Les Inaptes au travail: Cest une peinture, plus précisement une huile sur toile qui date probablement de 1944 ou 1946. Elle mesure 131×162 cm et est consérvé au Mémorial de [‘Héritage juif, à Holocauste à New York, cette peinture fut réaliser par un peintre juif, né en 1902 et mort en 1985. Cette oeuvre fut réalisée juste après la fin de la 2nde GM, après la libération des camps d’extermination comme Auschwitz dont les populations ne savaient presque rien. un camps mis en place à partir de fin 1941 et surtout généralisés à partir de janvier 1942 fin de réaliser l’extermination de masse des populations Juives. L’oeuvre est proche début du XXe siècle, des couleurs qui déf sentiment fort, une é S »ige tc r_ur ionniste, né au s techniques et ttre en valeur un • Au 10 plan, la scène principale, les « inaptes » sont 2 femmes et 4 enfants, ils portent quelques provisions dans des sacs, un petit jouet dans la main de celui de droite. Les personnages semblent exténués, à bout de force. Au-dessus d’eux, un fantôme décharné plane et s’accroche à la vieille femme A gauche, le bras coupé d’un SS page dont la mitraillette pointe
La scène principale est mise en valeur par le fantôme qui surplane, les visages en souffrance sont particulièrement blafards. – En arrière-plan, on peut apperçevoire la scène à l’intérieur du camp de concentration et d’extermination d’Auschwitz-Birkenau, il y a des présence de barbelés, de travailleurs, de colonnes de fumées des fours crématoires à l’arrière qui représente les lettres « SS ». Sur la scène plane un ciel rouge et gris. – Les couleurs gris, vert, bleu qui sont des couleurs plutôt froides dominent, mais on y trouve aussi des couleurs chaude comme e rouge, marron, orange.
Le ciel rouge-orangée représente une impression d’apocalypse. On peut deviner que Les Inaptes, après être passés par la visite médicale à la sortie du train, sont conduits dans le quartier des chambres à gaz et autres crématoires. L’auteur témoigne de la souffrance, la cruauté et de l’horreur de la démarche nazie, les personnes qui partent dans les chambres ? gaz sont sans défense et exténuées. – Il existe que très peu de photo des camps, détruit par les allemands au moment débacle. David Olère témoigne de ce qu’il a vécu.