1) INTRODUCTION 1 . 1. Contexte politique. Le XIX ème siècle se détermine par trois grandes courants politiques : le libéralisme, le nationalisme et l’impérialisme. Le libéralisme conduit à des révolutions et à la création des nouveaux Etats tels que la Belgique, l’Italie et l’Allemagne, créations nourries par le sentiment nationaliste sous l’influence du romantisme. Cimpérialisme motive les expansions coloniales. A) Le second Empire (période des Rougon Ce mouvement abou plébiscite installe ens Deux phases peuven acq or 14 tembre 1870 écembre 1851. un le trône de France. régime • la période utoritaire (la première moitie), puis la phase « libérale ». Le régime s’achève sur la défaite de 1870 face à la Prusse. B) La troisième République : à partir du 4 septembre 1870 Se débuts seront marqués par l’écrasement de la Commune de paris, qui se revolte contre le pouvoir du nouveau gouvernement. L’ordre moral continue de régner comme sous le régime précédent. Mais le socialisme apparaît comme force politique (Zola), et les syndicats s’affirment. Ce régime durera jusqu’en 1940. 1. 2 Les donnés économiques, sociales et culturelles métamorphosée par de grands travaux .
La vie mondaine se développe (Nana). Les grands magasins apparaissent (Le Bonheur des dames). B) La question
La médecine et la psychiatrie e développent (Pinel et Charcot, les névrosées du Bonheur). Nalssance du danwinisme en 1838. Idée de la sélection naturelle (la disparition du petit commerce dans Le Bonheur). Les connaissances augmentent en optique, thermodynamique, chimie (dans Le Bonheur des dames, le magasin est vu comme un système dynamique). Les matières synthétiques apparaissent. Succession rapide des découvertes… 1. 4 ca penture de 1848 à 1883 Le réalisme (Manet et Courbet) et l’impresslonnisme (Renoir, Monet et Cézanne, ami de Zola) 1. Le roman réaliste et naturaliste En réaction contre le rom ntimentalisme du pas les romanciers réalistes, à différence des naturalistes. Les Rougon-Macquart de Zola sont destinés à illustrer les théories sur « hérédité en prenant le cas d’une famille vivant sous le Second Empire. 2. Le Naturalisme Le nom Naturalisme fait réfèrence à la Nature. Le Naturalisme s’inspire sur les bases de l’Ilustration. Ce mouvement n’a jamais été une doctrine rigide puisque Zola affirme que en ce qul concerne la beauté artistique il n’existe pas de vérité absolue et eternelle.
On peut affirmer que ce mouvement est une prolongation du Réalisme. Il y a deux étapes: La première étape: c’est une étape théorique, realisée pour Zola. C’est auteur écrit en 1 866 un cops llttéraire. Entre ses oeuvres la plus importante est: e préface de Thèresse Raquin. -La deuxième étape: est consituée par les oeuvres du meme auteur. Ces oeuvres sont: Le Roman expérimental, Le Naturalisme au théatre et Les Romanciers Naturalistes. Zola réflechit sur le genre littéraire du roman et quel doit etre son style littéraire. pour lui, le Naturalisme doit libérer le roman de ses limites et le roman doit se faire dans le réel.
Mai aussi, le naturalist doit utiliser l’observation et l’experimentation. La notion de réalité est toujours importante. Pour Zola, l’observation scientifique et les procédés scientifiques sont fondamentaux dans la création d’un roman. C’est-à-dire, ivent etre semblables à la PAGF dire que le naturalisme (pour Zola), il ne s’agit pas de créer une histoire vraisemblable comme dans le réalisme, il faut décrire la réalité avec exactitude. Toute cette théorie est expliqué dans les oeuvres antérieures où il élabore les basses ou théories du naturalisme, en prenant comme modèle du naturalisme à Flaubert. ) Les caractéristiques du roman naturaliste. La réproduction exacte de la vie. Il n’y a pas de roman romanesque. Pour lui, il ne peut pas avoir des éléments romanesques puisque le travail de l’écrivain consiste en choisir la scène de la vie et l’ordonner. Ainsi donc, le roman se transforme en un fragment de la réalité. Le romancier ne doit pas créer des héros sinon des personnages qui se trouvent dans la vie elle-meme. On trouvera des personnages d’une classe sociale baise. Ce reflet de la classe marginale souligne flmportance de l’idée dans ce mouvement de que tous les hommes son pareils. Le romancier doit disparaitre du roman.
Il ne doit pas etre oraliste ni donner son opinion, tout le contraire que la notion de l’auteur omniscient. II doit se cacher derrière l’action qui se décrit dans le roman. Le narrateur naturaliste décrit le corps humain comme s’il faisait le travail d’un anatomiste. L’écrivain doit créer un procès verbal de la vie. Rien d’éléments romanesques ni d’invention. Si l’imagination ne serve pas pour écrire, tout le nécessaire sera l’expérimentation et l’observation pour arriver à la connaissance de la vie. – Le romancier naturaliste un experimentateur 2 considere un experimentateur et cela le réalise avec les personnages.
Pour lui, il y a un but sociologique puis l’écrivain essaye de régler la vie, la société, de résoudre les problèmes sociaux, etc. En plus, il essaye aussi de comprendre la conduite de l’homme, influencé par l’heredité, avec les circonstances sociales. L’auteur naturaliste arrive à cette expérimentation à travers l’enquete. Pour montrer l’homme dans son milieu social et ses circonstances sociales, les romanciers naturalistes doivent se documenter. Pour cela, il doit lire des livres scientifiques, faire des enquetes dans le lieu, prendre de notes, etc… c’est-à-dire, il fait un travail de journaliste.
Meme Zola a une oeuvre appelée Carnets d’enquetes. Cette méthode sera utilisé par ses adeptes comme par exemple les frères Goncourt qui avaient influence dans le champ littéraire. Un autre auteur est Maupassant. Finalement, on peut ajouter qu’il existe une différence entre la théorie et la pratique. – Le roman doit analyser le monde moderne et explorer les ‘ basses classes » en s’appuyant sur les découvertes et les méthodes de la médecine. Zola salue avec enthousiasme le roman, et va ériger en doctrine le naturalisme, issu du réalisme. Les fatalités de l’histoire : le roman s’inscrit dans l’histoire, l peint un âge social.
Le repérage historique est précis, les déterminisme sociaux règlent les relations humaines. – Les fatalités naturelles : l’hérédité est aussi une fatalité. Le désir, les besoins vitaux jouent un rôle essentiel dans la mécanique humaine. – Une vision sociologique ola met en scène des mécanique humaine. – Une vision sociologique dramatisée : Zola met en scène des groupes soclaux et des parcours accomplis par des indlvidus, marquant une ascension ou une déchéance . Une vision mythique : » la vérité monte d’un coup d’aile jusqu’au symbole « , écrit Zola en 1885.
Les réseaux d’images se constituent en mythes : l’alambic de L’Assommoir est un monstre mythique , le développement du grand magasin du Bonheur des dames illustre un mythe des temps modernes. une morale naturaliste : Zola est républicain, il a des idées socialisantes. Les luttes du peuple sont exaltées dans ses romans (Germinal). Il est partagé entre sa foi dans le progrès et sa conscience de la dureté de la vie. L’existence dans les romans de Zola apparaît comme une lutte sans merci, où les faibles, comme Gervaise, sont broyés. L’écrivain naturaliste veut exclure l’au delà du destin de ‘homme. Les écrivains naturalistes décrivent cadavres, endroits comme les foires, maisons, odeurs fétides, on parle du sexe… 4) Les thèmes du Naturalisme Entre les thèmes que le naturalisme développe c’est le thème social le plus importante. raliste écrit sur les thème pour la première fois dans la littérature. En plus, on décrit des etres sociaux qui ont des graves problèmes physiques comme alcooliques, malades, etc… Cette excessive quantité de détails sera crltiqué par la crltique de cette époque-là. En ce qui concerne à la sexualité, l’homme voudra posseder la femme. ur l’obtenir, il fera tout le posible (agressivité, mort…. ). Ainsi, le personnage féminin sera fondamental dans le naturalisme. En conclusion, on peut voir clairement l’influence sur le naturalisme des découvertes scientifiques. 5) Émile Zola et le naturalisme conquérant. L’influence de Zola passe les frontières: En Belgique, le naturalisme trouve, sans tarder, ses revues (L ‘Actualité , L’Artiste , qui publie, dès 1877, un article de Huysmans) et le concours de vigoureux talents (Camille Lemonnier, Un mâle , 1881 ; Georges Eeckhoud, Kermesses , 1885) ; les premiers recueils de Verhaeren (Les Flamandes ) en sont imprégnés.
Les Pays-Bas sont touchés ; en Allemagne, Bolsche prône La Poésie fondée sur les sciences naturelles (1887) ; le naturalisme s’affirme au théâtre avec le puissant Hauptmann (1862-1946), auteur des Tisserands. La vague atteint la Scandinavie ; les thèmes naturalistes inspirent, en Norvège, le romancier Hamsun (La Faim , 1888), le dramaturge Ibsen, qui tire, dans Les Revenants , un parti saisissant de l' » hérédité » , ils nourrissent le génie tourmenté du Suédois Strindberg ; mais le » réalisme irréel ‘ (Cocteau) des drames nordiques dépasse le naturalisme.
Zola n’est pas sans influencer certains écrivains anglais, Charles Reade, qui adapte L’Asso pas sans influencer certains écrivains anglais, Charles Reade, qui adapte L’Assommoir dans Drink (1877), ou Georges Gisslng (Workers in the Dawn , 1880). Le » vérisme » italien, illustré par le Sicllien Verga, auteur de l’âpre Malavoglla (1881), est né spontanément et ne s’est guère donné d’armature doctrinale, mais le naturalisme français a sans doute hâté son éclosion.
En Espagne, Emilia Pardo Bazan (1852-1901) teinte son naturalisme de lyrisme féministe (Voyage de noces , 1881). Le courant gagne l’Amérique latine, l’Argentine, le Pérou, le Mexique (Gamboa Daprès nature , scènes contemporaines , 1889). – Moins perméable, la Russie retrouve, à sa manière, les hantises naturalistes : mesquineries de la vie bourgeoise, sentiment de déclin (Anton Tchekhov), misère des bas-fonds (Maxime Gorki). La doctrine zoliste n’a été qu’une machinerie littéraire, un tremplin pour l’imagination du romancier. 6) Les textes polémiques de Zola.
Les textes polémiques les plus importants sont les suivants: Mes Haines: le recueil d’articles publié en 1866 et c’est le résultat de seize ans de critique J’accusse…! Différences entre Balzac et moi Mon salon Une campagne: recueil d’articles du Figaro Zola a toujours bataillé contre l’ordre établi et les conventions bourgeoises. Romans, articles de presse ou contes pour enfants : la sélection qui suit met l’accent sur ses différents combats politiques et littéraires, ainsi que sur les dernières années de sa vie, où l’on découvre un Zala ra héti ue.
Autant d’ouvrages accessibles à un large pub vrir la verité. d’ouvrages accessibles à un large public pour découvrir la verité. Il a fait toujours de la critique pour deux causes principales: d’abord, il a toujours éprouvé cette « démangeaison critique » dont arte Saint-Beuve, c’est-à-dire le besoin de juger les hommes et les oeuvres. Par une autre coté, sans fortune, il est obligé de faire du journalisme. Il fait de la critique littéraire pour vivre. Ily a une troisième cause: la nécesitté de se défendre.
Attaqué par tous, il a fini par se battre pour ses oeuvres, et plus encore, pour ses idées. 7) Émile Zola et l’influence de l’époque dans ses oeuvres. Émile Zola, né à Paris le 2 avril 1840, mort à Paris le 29 septembre 1902, est un écrivain, journaliste et homme public français, considéré comme le chef de file du naturalisme. C’est l’un des romanciers français les plus populaires, l’un des plus publiés, traduits et commentés au monde. Sa vie et son œuvre ont fait l’objet de nombreuses études historiques.
Sur le plan littéraire, il est principalement connu pour Les Rougon-Macquart, fresque romanesque en vingt volumes dépeignant la société française sous le Second Empire. Zola, comme journaliste, travaille pour différents journaux en faisant de critiques littéraires, où il a la possibilité de se donner à connaltre comme écrivain. Zola a publié dans la presse une centaine de contes et tous ses romans en feuilletons. Il pratiquait n journalisme polémique, dans lequel il affichait ses haines, mais aussi ses goûts, mettant en avant ses positions esthétiques, mais aussi politiques.
Il maîtrise arfaitement ses interventions journalistiques, utilisa mais aussi politiques. Il maîtrise parfaitement ses interventions journalistiques, utilisant la presse comme un outil de promotion de son œuvre littéraire. Pour ses premiers ouvrages, il a en effet rédigé des compte-rendus prêts à l’emploi qu’il a adressés personnellement à toute la critique littéraire parisienne, obtenant en retour de nombreux articles. Peu après, il devient journaliste politique (1869-1871). C’est au travers de ses intepu’entions dans la presse politique que l’engagement de Zola est le plus marquant.
La libéralisation de la presse en 1868 lui permet de participer activement ? son expansion. Par des amis de Manet, Zola entre au nouvel hebdomadaire républicain La Tribune, où il pratique ses talents de polémiste par l’écriture de fines satlres anti-impériales. Mais c’est à La Cloche que ses attaques les plus acides contre le Second empire sont publiées. Il produit plus de deux cent cinquante chroniques parlamentaires, qui lui permettent se donner à connaitre dans le monde de la politique. On peut voir l’influence de répoque dans ses livres, comme par exemple dans J’accusse. ?mile Zola prépare pendant plusieurs semaines un résumé de l’affaire Dreyfus. Le Figaro ayant refusé ses derniers articles afin de conserver son lectorat le plus conservateur, l’écrivain se tourne vers L’Aurore. Il termine la rédaction de l’article dans les quarante-huit heures suivant son verdict (il a été jugé). Initialement nommé « Lettre à M. Félix Faure, Président de la République », Ernest Vaughan (le directeur de CAurore) et Clemenceau lui trouvent un autre titre, plus ramassé et percutant : JIAccuse…! L’Aur