Le Patriotisme Au 19e

Le Patriotisme Au 19e

LA POLITIQUE, la PATRIE CHEZ es ÉCRIVAINS DU 19E patriotisme chez Flaubert : Flaubert n’a qu’une hâte en 1870 : c’est de s’engager, il s’engage ainsi comme Lieutenant, et n’a qu’une hâte, d’aller percer un prussien. Ça montre le sentiment patriotique. Pegy : était un dreyfusard : il fait des déclarations très patriotique. L’amour de la terre natale, la notion de sacrifice, c’est à dire mourir pour défendr Que se passe-t-il enl 2 Sni* to reste de l’Europe. Ily traîtres aux yeux des —Mais aussi chez Danton : ocratique en guerre avec le passent pour de

Danton, tribun « Celui qui fuit son pays quand il est menacé n’est plus citoyen Et s’il osait revenir, la patrie lui dirait « Malheureux, tu m’as laissé dans les jours de périls ! Et bien, disparaît à jamais, ne reviens plus sur mon territoire —L’ambivalence du patriotisme révolutionnaire. De défendre sa patrie. D’exporter la paix, la révolution. Todorov : « Le patriotisme porte en lui, l’amour et la haine, la paix et la guerre Alors oui, défendre sa terre, c’est tuer l’ennemi. ils ont brisé leurs chaînes, en France : du joug, de l’obscurantisme. Ils vont facilement essayer d’exporter la révolution.

Jusqu’à la fin du 1

Désolé, mais les essais complets ne sont disponibles que pour les utilisateurs enregistrés

Choisissez un plan d'adhésion
9e siècle : être patriote signifie être républicain, voire socialiste. Malgré Napoléon 1er. pour le reste de l’Europe, Napoléon exportait les idées de la Révolution. Il en était toujours largement animé. Le campagnes qu’il menait à l’extérieur de la France c’état la continuité des guerres révolutionnaires. Dans le prolongement de cet idéal, on trouve finalement les guerres coloniales. Elles parcourent tout le 19e siècle. On veut imposer un modèle qu’on croit le bon à l’extérieur. —Quelle était la situation en 1870 ? Qu’est ce que la commune ?

Les républicains, c’est à dire la Gauche finalement : Gambetta, mais aussi Victor Hugo, ne veulent pas signer la Paix. Ils ne peuvent pas s’y résoudre. La commune : cette insurrection tragique des parisiens : Bien sûr, source socialiste, mais aussl ce refus de signer la paix. Elle dure, du 18 Mars 71 au 28 mai 71 : ce sont deux mois terribles. Et pour ces communards, le gouvernement, en signant la paix, a trahit. Ils voyaient les hommes de Versailles, ayant signé la Paix : comme de alliés des Prussiens. On peu penser à Alphonse Allais : il a écrit une lettre à Paul

Deroule : l’un des politiques les plus animés de l’esprit de revanche. Il imagine, on est en 1905, une nouvelle arme : cultiver dans des laboratoires tous les pires virus qui existent, pour tuer tout le monde. Il dit que ça permettrait d’économiser des tas de frais, on ouvrirait des casinos dans les casernes.. PAG » OF d dit que ça permettrait d’économiser des tas de frais, on ouvrirait des casinos dans les casernes.. II dit bien qu’on veut qu’ils meurent tous les prussiens ! Il invente l’idée de la guerre bactériologique. Il dénonce la xénophobie, enseignée aux enfants. Aussi : en 1879 : le 14 juillet devient la fête nationale.

Association de la république de 1871, et du patriotisme. L’essor de l’anti militarisme avec l’essor du mouvement ouvrier. Un antipatriotisme ? Aussi : fin 19e : l’essor du mouvement ouvrier. Toutes les idées socialistes ont produit leurs fruits. Le mouvement ouvrier est en plein essor. Il va peut à peu se détacher du sentiment national, à côté de la lutte contre l’exploitation des prolétaires, va aussi se développer un anti-militarisme. Cest facile à comprendre : la république qui cautionne l’exploitation des ouvriers + qui les incite à donner leur sang dans es usines : on finit par rejeter les deux.

Ainsi, peut à peu , la propagande anti militariste est forte. On est pas loin de l’anti-patriorisme. —Le rôle de l’affaire Dreyfus. Avec l’affaire Dreyfus : l’armée est apparue comme dominée par des officiers anti-dreyfusards. *Contraire à ce que pensait le peuple. Ne pas être dreyfusard, cela signifie faire passer la raison d’état au dessus de la morale, le l’intérêt, de la dignité humaine. C’est le dialogue entre Antigone et Créon . Créon représente l’état : celui qui est coupable, qui n’aya voir, fait la guerre à l’autre. PAGF3œ•Fd