La Peste : les confidences de Tarrou l) b. suite Il y a de nombreux verbes au passé composé traduisant la leçon qu’il a tirée, inscrivant son état d’esprit actuel dans une continuité. Ily a des adverbes de temps : « depuis », « cela fait longtemps » Deux verbes traduisent la leçon qu’il a tirée de l’expérience « je n’ai pas changé », « j’ai continuité », « j’ai appris », « je sais ». Tarrou reste fidèle à ses convictions.
Il établit un lien entre la situation actuelle « cette épidémie » et la leçon qu’il a tirée de son propre parcours : tout homme porte a peste en lui elle prendre le choix de or2 P mo connecteur logique d ansé La Peste n’enclenche m’apprend rien » Il) La vision de la vie de Tarrou nce l’a préparé ? e. « Cest pourquoi », le 2nd paragraphe. ce : « cette peste ne a) Le choix de Tarrou : une position active « J’ai décidé de refuser » : la position de arrou s’exprime par un refus d’être un instrument de mort et de laisser faire. Il s’agit d’une réflexion sur la condition humaine.
Le refus d’être « pestiféré » est incarné par Tarrou qui va s’engager de manière olidaire. Cet engagement solidaire apparait nécessaire : « Il faut combattre à vos côtés ».
Tarrou n’exprime pas son xpérience personnelle : il s’inclue dans cette condition humaine. c) De la Peste au mal universel Tarrou fait le constat de la réalité universelle du mal. On glisse de la réalité de la peste à Oran à la réalité d’un mal universel. « Chacun la porte en soi, la peste ». Tarrou file la métaphore : va du sens propre au sens figuré. La peste illustre la vision pessimiste de Tarrou : la contagion du Mal (« pestiféré », qui est physique et morale (« coller l’infection », « le microbe »… ). La mort et le meurtre (champ lexical) sont la conséquence du Mal.