Les Grands Courants de l’Analyse Economique depuis le XVIème siècle Introduction Economie : (du grec l’antiquité, on retrou Le premier étant Aris (l’éthique, la politique or 28 dé) ns ie maison) dans anomiques. de L’Homme Au XVIème s. on observe un courant : il y a une pensée économque qui s’émancipe des autres dlsciplines. Cette discipline noue des relations particulières avec le pouvoir économie politique) ; les Mercantilistes sont les premiers ? réfléchir comment enrichir le Prince.
Le libéralisme et le marxisme sont des courants qui vont complètement critiquer le mercantilisme. Un paradigme est ‘alliance de différents genres de pensée au sein d’un même courant. L’épistémologie est l’étude de paradigmes sous un regard critique. lb/ Le mercantilisme et la critique libérale doit encourager la croissance de la population pour avoir une population abondante. On parle de populationnisme : « il n’est de richesses ni de forces que d’Hommes » cf. J. BODIN. L’afflux de métaux et de monnaie créé de l’inflation dans un pays. ne conception belliqueuse du commerce international Le mercantilisme suppose une puissance militaire importante pour pouvoir favoriser le protectionnisme des Etats omination économique qui passe par la domination politique et militaire. Ex : la mise en place des «
La compétitivité en Europe se détériore par rapport au reste du monde a la fin des 1980’s. pour pallier a cela, on va tenter de ontenir la progression des couts salariaux (cout salarial = salaire brut CS patronal), et on va opérer une pression a la baisse des salaires compétitivité prix. Pour J. P. FITOUSSI, les politiques de désinflation engendrent la « Croissance Molle Autrement dit, le gèle des salaires engendre une baisse de la consommation et par conséquent cela a engendré une croissance faible.
Les parts de marché gagné par les uns par une meilleure compétitivité prix au détriment des « partenaires européens » ou plutôt concurrents. La politique économique menée par la Chine et le « fu Xing » : une onnaie maintenu délibérément bas afin d’obtenir une parité du Yuan bas par rapport aux autres monnaie le est une mon PAGF OF bas afin d’obtenir une parité du Yuan bas par rapport aux autres monnaie le est une monnaie sous évalué. une « bonne parité » parité correspondant au taxes de change d’équilibre (équilibre solde balance des payement).
Si parlté sous évaluée trop faible. Parité croissante quand on observe un excédent commercial (ex. Allemagne) : X>M Avant la révolution industrielle européenne, l’économie chinoise était plus développé que l’ensemble des pays occidentaux. Par la suite, le Chine s’est fait dépassé et a périclité (=s’effondrer). Ensuite elle fut qualifiée de pays sous développé. Le « fu Xing » est une politique chinoise qul consiste à restituer la place qu’elle avait avant la révolution industrielle. Colbertisme high-tech dans les 1960-70’s en France vise a renforcer la production à haute VA : ex.
Concorde, nucléaire, On va appeler cela le « patriotisme économique » on cherche à maintenir un prestige des entreprises nationales et limiter les partenariats. a géo-économie est une notion qui a été développe par E. LUTTAWAK en expliquant que la guerre entre les nations s’est déplacée du terrain politique au terrain économique. Il faut le penser aujourd’hui sur un « plateau de jeu » mondiale ce qui consiste notamment a prendre en compte la concurrence entre les nations et leurs entreprises Cl ainsi on observe que l’Etat intervient selon LUTTAWARK pour préserver les intérêts de la nation.
Cette notion comporte deux aspects majeurs Il constate un principe « d’intelligence économique : mobiliser tt les organisme du renseignement national (pour bien connaître ces concurrents il faut s’informer sur eux : ex. es USA qui ont développé un détachement de renseignement industrielle à la NSA ou d OF eux : ex. les USA qui ont développé un détachement de renseignement industrielle à la NSA ou des centres de recherche indépendants comme Thing Tank). Si on veut rester compétitif, il ne faut pas décrocher techniquement. C’est le « Smart power » : on cherche à s’imposer autrement.
C’est donc l’Etat qui mène une politique « de protectionnisme actuelle », rejoignant les idées mercantilistes. Il montre qu’il existe un ensemble de manœuvres économiques afin de s’assurer les ressources pour pouvoir produire. Le mercantiliste est contesté en Angleterre et en France dès la fin du XVIIème s. dans un premier temps par les physiocrates puis par les classiques qu’on appelle aussi libéraux. Leur prlncpal objet de contestation est L’état considéré comme omnipotent (partout) et omniscient (qui sait tout). Mais le procès de l’état dépasse la sphère économique. 2) La rupture libérale au XVIème siècle.
Au fondement de la pensée économique, la philosophie libérale. Au XVIIème s. apparaît une philosophie libérale (de la liberté) : elle nait en Europe. Il règne encore l’absolutisme royal dans de ombreux pays (Louis XIV « l’état c’est moi » C] personnalisation du pouvoir). Il n’y a pas de liberté de pensée : la censure, pas de tolérance religieuse…. J. Milton (1608-1674) est connu pour défendre la liberté d’expression, liberté de penser, il s’élève contre la censure. Selon lul, la liberté favorlse la stabilité soclale grâce à un mécanisme des compensations humaines. . Locke (1632- 1704) la pensée libéralise nait en réaction aux gouvernements despotiques et à l’absolutisme (justice arbitraire, esclavage, etc. ). les philosophes re•ettent l’autorité ; ils considère a société civile comme re rement dit, les i philosophes rejettent l’autorité ; ils considère la société civile comme responsable autrement dit, les individus sont aptes a juger d’eux même de leur propre conduite, de ce fait l’Etat n’a plus a imposer son autorité la société civile doit devenir autonome vis a vis de [‘Etat.
Les rapports qui existent entre l’Etat et la société civile doivent évoluer. Les individus doivent s’émanciper (responsable, autonome libre). Les philosophe vont reconnaître a la population un panel de droit : T. Hobbes va instaurer des droits naturels inaliénables : ureté de la personne droit de penser droit d’expression droit d’association droit de propriété Selon lui retat doit être neutre : il défend également la laitité et notamment sur la question de la sphère privée et la religion. Dans la libérale l’Etat reste présent mais sont action est limité.
Toutefois les devoirs régaliens de l’Etat sont renforcés dans la vision libérale. Pour Montesquieu, l’état doit être présent mais détient une intervention circonscrite « le pouvoir arrête le pouvoir » le pouvoir s’autorégule : séparation des pouvoirs. L’Etat est charger e garantir la sureté de l’individu. Le libéralisme va se décliner en deux domaines : la sphère politique : il reprend les principes moraux + la souveraineté du peuple la sphère economique : on applique ces principe dans la sphère productive + le partage de la richesse.
Les grands principes du libéralisme économique On prolonge dans la sphère économique trois principes essenciers du libéralisme . La liberté : le libéralisme va ro oser des droits économiques inaliénable (ex. droit de di nt sa force de travail, des PAGF s OF librement sa force de travail, des produits de son travail, liberté ‘échanger, liberté de contracter, liberté d’entreprendre). La loi le chapelier (1791), créé un marché du travail. Le Décret d’Allarde (1791), on ne peut plus s’associer. L’autonomie : Les physiocrates (en France D. e Nemours) plaident en faveur de l’abolition des servitudes seigneuriales. Les classiques (A. Smith) sont favorable à l’abolition de l’esclavage et sont contre la colonisation. La responsabilité : que Fon transpose sur le terrain de l’économie. Le libéralisme économique La société est perçue également par les libéraux comme un fait naturel ; cela revoit à deux idées d’Instincts selon les courants • Pour les physiocrates : l’ordre sociale est naturel répartition de la terre. Elle résulte de la « volonté divine » ; présence encore de la religion.
Pour les classiques et notamment Smith : le terme « nature » revient très souvent mais il faut l’entendre différemment. Le caractère « naturel » de l’ordre social Dans la Théorie des sentiment moraux (1759) renvoi au traits de la nature humaine référence aux passions humaines (ex. la sympathie : « les doux nœuds de l’amour et de la bienveillance » cf. Smith). Selon lui, ces passions humaines encouragent les échanges marchands ntre les individus, il montre aussi que la recherche de sympathie explique le désir de richesse (=> recevoir l’approbation des autres/autrui). et égoiSme de l’individu participe a la prospérité commune : c’est la métaphore de La Main Invisible. Dans La fable des abeilles (1714), B. de Mandeville parle pour la première fois de ce principe de main invisible. Ce qui caractérlse le plus la pensée libérale est bien sûr le rôle du marché. Pour tous Ce qui caractérise le plus la pensée libérale est bien sûr le rôle du marché. Pour tous les libéraux, le marché est une « institution lé P. ROSANVALLON, fait le lien être la philosophie libérale et les mécanismes jugé essentielle par les économistes libéraux.
De plus, il considère le marché comme un outil de coordination régulation. Mais il ne considère pas le marché comme un simple outil mais comme une institution, qui, de pars son fonctionnement, corrobore avec les aspirations individuelles (rejet de l’autorité, inspiration a la liberté) et collectives de l’époque : le marché propose une organisation décentralisé de la société. Centraliser (Etat omnipotent) Décentraliser (remise en cause de ‘Etat) On observe que dans la société chaque individu vaque à ses occupations.
Ainsi, des choix et des actions de ceux-ci nait l’ordre économique et social c’est le résultat non intentionnel des actions individuelles. Le marché, en tant que mécanisme, ne contrains pas les personne mais permet de coordonner leurs décisions, leurs actes et conduit à une régulation de l’économie et de la société : c’est la métaphore de la main invisible. « En œuvrant pour leurs intérêts privé, les indlvldus œuvrent à l’intérêt collectif L’échange de bien marchand « dépersonnalise » es individus tout en favorisant les liens collectifs, le rejet du totalitarisme, etc.
Ainsi, selon ROSENVALLON, le marché s’incère donc comme le mode de fonctionnement économique le plus efficace de l’époque. nstaller le marché au cœur de l’organisation de la société civile, c’est proposer un modèle politique alternatif ? un pouvoir hiérarchique personnalisé. En outre, le marché propose une régulation neutre et objective de l’ordre socla 7 OF hiérarchique personnalisé. En outre, le marché propose une régu ation neutre et objective de l’ordre social : quel mécanisme permet le fonctionnement u marché ?
La 101 de l’offre et la demande mécanisme d’ajustement automatique entre les quantités offertes et les quantités demandées sur le marché grâce à la variation des prix/ à la flexibilité et des réactions opposées des offreurs et des demandeurs. RQ : les prix qui résultent de la combinaison entre l’O et la D définit les rapports d’échanges entre les marchandises et ces prix sont aussi neutres. Pour A. SMITH, le marché et la concurrence permettent d’améliorer les conditions de vie du peuple tt entier et pas seulement d’un groupe soclale (ex. our les mercantilistes : les marchands). s libéraux sont opposés aux privilèges (ex. nobles sous l’ancien régime ; les patentes royale monopole d’utilisation donnée par le souverain). Les points de divergences avec le mercantilisme Le premier point de divergence est l’intervention de l’Etat circonscrite (=limité) : le libéralisme nait en opposition du rôle excessif que joue FEtat dans l’économie. V. de COURNA propose le célèbre « laisser faire les hommes, laisser passer les marchandises il propose des recommandations de politiques économiques contre la bride de l’économie.
Cependant, les libéraux reconnaisse une légitimité de certaines ormes d’intervention de l’Etat : l’Etat régalien ou Etat gendarme (police, justice, armée) et le préservation de l’intérêt public (ex. préservation des droits, de la propriété individuelle, etc. ). SMITH pense également que l’Etat est le garant de l’intérêt général lorsque l’intérêt privé ne coincide pas avec l’intérêt public, c’est un cas particulier où 8 OF l’intérêt privé ne coïncide pas avec l’intérêt public, c’est un cas particulier où l’Etat doit intervenir.
Ex. en France, on observe la création de la monnaie fiduciaire en 1800 ; toutefois, à cette ?poque, chaque banque éditait ses propres billets. Dans ce cas, SMITH propose le fait de restreindre cette émission monétaire. Depuis, FEtat rajoute a ses fonctions le droit de battre monnaie afin de garantique que la monnaie qui circule reste intrinsèque pour empêcher un déséquilibre économique et monétaire de la société.
II pense que l’Etat doit réglementer, instituer des lois pour faire respecter la concurrence en effet, l’intérêt privé d’un marchand est de s’entendre sur les prix mais l’intérêt publique est de favoriser la concurrence ; l’Etat est donc indispensable pour éguler cela. Ensuite, il présente la fonction tutélaire pour l’Etat c’est-à-dire que l’Etat doit prendre en charge des productions qui ne serait pas rentables : ex. nettoyage des rues, construction de routes, de ponts, phares, canaux, etc. ‘est la myopie des agents privés : comme ce sont des activité couteuse, on obtiendra donc un bénéfice à long terme ce qui n’intéresse pas les entreprises privées. Enfin, l’un des objet de l’économie politique est d’identifier les cas où il y a conflit d’intérêt et de proposer des lois et des institutions qui permettent de les réduire : lois sur la oncurrence, création de la banque de France. Le second point de divergence est l’origine et nature la richesse : les échanges marchands, les excédents commerciaux. Les libéraux ont une tout autre conception de la nature de la richesse.
Selon eux c’est ce qui résulte de la production : pour les physiocrates c’est la production agricole pour SMITH résulte de la production . pour SMITH ce sont les biens agricoles et manufacturés Mals le but n’est plus seulement d’enrichir le prlnce mais aussi de procurer au peuple un revenu suffisant mais également de fournir a l’Etat ou a la collectivité des richesses pour financer les roductions non marchand permettant d’élever le niveau de vie. Smi h propose 3 élément procurent des richesses la régulation par le marcher : promouvoir le marché et empêcher tout ce qui peut entraver a son bon fonctionnement.
La division du travail : on améliorer la puissance productive. Le commerce international : en se spécialisant (avantages comparatlfs) / bénéficier des produits de l’étranger cher ou + cher mais de meilleur qualité). Extension de la taille du marché augmentation des débouchés pour la production. L’économie : La science de la richesse L’analyse de J. B. SAY : classique français, propose une autre onception de la richesse qui Inclut certalns service car selon lui, créé de la richesse ce n’est pas seulement créer des bien mais aussi c’est créer de la valeur création de l’utilité (pour répondre à des besoins. ) La rupture libérale au VIIIème siècle pour SMITH, le commerce international permet l’enrichissement de tous : tout le monde y gagne. Par conséquent on va définir dautres règles, d’autres modalités pour définir ce nouveau modèle international. On doit promouvoir les échanges marchands entre les pays et ainsi abolir les conflits d’intérêt et notamment les euerres ssion de territoire