les definitions du philosophe

les definitions du philosophe

Sha Li FREN 355 24 février 2015 Essai 1 La définition du philosophe selon les écrivains des Lumières Le XVIIIe siècle, ou le siècle des Lumières, est une époque caractérisée par des progrès sociaux, scientifique, et philosophique.

C’était un période dans lequel on trouve la naissance des pensées nouvelles et révolutionnaire, et les écrivains, ou les philosophes, des Lumières sont des acteurs importants, et ils sont responsables pour ce rétablissement intellectuel des hum analyser les définitio les philosophes Bayl montrer comment le « Le Neveu de Rame org is discuter et oque selon ensuite je vais lématisée dans e Diderot. Même si ces philosophes expriment des valeurs di érentes d’un vrai philosophe, il y a des thèmes communs qui sont partagés par les trois écrivains.

En court, le philosophe des Lumières doit avoir une tête libre et lucide, un esprit critique, et finalement un cœur qui cherche de la vérité et du bien-être des hommes. Le premier écrivain qu’on analyse est Pierre Bayle. Fils de pasteur, Bayle est né en 1 6571. En 1669, il était convertl au catholicisme, et l’année suivante, il revient au protestantisme2. Commençant un jeune âge, c’est déjà évident qu’il n’était pas un homme avec sa tête dans l’enseign

Désolé, mais les essais complets ne sont disponibles que pour les utilisateurs enregistrés

Choisissez un plan d'adhésion
Swipe to vlew next page l’enseignement théologique comme des autres autour de lui.

Dans ses Pensées diverses sur la comète, Bayle était le précurseur de la pensée des Lumières quand il entreprenait d’épurer de ses superstitions la religion3. Utilisant la méthode critique rigoureusement, il examine les causes au lieu de divaguer sur l’interprétation des faits, et remise en question les traditions et principes religieux à cette époque là. Dans une forme épistolaire, Bayle écrive les Pensées diverses sur le sujet de la omète qui parut au mois de décembre 1680.

Dans les IVe et Ve lettres, Bayle discute l’autorité des « Poète » et des « Historiens II dénonce le préjuge que les Poètes possèdent sur l’observation d’un comète, parce que ça signifie un jugement sans savoir toutes les faits et qui précède l’expérience. En plus, il écrit « … il semble qu’on ait pris plaisir d’entasser sans jugement et par la seul envie de satisfaire l’émulation ou plutôt la jalousie, que ces société ont les unes contre les autres, tout ce l’on peut concevoir de miracles chimériques… ?4. Ici, Bayle souligne la onséquence grave qui succède cette façon de préjuger sans raisonner et critiquer, en mettant l’humanité en désordre et en guerre. II propose, au contraire, que les vrais philosophes des Lumière ont la raison comme le guide principal dans leurs jugements et leurs réflexions. C’est l’importance de l’esprit critique. Plus tard, Bayle utilise une petite analogie qui signifi l’importance de l’esprit critique.

Plus tard, Bayle utilise une petite analogie qui signifie la faute dans le logique des Historiens, qui propose « ce qu’il est arrives dans les années qui ont suivi l’apparition des comètes, tout autant e malheurs »5. Bayle, en suivant de ce logique, écrive que s’il y a une femme qui ne met jamais sa tête a la fenêtre a la rue Saint Honoré, sans voir passer de carrosses, de s’imaginer qu’elle est la cause pourquoi ces carrosses passent. Il écrit « … qu’elle doit être un présage a tout le quartier, en se montrant a sa fenêtre, qu’il passera bien tôt des carrosses « 6.

Dans ce passage, Bayle dispute la pensée traditionnelle de la religion, et dans ce sens, il montre une liberté de pensée, particulièrement sur le sujet de la religion. Cette liberté de pensée et une caractéristique importante u philosophe des Lumières. Un homme de foi, il n’a pas craint d’appliquer au domaine religieux la méthode critique de la raison. Dans ses actions, Bayle prends courageusement parti contre les traditions et persécutions religieuses, pour établir tolérance et la lucidité dans la religion.

A partir de Bayle, récrivain Voltaire partage aussi une définition assez similaire. Voltaire, ou François-Marie Arouet, est né en 1694, sou le règne de Louis XIV7. un homme fidèle à la mission de fixer ses écriture à « éclalrer, libérer, et défendre »8, Voltaire vécut une ?poque cruciale de l’histoire des idées, et il a contr défendre »8, Voltaire vécut une époque cruciale de l’histoire des idées, et il a contribué grandement par la diversité de ses écrits et l’autorité de ses engagements.

Comme Bayle, il n’était pas peur d’explorer et d’examiner les enseignements dans les religions différents. Dans ses Lettres philosophiques, Voltaire fait un portrait des Quakers, et leurs pratiques, fondé sur ses propres observations. Au commencement de la première lettre, Voltaire écrive sa motivation de faire ces observations : « J’ai cru que la octrine et l’histoire d’un people si extraordinaire méritaient la curiosité d’un homme raisonnable»9.

D’abord, il est curieux et il veut savoir la mode de vie des cette groupe de gens qui sont « si extraordinaire ». Par cette déclaration, Voltaire se présent comme un homme d’un esprit ouvert et libre, parce qu’il a cette curloslté de savoir plus, de savoir ce que les autres hommes ne savent pas. un philosophe des Lumières doit avoir cette ouverture d’esprit, et Voltaire est un exemplaire de cette ouverture. Puis, il fait un portrait compréhensif des Quakers.

C’est mportante de noter que Voltaire voyage à Angleterre d’avoir un image complète des Quakers, et il veut peut-être oublier les préjuges qui lui accompagnent. Voltaire commence par un description en détail de la Quaker et sa maison, et il écrit sur la Quaker : « Il y avait plus de polltesse dans l’air ouvert et humain de son visage »10. Cette attitude d’observatio PAGF politesse dans l’air ouvert et humain de son visage « 10. Cette attitude d’observation en détail est aussi un trait important d’un philosophe des Lumières.

Ensuite, ils procèdent en discussion de la religion. D’abord, les hommes parlent du baptême. Quand la Quaker lui dit que le baptême n’existe pas dans l’anglicisme, Voltaire était étonnant. Mais même s’il regarde le cette tradition religieuse avec incrédulité au commencement, il le respect ; même sa religion n’est pas d’accord avec cet notion, Voltaire ne juge pas et il ne le dénonce pas. Cette caractéristique de regarder une nouvelle chose avec impartialité et respect est ordinaire d’un philosophe des Lumières.

Puis, ils continuent la discussion vers le manque de prêtre à l’église. Voltaire décrit : « Il y avait environ quarter cents hommes dans l’église, et trols cents femmes : les emmes se cachaient le visage avec leur éventail ; les hommes étaient couverts de leurs larges chapeaux, tous étaient assis, tous dans un profond silence… ce silence dura un quart d’heure»11. Encore une fois, Voltaire décrit encore la structure dans l’église en détail.

Ensuite, il demande a la quaker : « Vous n’avez donc point de prêtre et le Quaker lui répond : « Non, mon ami, et nous en trouvons bien Au commencement, c’est évident que Voltaire se moque de l’austérité du service anglican, mais après sa conversation avec le Quaker, Voltaire exclame qu’il apprend « les hose les plus importantes conversation avec le Quaker, Voltaire exclame qu’il apprend « les chose les plus importantes… touchant la doctrine des quakers.

Dans la première lettre vous aurez leur histoire, que vous trouverez encore plus singulière que leur doctrine »13. Ici, Voltaire commence d’apprécier la singularité et la simplicité de l’anglicisme, même s’il est avec doute. En conclusion, Voltaire se présent comme un homme de raison, qui ne préjuge pas, et qui respect les différences fondamentale entre le catholicisme et l’anglicisme, et les philosophes des Lumières sont caractérisés par es traits sans doute. Le denier philosophe que je vais discuter est Diderot.

Reconnu pour son érudition et son esprit critique, Denis Diderot est un écrivain et penseur des Lumières, comme Bayle et Voltaire. Il propose un système de pensée qui est fondé sur la raison et le jugement rational. Dans son œuvre Entretien d’un philosophe avec la maréchale de *** , Diderot utilise le forme d’un dialogue socratique, et présente aux lecteurs un image typique des Lumières sur la religion et la morale. Par les questions qu’il pose, Diderot souligne les contradictions logiques dans les arguments e la maréchale.

Par exemple, quand les deux parlent de ce qu’il est le bien et le mal, la maréchale conclure : « Le mal, ce sera ce qui a plus d’inconvénients que d’avantages , et le bien, au contraire, ce qui a plus d’avantages que d’inconvénients « 14, et Diderot lui demande « Vous êtes a plus d’avantages que d’inconvénients »14, et Diderot lui demande « Vous êtes persuadée que la religion a plus d’avantage que d’inconvénients ; et c’est pour cela que vous l’appelez un bien ?

La maréchale réponde affirmativement, et ici, Diderot présent un cas qui contredis la maréchale. Il pose le question rhétorique : « Croyez-vous que les terribles ravages qu’elle a causes dans les temps passes, et qu’elle causera dans les temps a venir, soient suffisamment compenses par ces guenilleux avantages-la ? »15. Ici, Diderot se présent comme un athée, qui n’est pas convaincu de la justification de faire des mauvaises choses au nom de la religion. Cette attitude est très similaire duquel de Bayle.

Un philosophe qui est pour la liberté de penser, particulièrement dans le domaine de la liberté des enseignements de l’église, Diderot nous présente une image un philosophe des Lumières qui est pour un raisonnement systématique, logique, et libre de l’enthousiasme à cause de la religion Ces caractéristiques distinctes des philosophes des Lumières sont manifestées dans l’œuvre plus long de Diderot, qui s’appelle « Le Neveu de Rameau Ce récit dialogué était publié en 1821, et les deux personnages, LIJI et MOI discutent et se disputent des thèmes comme l’amour, la vertu, et l’identité dans un café en Paris.

MOI, que on peut percevoir comme la voix de Diderot, est un philosophe de son état qui réfléchit beaucoup. LUI, ou le neveu de Rameau, est