Les institutions internationales et la population. On retrouve deux caractéristiques entre les institutions et les populations, premièrement elles disent ce qu’elles ne peuvent pas dire et font ce qu’elles ne peuvent pas faire. Les Etats anciennement développé doivent sans cesse développer une nouvelle politique pour garder les emplois etc. On fait appelle à des médecins étrangers pour combler le manque de médecin de nos campagnes par exemple, mais cela est difficile à dire.
Autre exemple quand l’organisation mondiale de la santé fait des appels pour or7 motive l’ensemble de nd arallèlement de fair es éc Les états font vivres fonction consiste à…. s maladies, on rs que l’on tente ionaux dont la Il est logique de mettre de la distance avec le développement des populations, puisqu’il n’y a pas de démographique statistique, et pas d’état sans la démographie, on doit faire appel à ceux qui ont la connaissance. Dans ce contexte les organisations internationales sont déterminées par l’influence des Etats, ce qui pèse sur la recherche et les questions auxquelles elles doivent répondre.
D’où sortent ces organisme internationaux, comment fonctionnent-ils ? Les chemins recoupés des Etats et des statisticiens jusque 1914. difficile, cela commence en France après la Révolution Française, le bureau de
Les prussiens ont complètement reconstruit l’Etat après leurs échecs, en 1807, ils créent un bureau de la statistique, combien de soldat peut-on mobiliser. L’Autriche en 1810, en 1817 par la Russie, puis dans les années 30, la Belgique etc. Puis vient la Norvège et dans la seconde moitié du siècle tous les autres Etats européens adoptent ce système aussi. Cependant chacun affiche des particularités, même si les premières notions et concepts furent fondés à cette époque, comme les tables de mortalité (Bertillon en France, Farr en GB, mais aussi Quételet).
En 1866, apparaissent les concepts de Fécondité et Fertilité, c’est Duncan qui les créé. La fertilité c’est l’aptitude à procréer, la fécondité est le nombre d’enfant. On commence à mesurer les interv PAG » rif 7 c’est l’aptitude à procréer, la fécondité est le nombre d’enfant. On commence à mesurer les intervalles entre les naissances, on fait chiffre le nombre d’enfant, le nombre d’individus dans tel ou tel groupe. 2 Les congrès internationaux. Tout d’abord 9 congrès de statistiques en 1853 et 1876, le premier était à Bruxelles.
L’objectif est d’abord d’unifier les méthodes, d’établir des données à l’échelle européenne. Une ou deux journées sont consacrées à la population, il ya parfois plus de vingt rapports, ce qui est conséquent. Ces réunions sont dlfficiles à falre car les voyages et la mobilisation des scientifiques de l’époque était ardue. Celui de Florence rassembla 750 personnes. C’est Quételet qui dirigeait cela mais une fois qu’il arrêta de diriger l’institution, personne ne repris le flambeau.
Les congrès de statistiques et d’hygiène/ démographie se lient ensemble, mais on ne connait pas la date où s’arrête ce genre de congrès, mais ils sont plus importants que les premiers, presque 2000 congrésistes dans ces derniers. En 1885, une deuxième vague émerge, la société royale de statistique de GB et celle de Paris, invitent les gouvernements étrangers pour rencontre internationale. Cette rencontre créée ‘institut international de statistique qui tiendra un congrès tous les deux ans, il publiera aussi des annuaires ( ? ) où la démographie joua un rôle très important.
Le mot de démographie s’impose lorsque en 1882 à la conférence de Genève Korosi fait le constat que l’ensemble des recherches produites dans ces conférences créees une science nouvelle, démographie ou démologie. Ma PAGF3C,F7 recherches produites dans ces conférences créées une science nouvelle, démographie ou démologie. Mais ce mot était pourtant apparu en 1855 sous la plume d’Achille Guillard. A. J. Lotka marqua l’histoire des relations internationales, il est ukrainien mais de nationalité autrichienne et américaine, il écrit en français.
Ce mathématicien invente une théorie mathématique des populations stables (deux courbes sinusoidales liées entre elle, et stable si l’on prend la moyenne des deux, loups et agneaux). L’ère de la communauté internationale. Entre deux guerres des démarches annonciatrices. En 1927, c’est le départ des conférences internationales sur la population à l’initiative de la société des nations. Réunie ? Genève et dirigée par Margaret Sanger, féministe américaine. Elle it un ouvrage sur la maitrise des naissances. 7 pays sont représentés à cette conférence et on créé : L’union internationale pour l’étude scientifique des populations. Cette institution gère plusieurs congrès, les premiers à Paris et Berlin, puis à Washington, Rome etc. On veut promouvoir le conseil des démographes auprès des Etats. Cependant les démocraties sont soit méfiantes soit de connivence avec ces organisme et donc partiales. 2- L’ONU et la population jusque 1980. Après avoir été créé en 1945, le conseil économique et social de l’ONU créé une divlsion de la population en octobre 1946.
C’est une expertise permanente des populations du monde, celle-ci est transmise aux commission d’intervention, mais elle doit aussi mettre en place un plan d’intervention filés aux con aux commission d’intervention, mais elle doit aussi mettre en place un plan d’intervention filés aux conférences sur les Ces années sont dominées par l’opposition des grands Etats qui sont récalcitrants à l’intervention d’organisme extérieur, surtout qu’au EU, on pense au contrôle de la population et donc ne prête pas trop attention aux conseils des organismes.
Ces conseils sont pris en compte lorsque l’on parle de éveloppement, les réflexions sont multiples, des ouvrages paraissent sur l’inquiétude de la croissance de la population, peut être nocive pour le développement du pays et pour la marche du progrès. Vogt « Road to survival » 1948, il parle du danger que va rencontrer la population si elle ne rédult pas sa croissance. Une croissance trop forte de la population empêche le décollage de l’économie d’un pays et donc de son essor, il faut accélérer la baisse de la natalité dans les pays en développement pour qu’ils aient un essor plus libre et plus accéléré (Coal et Hoover).
L’argument de fond, la puissance d’un Etat dépend du nombre de ses citoyens, n’est pas traité. Mao critiqua cela, car il pense que la production pourra permettre de nourrir tout le monde. Autre critique, les Etats pensent que l’ONU ne doit pas intervenir dans la vie des Etats, la Belgique est scandalisée, la France voit que fon doit associé la politique de limite des naissances et en même temps dynamiser le système. Les pays non-alignés prétendent que la politique américaine de réduction des naissances, est une politique capitaliste. Dernière critique est celle de l’Église, immoral. Mais la politique