.. Je fus le seul témoin de cette rencontre étrange, car Pascal était obnubilé par le couché de soleil, déjà en train de penser à sa toile.. À l’heure du dîner, je fis part de cet épisode à pascal : « Dis-mol, tout à l’heure sur la plage, as-tu vu cette femme ? De quoi parles-tu ? De quelle femme ? -Tu n’as rien vu, c’est ce que je pensais.. Mon ami, tu as manqué ta plus belle œuvre, une beauté de la nature prenait l’air, elle était magnifique, de longs cheveux roux tombaient sur son dos, tu aurais dû voir cela ! ? Pascal me regarda et sourit de toutes dents, puis dit « Mon cher, je crois que tu tes épris de cette femme ! Si ce que tu me dis est vralsemblable à la réalité et non embellis par tes sentiments, alors je me ferai un plaisir de peindre son portrait ! -Demain nous irons à sa rencontre ! » Plus tard dan me ferai un plaisir de peindre son portrait ! Plus tard dans la soirée, les paupières se firent lourdes, et nous nous convainquîmes d’aller se coucher.

Je m’installa dans mon lit, mais je ne parvins pas à fermer l’œil de la nuit, à chaque fois son souvenir éclatait dans mes pensées tel un éclair frappant la terre.. Le lendemain, j’avais une mine épouvantable, j’étais épuisé, mais rien que l’idée de la revoir me donner de la vigueur, et durant toute la journée, j’étais comme un oisillon avant son premier envol.. Pascal de son côté, préparait ses outils de peintres, et ses couleurs. Le soir venu, nous sortîmes à la même heure que la dernière fois ur la plage, espérant retrouver la mystérieuse inconnue.

Une fois sur la plage, nous attendîmes de voir ce même long foulard qui lui entourait le cou. Au loin, Pascal me fit remarquer deux silhouettes marchant côte ? côte, nous décidâmes d’aller à leur rencontre. Quand enfin je vis son visage, mon cœur s’emballa, et je savais se que je ressentait vraiment, et elle était encore plus belle de près. Je déclda d’entamer la conversation : « Bonsoir mesdames, je vous ai aperçus hier soir sur la plage, et je pense que vous aussi car vous êtes partis aussitôt. -Bonsoir messieurs, effectivement nou