Les resumés de la boite à merveille Le résumé du chapitre I : Le roman commence par l’évocation de dar chouafa, une maison Située dans la médina de fés ou habite sidi Mohamed avec ses parents Abdeslam et Zoubida. Après présenter les lieux près de la maison, le narrateur décrit quelques scènes qui se passent chez la voyante du rez-de-chaussée, puis Raconte ses journees interminables au Msid. Agé de 6 ans, sidi Mohamed accompagnait sa mére au bain maure qui le considère comme un enfer.
Lalla Zoubida la mère bavarde impulsive cherchait toujours de se disputer , surtout avec a voisine Rhama ensuite Ahmed parle de son père, un homme réputer pour être ho digne du respect de t Le résumé du chapit Au Msid, école corani et la fragilité de son on épouse, était org Sni* to View hostilité du monde Fqih et les coups de sa baguette de cognassier taient source de cauchemars et de souffrance. A son retour, il trouve sa mère souffrante. La visite que Lalla Aicha, une ancienne voisine, rend ce mardi à Lalla Zoubida, la mère de l’enfant, nous permet de les accompagner au sanctuaire de Sidi Boughaleb.
L’enfant pourra boire de l’eau de sanctuaire et retrouvera
Le résumé du chapitre IV Les premiers jours du printemps sont là. Le narrateur et sa maman rendent visite à Lalla Aicha. Ils passent toute la journée chez cette ancienne voisine. Une journée de potins pour les deux femmes et de jeux avec les enfants du voisinage pour le arrateur. Le soir, Lalla Zoubida fait part à son mari des ennuis du mari da Lalla Aicha, Moulay Larbi avec son ouvrier et associé Abdelkader. Ce dernier avait renié ses dettes et même plus avait prétendu avoir versé la moitié du capital de ‘affaire.
Les juges s’étaient prononcés en faveur d’Abdelkader. Lienfant, lui était ailleurs, dans son propre univers, quand ce n’est pas sa boîte et ses objets magiques, c’est le légendaire Abdellah l’épicier et ses histoires. Personnage qu’il connaît à travers les récits rapportés légendaire Abdellah l’épicier et ses histoires. Personnage qu’il onnait à travers les récits rapportés par son père. Récits qui excitèrent son imagination et l’obsédèrent durant toute son enfance.
Le résumé du chapitre V: journée au Msid. Le Fqih parle aux enfants de l’Achoura. Ils ont quinze jours pour préparer la fête du nouvel an. Ils ont congé pour le reste de la journée. Lalla Aïcha, en femme dévouée, se dépouille de ses bijoux et de son mobilier pour venir au secours de son mari. Sidi Mohamed Ben Tahar, le coiffeur, un voisin est mort. On le pleure et on assiste à ses obsèques. Ses funérailles marquent la vie du voisinage et compte parmi les événements yant marqué la vie d de l’enfant.
Les registres Registre Procédés Effet recherché Comique – Jeux de mots – Maniement du double sens – Incongruité du vocabulaire et des expressions – Décalage entre l’apparence ou le langage et le caractère, la situation – Redondance de mots ou de situations Sous-entendus – Ironie – Parodie Autodérision Amuser le lecteur Créer une relation de complicité entre le lecteur et l’auteur ou le lecteur et un personnage Didactique – Vocabulaire pédagogique – Utilisation du mode impératif et du futur injonctif – Déroulement logique dans uns le simple et précis Transmission d’un savoir uperlatifs, gradations… – Vocabulaire générique et profusion de pluriels – Personnification des valeurs hé[email protected] et des valeurs collectives – Champ lexical manichéen (la Bien, le Mal, etc. ) Susciter l’admiration du lecteur face à la relation d’exploits sublimes et surhumains Fantastique Expressions à double sens mplication du narrateur Suspense de narration – Constructions interrogatives – Champs lexicaux du doute, de la peur, de l’extraordinaire, de l’inexplicable et du fabuleux Déstabiliser le lecteur en ébranlant ces certitudes et l’inquiéter en le confrontant aux frontières du réel et de l’imaginaire
Lyrique Expression de l’intensité des états d’âme du narrateur (emploi fréquent de « je » instaurant une relation intime avec le lecteur) – Images évocatrices Figures d’insistance (anaphores, énumérations, répétitions… ) et d’exagération – Tournures interrogatives et exclamatives – Musicalité syntaxique – Vocabulaire des émotions et des sentiments Faire partager au lecteur les sentiments fervents et l’intensité des émotions de l’auteur Pathétique Figures rhétoriques visant à impliquer le lecteur, à le faire réagir (apostrophes… – Figures de l’exagération (hyperboles… ) Tournures exclamatives – Rythmes saccadés, ellipses – Vocabulaire de la compassion, de la souffrance et des émotions violentes Provoquer un sentiment de itié et de compassion chez le lecteur et ‘ou une émotion violent Utilisation de la première personne – Ton agressif – Figures de dépréciation (métaphores dévalorisantes, antiphrases… ) – Figures d’insistance (anaphores, énumérations, répétitions… Apostrophes destinées à impliquer le lecteur – Caricatures, simplifications Tournures impératives et exclamatives – Lexique violent Entraîner l’adhésion du lecteur a une cause ou un concept en énonçant une situation ou un comportement jugé scandaleux Réaliste – profusion de détails matériels authentiques – Possibilité d’utiliser un langage familier ou argotique dans un souci de vraisemblance – Références spatio-temporelles minutieuses – Dialogue au discours direct – Champs lexicaux techniques, sociaux, matériels, corporels Donner l’illusion du réel Tragique – Imprécations, supplications, lamentations, prophéties – Style solennel et niveau de langue soutenu – Invocations et apostrophes – Exclamations et interrogations Champs lexicaux de la fatalité, de l’amour impossible et de la mort Vocabulaire moral et religieux Prise de conscience du déterminisme humain et de l’impuissance de l’homme face au destin Les figures de styles l.
Les figures de répétition / d’insistance Ces figures de style reposent sur la répétition d’un mot ou d’une structure de phrase, afin de mettre en valeur une idée (celle qui est répétée) : L’ANAPHORE : répétition d’un mot au d’un groupe de mots en début presque un homme. A dix ans on parcourt tout seul le quartier. L’ÉPIPHORE : répétition d’un mot ou d’un groupe de mots en fin de phrase. LA RÉPÉTITION : un même mot est répété plusieurs fois dans le exte, mais les mots répétés sont séparés dans la phrase ou dans le .. pour attraper un moineau mais le moineau ne vient texte. ex . . jamais. II désire tant ce petit moineau !
LE PARALLÉLISME : consiste à reprendre la même construction de phrase (syntaxique) ou le même rythme en deux endroits d’un énoncé. LE CHIASME : est un paralléllsme qui dispose ses termes de manière croisée, selon le schéma AB/BA. L’ACCUMULATION : consiste à ajouter des termes de même nature et de même fonction (afin de produire un effet de quantité ou de variété). LA GRADATION : consiste à accumuler des termes de même ature, dont l’intensité est croissante ou décroissante. ex : J’ai SIX ans, l’année prochaine j’en aurai sept et puis huit, neuf et dix. LA PRÉTÉRITION : elle consiste à faire semblant de ne pas vouloir dire quelque chose alors qu’on est justement en train de le faire. Il.
Les figures d’amplification / d’atténuation : Les figures d’amplification consistent à accentuer la force ou la violence d’une idée ou d’un sentiment. Les figures d’atténuation servent à l’inverse à atténuer, à adoucir la dureté dune réalité ou d’une émotion. L’HYPERBOLE : procédé qui consiste à exagérer une perception, n sentiment, en le grossissant à l’extrême . ex : Elle posait mille questions à ma mère -ex : Elle posait mille questions a ma mère LA LITOTE : procédé qui consiste à dire moins pour signifier plus. C’est une atténuation qui sert à amplifier une idée. L’EUPHÉMISME : procédé d’atténuation qui consiste à employer un mot ou une expression plus faible pour désigner une réalité plus dure, afin de l’adoucir. Ill.
Les figures d’opposition : Les figures d’opposition rapprochent des termes dont le sens est contraire. Le but est de créer un effet de contraste pour souligner la tension entre deux idées, deux personnages. L’ANTITHÈSE : rapproche deux éléments opposés au moyen d’une construction symétrique. ex : pour y renaitre, il fallalt d’abord mourir L’OXYMORE : deux mots opposés sont juxtaposés ou coordonnés ; le but est de créer un effet inattendu, surprenant. ex : Des nuits blanches qu’elle avait passées à gémir LE PARADOXE : énoncé qui parait contenir une contradiction. Le paradoxe est très efficace dans une argumentation, car il surprend et remet en cause les évidences.
L’ATTELAGE : il rapproche deux compléments déslgnant un élément concret et un élément abstrait. IV. Les figures de substitution : LA MÉTONYMIE : on remplace un mot par un autre terme avec lequel il entretient une relation logique (d’appartenance, d’origine, de contigulté). LA SYNECDOQUE : est une forme de métonymie qui consiste ? remplacer un mot par un autre terme avec lequel il entretient un rapport dinclusion. Ex : J’attendais un moment avant de voir surgir de la foule les deux haïks LA PÉRIPHRASE : on remplace un mot par une ex avant de voir surgir de la foule les deux haiks LA PÉRIPHRASE : on remplace un mot par une expression qui le Définit.
Ex : Autour de moi, rodaient les jnounes, les démons noirs invoqués par la sorcière L’ANTIPHRASE . figure phare de l’ironie, elle consiste à exprimer le contraire de ce que l’on veut dire. Ex : Elles nous conseillèrent de monter sur la terrasse charmer les oreilles des voisins V. Les figures d’équivalence LA COMPARAISON : met en relation deux termes ayant un point commun (un comparé et un comparant) à l’aide d’un outil de comparaison (comme, tel que, ainsi que, semblable à, de même que… ). ex :Une lampe à pétrole identique à celle de notre voislne LA MÉTAPHORE : met en relation deux termes (un comparant et comparé) mais sans outil de comparaison.
Ex : Ma mémoire était une cire fraiche LA PERSONNIFICATION : est une métaphore qui accorde des caractéristiques humaines à un objet, à un animal au à un être inanimé. Ex ‘Un pigeon disait des mots si jolis (personnification)’ L’ANIMALISATION : consiste à attribuer des caractéristiques anmales ? un être humain. LA RÉIFICATION : consiste à représenter un être vivant sous la forme d’une chose, d’un objet. L’ALLÉGORIE : proche de la personnification, elle consiste ? représenter une idée abstraite sous forme concrète LA PROSOPOPÉE : forme de personnification qui va jusqu’? donner la parole à des êtres inanimés, des concepts abstraits, ou à des morts.