Logistique

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Logistique La logistique est l’activité qui a pour objet de gérer les flux physiques (ainsi que les données informatives ou financières s’y rapportant) d’une organisation, dans le but de mettre ? disposition les ressources correspondant à des besoins (plus ou moins) déterminés, et ce, en respectant les conditions économiques prévues, le degré de qualité de service attendu, les conditions de sécurité et de sûreté réputées satisfaisantes.

Pour le Council of Supply Chain Management Professionnals 1, la logistique se définit comme L’intégration de deux ou plusieurs activités dans le but d’établir es plans, de mettre en œuvre et de contrôler un flux efficace de matières premières, point d’origine au poi inclure -sans que la li offert aux clients, la liées à la distribution, PACE 1 orf Sni* to duits finis, de leur s activités peuvent ype de service les communications a manutention des matériaux, le traitement des commandes, le service après vente et des pièces détachées, les achats, l’emballage, le traitement des marchandises retournées, la négociation ou la réutilisation d’éléments récupérables ou mis au rebut, l’organisation des ransports ainsi que le transport effectif des marchandises, ainsi que l’entreposage et le stockage. ) Enjeux Alors que l’adage l’intendance suivr Swipe to View next

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page suivra a souvent justifié dans l’économie de pénurie d’après guerre la quasi-absence de la préoccupation logistique, la pression concurrentielle croissante que connaissent les marchés contemporains (concurrence par les prix mais aussi concurrence hors prix) a singulièrement fait évoluer les esprits 2 Le progrès technique a permis de concevoir et de fabriquer des produits «techniquement» valides L ‘Organisation scientifique de la production (via le Taylorisme ou le Toyotisme) a réduit les coûts de fabrication Le marketing a contribué à mieux adapter les produits à la demande du marché Aujourd’hui, la discipline «Logistique» est apparue comme une opportunité de falre mieux correspondre le sentice, au sens large du terme, aux besoins et attentes des clients. La notion de service devient tellement incontournable qu’il est de moins en moins envisageable d’offrir un produit hors d’un contexte de service rendu à l’un ou l’autre stade de l’échange avant, pendant ou après la vente proprement dite). Le coût de ce service coûte cher. Cette constatation n’est pas suffisamment mise en évidence par les systèmes d’information classiques, alors que le coût logistique peut fort bien représenter une part non négligeable, sinon majoritaire, du prlX de revient du produit. – La maitrise de ce coût n’est pas assurée tant les différents éléments qui le composent dépendent de fonctions qui agissent indépendamment les unes des autres, sans coordination ou supervision appropriées. En agissent indépendamment les unes des autres, sans coordination u supervision appropriees.

En retour du processus d’utilisation On entend par logistique retour ou Reverse Logistics, la gestion de l’acheminement de marchandises, généralement hors d’usage, du point de fabrication (en l’occurrence, le consommateur final) jusqu’au point de réparation, de recyclage ou de destruction définitive et totale. La gestion des flux retours est potentiellement un marché prometteur, parce qu’elle devrait, d’une part, permettre à terme, de recycler des matières premières de plus en plus rares (donc chères) et d’autre part parce qu’elle est source d’emplois. Elle représente cependant une dépense supplémentalre, à court terme, pour les entreprises et les particuliers. Pour les inciter ? alimenter ces flux retours, les pouvoirs publics de certains pays, comme la France, ont déjà instauré des taxes : 1 . axe ADEME (sur les produits d’emballages, payée par les entreprises) ; Agence de l’environnement et de la maitrise de l’énergie. 2. écotaxe (sur les produits électroménagers, payée par ceux qui les achètent). + taxe carbone ? Dans ces deux cas, ce sont les entreprises qui jouent le rôle du percepteur et qui reversent la taxe à l’État, qu’elles n’aient u qu’elles niaient pas répercuté son coût à ses clients et aux consommateurs. Cependant les circuits logistiques et les circuits de recyclage des marchandises et des emballages sont loin, en 2007, d’être parvenus à leur maturité. Par exemp marchandises et des emballages sont loin, en 2007, d’être parvenus à leur maturité.

Par exemple, de nombreux déchets qui auraient donné lieu à tri sélectif seraient malgré tout mixés à l’entree de certaines centrales thermiques, afin de les alimenter avec des mélanges de matières combustibles de qualité conforme aux spécifications des fours. Comme il n’est pas certain que toutes les piles électriques usagées collectées par la distribution soient vraiment traitées par des structures adaptées. À défaut d’inciter les consommateurs et les industriels à réduire les quantités d’emballage consommées et de matière détruites, les « taxes écologiques » ont au moins déjà le pouvoir de contribuer au financement des interventions de l’État en faveur de l’Écologie.

Lien de la logistique avec le système d’information La gestion de la chaîne logistique (supply chain management en anglais, SCM) désigne le sous-domaine du système d’information ui répond aux besoins spécifiques des opérateurs logistiques de gestion de la chaine d’approvisionnement, prévision, planification, magasinage, transports, etc. Pour ce faire, le SCM est évidemment conduit à • entretenir à ce titre des liens très forts avec le système d’information de l’entreprise et en particulier avec le progiciel de gestion intégré (PGI ou ERP en anglais) de l’entreprise s’il existe ; mobiliser un grand nombre de données et de flux d’informations associés, convenablement organisés et mis à disposition par le biais d’un stocka PAGF