Les grands modèles politiques cours 2 Auteurs à voir : Duvergé, Weber La démocratie L’Etat pose la question des formes de pouvolrs tandis que la démocratie pose la question de la légitimité du pouvoir en place. La légitimité du pouvoir étant la capacité d’un individu ou dun groupe à se voir reconnaitre la possibilité d’une nation, la force peut être une forme de légitimité. Weber dit qu’il y a 3 formes de légitimité : La légitimité légale-rationnelle, Charismatique, Ian K d’Hitler. Traditionnelle. Deux interrogations . dEtat ?
Y a-t-il ou no or7 Sni* to View sur le charisme d’accès au pouvoir ? & Quel est le degré de consensus exig des gouvernants ? Distinction entre 3 régimes qui découlent de ces interrogations : Autoritaire, Totalitaire, Démocratique. La frontière en autoritaire et totalitaire : le totalitarisme se base sur une forte idéologie, contrairement à l’autorltarisme. L’idéologie sert à enlever tous clivages, conflits et distensions dans la même population. 1) L’élément de participation populaire, ou le poids politique de la participation populaire. ) A quels défis renvoient Fusage du suffrage universel ? Deux grands défis qui lui sont constitutifs xplique pourquoi dans toute l’Europe on commence à penché vers l’usage du SU. La
La trajectoire française est par à-coup où le SU va être mis durant des régimes autoritaires. b) A quelles pratiques concrètes renvoient l’usage du SU ? Maurice Agulhon a beaucoup travaillé sur « l’apprentissage du vote » partant du principe que ce n’est pas une activité naturelle. La théorie républicaine représente 3 attendus pour le vote : Le vote doit être individuel. 1913 : création de l’isoloir. Dans « Les mémoires » de Tocqueville, anecdote : le dimanche d’élection il voit tous les paysans du village devant chez lui qui veulent savoir le sens du vote et pour qui voter.
L’idée de recourir à cet acte de vote en tant que paysan est un acte difficile. Il se révèle donc que le vote est collectif, l’on va voter en famille. L’idée même que ‘impose l’isoloir et que les gens doivent voter individuellement apparait comme illusoire. Il doit aussi être un acte d’opinion. C’est un acte national. Les notables au 19ème siècle sont des personnes qui peuvent convertir leur autorité sociale en politique. L’acte n’est pas national mais souvent local. Dans les années 80, un a PAG » rif 7 en politique.
L’acte n’est pas national mais souvent local. Dans les années 80, un anthropologue, Marc Abeles dans « L’anthropologie de l’Etat » suit des élections et petit à petit il arrive à reconstruire toues les logiques historiques et sociales qui vont positionnés les ersonnes sur un des pôles politiques. Donc distance assez forte entre théorie et pratique. De plus, Abeles montre que la carte électorale de Bonaparte et de Chirac sont les mêmes, donc sorte de pesanteur politique. c) Quelles sont les fonctions du SU ?
Trois grandes fonctions : Légitimer le gouvernement, cad qu’aujourd’hui le taux d’abstention plus il se développe, plus il met en jeu cette légitimation. La laïcisation de a légitimité cad que la légitimité est liée a une pratique rationnelle, et non plus divine, « on n’est pas élu, on se fait élire ». Le consentement par le vote, l’on peut onsidérer que l’utilisation du vote comme forme de légitimité et une forclusion » la violence illégitimation de la violence, sauf par l’Etat. Grand débat actuel : restauration des partis politique ou démocratie participative Intervenir ou choisir l’orientation générale de l’action publique. 2 conceptions : libérale (intérêt privée mis en concurrence pour produire l’intérêt général) et républicain (intérêt général pour l’intérêt privé) : clivage entre Etats-Unis et la France. Aux Etats Unis, les mandats sont fractionnables : un député peut choisir de représenter qu’une « catégorie » de la population. Fiction de la représentation : l’on délègue le pouvoir aux représentants PAGF3C,F7 « catégorie » de la population.
Fiction de la représentation : Von délègue le pouvoir aux représentants et on les laisse nous représenter. Différence entre mandat impératif et représentatif : le mandat impératif ne peut être contesté contrairement au mandat représentatif qui apparait comme une délégation. Fonction d’administration de l’exercice démocratique : la première technique d’administration étant le mode de scrutin (le mode de transformation du nombre de voix en nombre de sièges, cad qu’il a des élections dont l’objectif est d’avoir le plus de voix possible et d’autres non).
Deux modes : Le scrutin majoritalre est le mode d’élection le plus ancien et actuellement pratiqué en France pour l’élection des députés. Il peut être uninominal (choix d’un seul nom) ou plurinominal (choix d’une liste de plusieurs noms). Ce mode de scrutin permet d’accorder le siège ou les sièges au candidat ou à la liste ayant obtenu la majorité des voix. La majorité peut être, selon les cas, absolue ou relative (candidat ou liste ayant recueilli le plus de voix). Le scrutin se déroule sur un seul tour (Ex : Grande Bretagne) u sur deux tours (Ex : France).
Dans ce dernier cas, si la majorité absolue n’a pas été obtenue au premier tour, un second tour est organisé avec les candidats ayant rempli les conditions prévues (ex : pourcentage des inscrits). Le deuxième tour laisse la possibilité aux petits partis de conclure des alliances pour obtenir des élus là où ils sont les plus forts en échange de report de voix ailleurs. Le scrutin majoritaire se p les plus forts en échange de report de voix ailleurs. Le scrutin majoritaire se pratique sur une zone géographique appelée circonscription électorale.
Le scrutin proportionnel permet de faire en sorte que les élus (députés, conseillers municipaux… ) reflètent le plus équitablement possible la diversité des opinions des électeurs. Chaque parti politique présente une liste de candidats au suffrage. Les sièges sont attribués à chacune des listes en divisant le nombre de voix obtenues par le quotient électoral (nombre de voix nécessaires pour obtenir un siège). Les sièges restant à pourvoir sont déterminés selon une méthode préalablement fixée. Deuxième technique : l’organisation partisane de roffre politique. Il faut d’abord faire la distinction de M.
Duvergez entre partis de cadres et partis de masse. Les partis de cadre sont les premiers à être apparus, notamment grâce aux pouvoir de ses représentants qui ont plus largement diffusé leurs idées. Ces partis sont généralement peu organisés et peu centralisés. Cela s’explique par le faible nombre de membres ; ces partis ne nécessitent pas une organisation rigoureuse et centralisée. Les membres de ces partis étaient essentiellement des notables ou des parlementaires. Les partis étaient de petites entités en relations avec les comités locaux de soutien, qui ont conduit à la création des partis.
Ces partis avaient une importance concrète lors des suffrages restreints. Ils ont bénéficié en priorité de la loi 1901 relative aux associations, et ont progressivement basculé vers le parti de masse. E loi 1901 relative aux associations, et ont progressivement basculé vers le parti de masse. En effet, bien que le but premier de ces partis ne doit pas l’adhésion du plus grand nombre de sympathisants, ils ont dû s’adapter à l’ouverture du droit de vote et à la massification de la classe moyenne. Partis de masse Ces partis favorisent les adhésions et la diffusion des valeurs et idées populaires.
Les problèmes rencontrés par les populations sont repris par les partis, qui les utilisent pour fonder l’esprit du parti. Ces partis sont généralement des partis de nature rigide : le nombre d’adhérent est trop important pour laisser les individus voter totalement librement. Des consignes de vote sont formulées à chaque élection. Aujourd’hui, les partis de masse ne rassemblent plus seulement les classes moyennes ; l’importance quantitative de ces classes sociales a conduit de nombreuses élites à se tourner vers ces partis. 2) L’équilibre réciproque des différentes catégories de eprésentants.
Deux questions : a) Etat de droit ? Idée qu’il existe un droit supérieur à l’Etat. Le droit le plus faible c’est le règlement (décrets, arrêts), au dessus il y a la loi et ensuite la Constitution. Différence donc entre un Etat légal (qui se donne les moyens de vérifier la conformité des règlements à l’égard de la loi, en tant que citoyens l’on peut attaquer une université sur le règlement intérieur que l’on ne juge pas conforme à la loi. ) et l’Etat de droit (ou il y un conseil constitutionnel et ou donc la constitution est supérieure à l’Etat). Problème de légitim