Exposé : Le totalitarisme : régime moderne ou antimoderne ? Economie planifiée : La « planification impérative de l’économie » est dirigée, généralement à l’échelle d’un État, au moyen d’un plan fixant les objectifs de production sur une période annuelle ou pluriannuelle. Autrement dit, elle désigne un mode d’organisation fondé sur la propriété collective ou étatique des entreprises qui se voient imposer des objectif Toutes les grandes d sio S’oppose à l’économi agents économiques Ian centralisé. or7 s p ‘État. ans lequel les nt la liberté de endre et d’acheter des biens, des services et des capitaux.
Chacun aglt alors en fonction de ses intérêts; le profit, considéré positivement, y figure comme la récompense du risque. Les défenseurs de l’économie de marché estiment qu’un tel « laissez faire » favorise la croissance économique. Dans le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui, on voit bien que cet élément caractéristique d’un régime totalitaire n’est plus d’actualité. En effet, le système économique de la grande majorité des Etats est orienté vers la mondialisation qui se caractérise par une libéralisation des échanges.
L’économie est libéralisée, et les Etats ont de moins en moins d’influence sur celle-ci. Ainsi, ? premiere vue, le totalitarisme serait un régime antimoderne au niveau de
D’ailleurs les deux gros secteurs de l’économie ord-coréenne sont l’agriculture et l’industrie lourde, nécessaire à la vie en autarcie, secteurs privilégiés des économies totalitaires. Mais comme je l’ai dit, cette mainmise de l’Etat sur l’économie est à nuancer, puisque la tendance depuis une dizaine d’année est ? la libéralisation, libéralisation qui reste cependant pour l’instant intérleure. + Quelques ouvertures aux investisseurs étrangers (quasiment exclusivement chinois).
Donc oui économie planifiée existe encore, donc totalitarisme moderne = pourquoi pas. Mais l’immense majorité des pays optent pour une économie libérale. Donc economie planifiée C] archaïsme et anti moderne. Terreur policière : Nous l’avons évoqué précédemment, la terreur policière est l’un des 6 éléments caractérisant un régime de totalitaire. Ce terme renvoie à une pratique systématique de violences et de crimes en vue d’imposer un pouvoir. Les régimes totalitaires utilisaient la terreur policière pour imposer une idéologie et abattre les opposants. Ex : La gestapo, police politique de l’Allemagne nazie). Aujourd’hui, la terreur policière est encore plus ou moins pratiquée dans de nombreux Etats non démocratiques. Comme on nom l’indique, la terreur policière vise à répandre la terreur au sein de la popu ation pour que celle-ci ne se révolte pas ; il y a une volonté crassu PAG » rif 7 la terreur au sein de la population pour que celle-ci ne se révolte pas ; il y a une volonté d’assujettir tout un peuple à une idéologie.
Toute personne résistant à cette soumission, sera victime d’une répresslon très sévère. A la base, la police politique ou police secrète est le service de police qui opère généralement dans le secret pour maintenir la sécurité nationale contre les menaces internes à l’État. Les polices politiques sont omniprésentes dans les régimes totalitaires. Elles sont souvent accusées d’être utilisées pour maintenir le pouvoir politique en place au lieu de protéger l’État de droit.
Au lieu de faire appliquer les lois comme les simples organismes de police, elles peuvent fonctionner au-delà et au dessus de la loi. Elles fonctionnent entièrement ou partiellement, dans le secret. Cette culture du secret vise à cacher la plupart de leurs opérations au public. Nous pouvons donner l’exemple de l’Etat Islamique, où une sorte de police politique semble s’être mise en place. C’est la police de a charia (appelée la hisbah). Les membres de cette police portent un qamis (vêtement long traditionnel) et parfois un gilet noir.
Les patrouilles sont omniprésentes dans la rue (ce qui atteste bien de la terreur policière) ; elles ont pour but de faire respecter la loi islamique par les habitants. Cette police scrute tous les détails de l’existence de chacun : les prix pratiqués par les commerçants (on en revient à l’économie qui est contrôlée par le régime en place), le tissu du voile des femmes, la décoration des habitations… Ils vérifient que personne ne consomme de drogue, d’alcool, de hicha, de tabac… Si certains commettent des faits répréhensibles d’après la loi isla PAGF3C,F7 d’alcool, de chicha, de tabac…
Si certains commettent des faits répréhensibles d’après la loi islamique, ils sont emmenés dans un centre qui fait office de prison où ils attendent leur jugement et leur peine (coups de fouets pour les vendeurs d’alcool, main coupée pour les voleurs… ). Les procès sont faits de manière sommaire, et les peines encourus renforcent le sentiment de la terreur auprès des populations. La hisbah a donc pour fonction de faire respecter la loi islamique et imposé un islam radical, oulu par les commandants de cette organisation terroriste. Spécificité de se comporter comme un véritable Etat). Ainsi pouvons-nous constater que la terreur policière est encore présente aujourd’hui, ce qui peut nous amener à penser que le totalitarisme peut être moderne. Cette terreur policière est présente à différent niveau : elle est plus ou moins forte en fonction des pays, mais elles existent encore aujourd’hui. Les occidentaux jugent ces pratiques dépassés et moyenâgeuse, donc peut être aussi anti moderne. Contrôle des médias / monopole de l’information :
Contrôler l’information cela signifie cumuler un maximum d’informations pour soi, les faire passer par le filtre idéologique, puis les retransmettre en quantité soigneusement choisie a la masse, de manière biaisée bien sûr. Il s’agit pour le régime d’éviter une éducation trop importante des masses, dans le but d’endormir leur conscience et de rendre ses actes légitimes. La population est donc tenue à l’écart de ce qui pourrait la rendre nuisible au régime. Friedrich Thiemann disait : « quand j’entends le mot culture, je sors mon revolver » lors d’une pièce de théâtre le jour de l’anniversaire d’Hitler. C’est ainsi q