Merlin I : L’appel du dragon Merlin, un garçon joyeux et intelligent âgé de vingt cinq ans, était sur la route de Camelot, le royaume d’Uther Pandragon, un roi sévère et redoutable, aux cheveux noirs et au visage emplit de haine et de colère. Arrivé à Camelot, Merlin demanda son chemin vers le château et deux soldats lui indiquèrent le chemin. Il arriva sur la place de la citadelle de Camelot. Cest une place ronde, au milieu se tr aperçut des paysans va or 26 s’approcha et vit un j ne sur un billot avec dev roi, qui se trouvait su auprès de celle-ci, il liée le jour même. Il E. ta genoux, la tête posé ache à la main.
Le trône, annonça • Que cela vous serve de leçon à tous. La magie n’est pas tolérée a Camelot. Uther leva la main et la rabaissa aussitôt sans hésitation. Le bourreau trancha la tête du jeune homme. Le roi commençait à partir ansi que les quelques paysans qu’il y avalt. Ils furent interrompus par une femme qui criait au milieu de la cour. Le roi s’arrêta et s’approcha du balcon. une femme vêtue d’une robe déchirée et trouée s’exclama d’un ton agressif
En avançant il découvrit sur son passage des choses étranges, des marmites, des fioles avec dedans des liquides de couleurs étranges et des insectes. Il y avait aussi des énormes bibliothèques de livres. Et là, il vit un homme âgé aux cheveux blanc vêtu d’une tunique rouge dans la mezzanine qui donnait sur la pièce principale et dit -Gaiusse ? L’homme se retourna puis tomba mais Merlin le stoppa avec de la magie. Il était stupéfait de voir ça. Il regarda autour de lui pour trouver un endroit pour allonger le vieil homme. Il vit un lit, le mit en dessous de lui et le laissa tomber.
Le lit n’étant pas solide il se brisa lorsque ‘homme le toucha. Sur le lit, il respira un bon coup et se releva Mais… qu’est ce que tu viens de faire? Heu… répondit Merlin. Dis-le-moi. Ho je… je ne sais pas ce qu’il s’est passé. Gaiusse le regarda en disant : OF s’est passé. -Si quelqu’un avait vu ça ! Ho non, non ça n’a rien à voir avec moi, c’était simplement Ho, je sais ce que c’était mais je veux juste savoir où tu as appris à le faire. – Nulle part. Alors comment connais-tu la magie ? – Je ne la connais pas, répondit Merlin en essayant de cacher sa peur. – Alors, où as-tu étudié ?
Réponds-moi. – J’ai… j’ai jamais étudié la magie ni reçu le moindre enseignement. – Est ce que tu me mens, mon garçon ? Que voulez vous que je vous dise? – La vérité, dit Gaiusse en haussant la voix. – Je suis né avec cette faculté. C’est impossible dit-il en se retournant encore et encore. Il poursuivit : – Qui es-tu? Ha, j’ai ici une lettre, la voilà, tenez. – Pas la peine je n’ai pas mes lunettes. – Je suis Merlin Ha, le fils d’Hunite. Oui, dit-il avec un grand sourire. Mais tu ne devais pas venir avant mercredi ? On est mercredi. Ha, très bien, alors tu ferais mieux de mettre ton sac là-bas.
Merlin avança puis se retourna d’un geste brusque : Vous ne direz rien à propos de cela. Non. Bien sûr que… Gaiusse s’arrêta avant de grimpa sur un tabouret près de la fenêtre, l’ouvrit et fit un grand sourire en admirant la pleine lune qui recouvrait Camelot et les lumières de la ville. Chacune des maisons qu’il voyait le fit rêver. Elles étaient toutes éclairés, avec de la fumée qui s’échappait de la cheminée de certaines maisons. Pendant ce temps Gaiusse prit la lettre, s’assit puis la lut • Mon cher Gaiusse, je me tourne vers vous car je me sens perdue et seule et je ne sais plus à qui me fier.
C’est le destin de chaque mère de croire que son enfant a des dons particuliers et pourtant je donnerais ma vie pour qu’il n’en soit pas ainsi avec Merlin. Notre village est petit et visiblement Merlin est en si mauvais termes avec ses habitants que s’il devait rester ici, je ne sais pas ce qu’il adviendrait de lui. Il a besoin d’une main qu’il puisse tenir, dune voix qui le guide, de quelqu’un qui l’aide à trouver un usage de ses dons. Je vous supplie, si vous comprenez l’amour qu’une mère porte à son fils, de le garder à l’abri du danger, et que Dieu vous protège tous les deux.
Après avoir lu cette lettre, Gaiusse, touché, regarda la porte de la chambre avec attention, puis referma la lettre. Au même moment, dame Morgane, la pupille du roi regardait par la fenêtre l’estrade où se trouvait le jeune homme qui avait servi d’abattoir pour le sorcier avant qu’on ne la coupe sur un billot cette après-midi. Uther entra dans la pièce où se trouvait Morgane. La pièce était vide cette après-midi. Uther entra dans la pièce où se trouvait Morgane. La pièce était vide et le roi s’approcha d’elle. Morgane ? dit Uther en marchant vers elle Oui, répondit-elle Qu’y a-t-il ?
Pourquoi ne voulez vous pas faire la fête avec nous ? je ne trouve pas que la décapitation soit un motif de célébration. Le roi leva la tête et soupira, puis Morgane reprit. Et cette pauvre mère. Ce n’était que justice pour ce qu’il a fait. A qui a-t-il fait du mal? dit-elle, il pratiquait la magie, il n’a causé de torts à personne. Vous n’étiez pas là il y a vingt ans. Vous n’avez pas idée de ce qui ce passait alors. Jusqu’à quand punirez-vous les gens pour ce qu’il s’est passé il y a des années? Jusqu’à ce qu’ils comprennent qu’il n’y a pas de place pour la magie dans mon royaume, répliqua Uther d’un ton élevé.
Vous serez avec moi quand j’accueillerai Dame Hélène ? Je l’ai dit, je ne veux pas participer à cette fête. Je suis votre tuteur, je suis en droit d’attendre que vous obéissiez. Si vous ne me respectez pas, respectez au moins notre meilleure chanteuse. Le roi partit et Morgane dit Plus vous serez cruel et plus vous vous creerez des ennemis. Uther poursuivit son chemin en ignorant la remarque de Morgane. Pendant ce temps Dame Hélène, la meilleure chanteuse du royaume était, dans la forêt. Les chevaliers de Camelot qui l’escortaient avaient préparé un campement à la tombée de la nuit.
Dame Hélène avait sa tente ersonnelle où elle était en PAGF s OF préparé un campement à la tombée de la nuit. Dame Hélène avait sa tente personnelle où elle était en train de se brosser les cheveux. En rentrant, on voyait la table avec dessus un trumeau, sur le côté droit ses affaires et sur le côté gauche un lit. pendant ce temps, les chevaliers firent un feu. Alors que Dame Hélène marmonnait une chanson elle entendit soudain des bruits de pas. Elle s’arrêta de chanter et demanda Qui est là ? Grégory? Dame Hélène. En voyant Grégory, le chevalier de Camelot, elle soupira d’un air oulagé puis s’enquit • Toutva bien ?
Oui madame, nous devrions atteindre Camelot demain en fin de Journee. Excellent, dit-elle. Je suis là si vous avez besoin de moi. Dame Hélène sourit et le chevalier partit. Au moment même où il sortit, le chevalier entendit un bruit. Il avança en empoignant le pommeau de son épée et demanda : Qui va là ? Personne ne répondit mais il continua d’avancer en dégainant son épée : Qui va là ? répéta-il. En effet il avait entendu une personne qui marmonnait la même mélodie que Dame Hélène. Dame Hélène, dans sa tente se démaquillait en se regardant ans son trumeau.
Elle au même marmonnement 6 OF dans la tente. Dame Hélène se leva brusquement, la peur au ventre car elle ne savait pas qui était cette inconnue. Celle- ci sortit de sa poche un poignard et une poupée en paille, en commençant à réclter une formule magique. Elle enfonça le poignard dans la poupée de paille, encore et encore. En même temps Dame Hélène ressentit les coups mais ne saignait pas. Elle s’écroula par terre, morte. La vieille femme avança ensuite vers la table et elle y posa un petit bol de bois sorti de sa poche, prit son collier et recommença à user de magie noire.
Son collier s’illumina et elle prit l’apparence de Dame Hélène. Le seul inconvénient de ce sort était que son reflet inversait son image, celle de la sorcière qui venait de voir son fils peu avant se faire décapiter. Le lendemain Merlin dormait encore lorsque le jour se levait, mais dans sa tête, il entendit une voix grave l’appeler. Il ouvrit les yeux et se retourna en croyant que c’était Gaiusse mais personne se trouvait dans sa chambre à part lui. Il se leva, s’habilla et sortit. Gaiusse était debout en train de servir le petit déjeuner. Je t’ai apporté de l’eau. Tu ne t’es pas lavé hier soir, dit Gaiusse.
Je suis désolé, s’excusa Merlin prends ton petit déjeuner. Merlin s’assit et retourna sa soupe qui lui servait de petit déjeuner avec sa cuillère. Gaiusse fit exprès de faire tomber le seau d’eau de la table et Merlin utilisa la magie pour l’arrêter. Il regarda Gaiusse et fit retomber le seau d’eau 7 OF table et Merlin utilisa la magie pour rarrêter. Il regarda Gaiusse et fit retomber le seau d’eau qui s’écrasa au sol. – Comment as-tu fait ça ? dit Gaiusse en essayant de comprendre. As-tu récité une formule dans ta tête? Ho non, je ne connais pas de formules. Alors qu’est ce que tu as fait?
Il doit y avoir quelque chose. ça arrive comme ça. Merlin s’avança vers la porte d’entrée. Il prit un balai et dit : – Je vais nettoyer. Et il balaya. Nous avons intérêt à éviter les ennuis annonça Gaiusse. Tu peux m’aider le temps que je te trouve un travail rémunéré. Tiens, tu vas commencer aujourd’hui. Voilà de la guimauve et de la camomille pour Dame Pernette et ça pour Sire Holwed. Il est aveugle comme une taupe alors dis lui bien de ne pas tout boire d’un coup. Entendu répondit Merlin. Merlin prit les deux fioles. Prends également ceci, dit Gaiusse. Merlin sourit car c’était un sandwich de charcuterie.
Allez file, dit Gaiusse d’une voix douce et amicale. Merlin posa le balai et prit le chemin de la porte pour sortir quand il fut interrompu par Gaiusse. Inutile de te rappeler qu’u E OF pratique de maeie te l’admirant, entra dans un bâtiment, remonta des escaliers, emprunta un couloir et arriva dans les appartements de Sire Holwed. Il frappa deux fois à la porte et Sire Holwed ouvrit. Bonjour, dit Merlin, je vous apporte votre remède. Merlin lui tendit, mais Sire Holwed, aveugle comme une taupe tendit sa main à l’opposé de celle de Merlin. Alors Merlin prit sa main et lui donna la fiole. Tenez, dit Merlin.
Sire Holwed l’ouvrit et la but tout de suite, en même temps Merlin l’avertit : Gaiusse a dit ; de ne pas tout boire d’un coup. Mais c’était trop tard. Sire Holwed avait tout englouti et il se tourna vers Merlin. C’est très bien comme ça, dit Merlin d’un sourire gêné. Merlin sortit du bâtiment et alla se promener dans la ville basse. En avançant il entendit • Mais où est-elle, cette cible. Et là, il vit quatre garçons de son âge à peu près vingt cinq ans qu riaient. Là messlre, dit un homme vêtu comme un paysan. Elle est à contrejour, reprit le jeune homme de tout à l’heure.
Mais le soleil n’est pas très brillant, dit le paysan qui était en fait le sewiteur de ce noble qu’il appelait messire. un peu comme toi, alors, ré li ua le noble. PAGF et avança. Je vais là lui donner, sa leçon, dit le noble en riant. Et pendant que le seraiteur avait la cible sur son dos, le noble jeta des couteaux sur la cible. Hé ! hé ! attendez dit le serviteur en regardant le couteau sur la cible. Ne t’arrête pas, ordonna le noble en riant. Que dites-vous ? J’ai dit: continue à bouger. Par une fenêtre, une femme observait la scène tout en ?poussetant un vêtement.
Et le noble lança un deuxième couteau. Allez, bouge, ordonna de nouveau le noble. Mais . Allez, bouge, insista-t-il Et il lança un autre couteau. j’ai besoin de m’entrainer aux tirs sur cible mouvante. Et il relança un couteau encore et encore. Le serviteur lâcha la cible. Merlin quant à lui, posa le pied sur la cible qui avait roulé vers lui. Bonjour dit-il avec un grand sourire, allez maintenant ça suffit. Quoi, dit le noble. Tu t’es assez amusé, mon ami, dit Merlin. On se connaît? Je suis Merlin, dit il en tendant la main. Donc je ne te connais pas, dit le noble. Non.