Quelque 86% des investisseurs internationaux déjà présents en Afrique comptent y renforcer leurs positions en 201 5, selon une enquête publiée le 24 mars par Havas Horizons. L’enquête menée auprès de 43 institutions internationales entre le 13 janvier et le 19 février fait ressortir que l’ensemble des investisseurs internationaux sondés se déclarent optimistes sur les perspectives du continent en 2015. 9% de ces investisseurs se disent même «très optimistes» cette année. Pour 2020, la proportion des «très optimistes» grimpe à 53%. ??l_’afro-optimisme est désormais ancré dans les esprits, un s conflits politiques optimisme que ni Eb or2 et militaires, ne sem ligne l’étude Havas nt émergents lancé par Horizons, un nouvea ervice xp l’agence de communi Choiseul. «On pense que l’Afrique est un c en train d’écrire « Histoire », commente de son côté Pascal Corot, président de l’Institut Choiseul. Les investisseurs interrogés citent le dynamisme démographique du continent et sa base de consommateurs comme les principaux atouts, devant l’urbanisation (65%) et la prise to page prise de positions pour le futur (65%).
L’Afrique compte 1,1 milliard dhabitants aujourd’hui. En 2050, une personne sur quatre sera africaine, selon les prévisions des organismes spécialisés. Pour 201 5, c’est l’Afrique de l’Est qui suscite le
Par secteurs, ce sont les services financiers (banque, assurance, apital -investissement… ) que les investisseurs estiment les plus porteurs (77%), devant le BTP et les infrastructures (61 le transport et la logistique, cités ex avec l’énergie (51 Côté places boursières, la Bourse de Lagos a été jugée la plus prometteuse (pour 69% des sondés), devant Johannesburg (59%) et Casablanca (44%). En ce qul concerne les freins à l’investissement, les institutions internationales sondées citent en premier lieu la mauvaise gouvernance à hauteur de 84%, devant l’instabilité politique et la sécurité (7496).