Lecture analytique, les confidence de Tarrou , La Peste , Camus

Lecture analytique, les confidence de Tarrou , La Peste , Camus

La Peste : les confidences de Tarrou l) b. suite Il y a de nombreux verbes au passé composé traduisant la leçon qu’il a tirée, inscrivant son état d’esprit actuel dans une continuité. Ily a des adverbes de temps : « depuis », « cela fait longtemps » Deux verbes traduisent la leçon qu’il a tirée de l’expérience « je n’ai pas changé », « j’ai continuité », « j’ai appris », « je sais ». Tarrou reste fidèle à ses convictions.

Il établit un lien entre la situation actuelle « cette épidémie » et la leçon qu’il a tirée de son propre parcours : tout homme porte a peste en lui elle prendre le choix de or2 P mo connecteur logique d ansé La Peste n’enclenche m’apprend rien » Il) La vision de la vie de Tarrou nce l’a préparé ? e. « Cest pourquoi », le 2nd paragraphe. ce : « cette peste ne a) Le choix de Tarrou : une position active « J’ai décidé de refuser » : la position de arrou s’exprime par un refus d’être un instrument de mort et de laisser faire. Il s’agit d’une réflexion sur la condition humaine.

Le refus d’être « pestiféré » est incarné par Tarrou qui va s’engager de manière olidaire. Cet engagement solidaire apparait nécessaire : « Il faut combattre à vos côtés ».

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Il y a dans le texte un paradoxe : le refus de laisser la mort advenir va entrainer un retrait. « A partir du m page moment où j’ai renoncé a tuer, je me suis condamné a un exil.  » Il se refuse le personnage de leader. Ily a 15 « je » qui rythment le passage : Tarrou insiste sur son engagement contre la peste. « Je sais » revient souvent : c’est le fruit d’une expérience. ) Une réflexion à portée généralisante La 1 ère partie de l’extrait fait apparaitre une réflexion à portée généralisante que l’on reconnait par la tournure impersonnelle « il faut » (reprise 3 fois) -> cela concerne tous les hommes : Tarrau relie son expérience à celle de tous les hommes : c’est le mal à la condition humaine. La peste considérée par Tarrou est partout. Ily a un présent de vérité générale et les pronoms « tous » et « personne » : « Personne n’en est indemne », « tout le monde ». La peste présente un caractere collectif.

Tarrou n’exprime pas son xpérience personnelle : il s’inclue dans cette condition humaine. c) De la Peste au mal universel Tarrou fait le constat de la réalité universelle du mal. On glisse de la réalité de la peste à Oran à la réalité d’un mal universel. « Chacun la porte en soi, la peste ». Tarrou file la métaphore : va du sens propre au sens figuré. La peste illustre la vision pessimiste de Tarrou : la contagion du Mal (« pestiféré », qui est physique et morale (« coller l’infection », « le microbe »… ). La mort et le meurtre (champ lexical) sont la conséquence du Mal.