Marsyas

Marsyas

Histoire des Arts Marsyas supplicié Présentation Le Marsyas supplicié est une très grande statue en marbre de 2. 56 x 30cm qui repr s’inscrit dans la thém qu ors Cest une oeuvre ro 150 apJ-C). Elle a ét Diocletien entre 161 un à un arbre . Elle e impérial ( vers s les termes de endu à Napoléon en 1807 puis amené au Louvre dans la salle des caryatides . Cette salle abrite les copies romaines éffectué d’après les Grecs disparus depuis longtemps.

En effet cette oeuvre est une copie romaine d’une oeuvre greque crée à Pergrame en Asie mineure endant la pèriode hellenistique ( 323 av J-C à 27 av J-C L’etat de conservation est très incomplet car il ne reste que le corps avec le haut des bras et jusqu’au haut des cuisses mais le reste a été réstauré ou rajouter comme le haut de l’arbre. Maintenant je vais vous raconter comment Marsyas siest retrouvé dans cette situation.

Tout à commencer quand Athéna, déesse de la stratégie guerrière et de la sagesse, inventa l’Aulos , une flute a deux tuyaux, et en joua a un banquet des dieux. Ils furent tous conquis par la mélodie sauf Era(déesse du mariage et de

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l’enfantement ) et t Affrodite( déesse de l’amour) qui rire en silence car quand elle jouait, les joues d’Athéna se gonflaient et lui donnaient un air grotesque. Athéna s’en alla jouer dans les bois quand elle vit son visage dans l’eau d’une rivière.

A la vue de son visage, elle jetta l’aulos dans la rivière et lanca une mlédiction sur celui ou celle qui la ramasserait. Ce fut le satyre Marsyas( un satyre est une créature mythologique mi-homme mi-bouc avec de longues oreilles, des jambes, des cornes et souvent une queue de bouc, les satyres sont les compagnons du dieu Dieunysos ( le dieu du in et des banquets)ils courent souvent après les nymphes ou s’enivrent en jouant de l’aulos) qui la ramassa et en joua, il est devenu rapidement un expert en la matière au point de devenir prétentieux.

Marsyas défit Apollon, lui a l’aulos et Apollon a la Lyre, son instrument. Apollon remporta et punit Marsyas de son orgeuil et sa démesure appellée l’hybris. Il eut été condamné ? etre écorché vif par son esclave scythe après avoir été pendu par les bras par les bras à une branche d’arbre. Déscription: Cette statue représente avec beaucoup de réalisme l’ultime ffort de Marsyas. L’artiste a choisi le court instant qui précède le supplice : le moment ou la victime et le bourreau échangent un ultime regard et ou la tension atteint son apogée.

Cest une scène et le bourreau échangent un ultime regard et ou la tension atteint son apogée. Cest une scène empreinte d’une cruauté féroce d’autant plus qu’on doit garder en mémoire que face au satyre désespéré et souffrant se trouvaient l’impasslble Apollon et l’aiguiseur scythe , insensible aux douleurs de Marsyas . Sur la photo , on peut voir que le satyre est solidement attaché ar les poignets à une branche d’arbre. Les deux mains liées fortement par la corde , retombent mollement.

Sur son visage on peut voir aussi sa souffrance contenue car il a rictus de douleur. Sa tete , incliné du caté droit , tombe douleuresement sur sa poitrine. Ses traits sont creusés et marsqués au niveau des pommettes, les lèvres légèrement ouverte. Les rides de son visage nous fait rappeller l’age du satyre. De plus, ses sourcils sont froncés et coupés très courts, de sorte que la lumière tombe avant tout sur les paupières lourdes. Chaque meche semble avoir ?té traités avec précision et cela donne a sa cheveulure un aspect désordonné.

Quelques mèches tombent vers le bas et évoquent de la transpiration. La barbe ressemblent aux cheveux : les mèches sont sculptées dans un sauci du détail réaliste. Le gout du réalisme va meme jusqu’à sculpter les poils sous les aisselles et la toison pubienne sans souci d’idéalisation. Quand on regarde le haut du corps, on s aisselles et la toison pubienne sans souci d’idéalisation. Quand on regarde le haut du corps, on se rend vite compte que tout son corps est sous tension: le corps est etiré , les cotes sont aillantes , le ventre creusé, les bras tendus.

Au contraire , le sculpteur a modeler les cuisses et les jambes avec douceur et rondeur ce qui contraste fortement avec le haut du corps tout en tension. Quand au pieds, on peut noter aussi la crispation des orteils. Sur le profil droit , on constate que le tronc de l’arbre apparait nettement comme un support pour le corps de Marsyas, et qu’il se fond au corps du personnage meme si l’on se distingue des feuillage en haut du tronc avec des pommes de pin. Sur le profil gauche, on peut remarquer la queue du satyre, relevée sans oute pour marquer la crispation musculaire provoquée par la douleur.

De dos, a face postèrieure est très peu travaillée. On peut supposer qu’elle nia pas été travaillée car elle était peut-etre dans une niche ou un mur qui cachait le dos de la statue. Interprétation et Symbole: Une véritable intensité dramatique se dégage de la scène, elle suscite la terreur et la pitié, les deux grand ressorts du tragique selon Aristote. Le contraste du haut du corps tout en tension et le bas du corps qui pend témoigne du pathétique de l’art pergamien. La solitude et la vieillesse du PAGF