Arc de Triomphe I Introduction L’arc de triomphe de Pétoile le plus souvent appelé Arc de triomphe est un monument de la période du néoclassique situé dans le 8ème arrondissement de paris construit de 1806 à 1836 par Jean-François-Thérèse Chalgrin . Il Jean-François-Thérèse Chalgrin Jean-François-Thérèse Chalgrin est un architecte français né à Paris en 1739 et mort dans la même ville le 21 janvier 1811. Chalgrin représente la phase grecque du néoclassicisme et se distingue par l’ample une famille modeste rcç qui est un peintre, ar te- italien.
Il s’inscrit à l’A n 1755 dans l’atelie Chalgrin né dans ons de Servandoni • ‘zu e théâtre franco- cture avant d’entrer A 19 ans il remporta en le grand prix d’architecture. L’année suivante en 1759 il s’séjourna j’usqu’en 1763 à Rome. A son retour il se fit remarquer par de nombreux architectes comme Moreau- Desproux, Jean-Baptiste Pigalle, ou encore Jacques-Germain Soufflot. Ils construit plusieurs hôtels à Paris, Le Pavillon de musique de la comtesse de Provence ( Versaille), Le Collège de France et L’égllse Saint-Philippe-du-Roule.
Ill L’arc de triomphe 1 Histoire L’arc est situé sur la place de Vétoile . Après la bataille d’Austerlitz Napoléon Ier déclare aux à ses soldats : « Vous
La première pierre fut posée le 15 août 1806. Les fondations de l’arc durerent deux années. En 1810, les quatre piles s’élevaient à environ un mètre au-dessus du sol. À l’occasion de son mariage avec l’archiduchesse Marie-Louise, l’Empereur délégua des crédits qui permirent à Chalgrin de construire une maquette en raie grandeur en charpente qui resta assez longtemps en place et sous laquelle la princesse passa. L’architecte mourut assez subitement en 1811, suivi, hut jours après lui, par Raymond.
En 1814, l’arc de triomphe était élevé jusqu’aux voûtes, mais la construction fut interrompue puis abandonnée sous la Restauratlon (1814-1830). On (Louis XVIII) ne reprlt la construction qu’en 1824 avec les architectes Louis-Robert Goust puis Huyot et sous la direction de Héricart de Thury. La construction sera finalement reprise et achevée entre 1832 et 1 836 par l’architecte Guillaume-Abel Blouet, sous Louis-Philip PAG » OF d Guillaume-Abel Blouet, sous Louis-philippe.
L’Arc de triomphe de l’Étoile est inauguré le 29 juillet 1836 pour le sixieme anniversaire des Trois Glorieuses(27, 28 et 29 juillet 1830). 2) Structure œuvres Au pied de l’arc se trouve la tombe du Soldat inconnu de la Première Guerre mondiale qui représente tout les soldats mort lors de la première guerre mondiale. L’arc mesure 50 mètres de haut, 45 mètres de large et a une profondeur de 22 mètres. La hauteur de la grande voûte est de 29,19 mètres et sa largeur de 14,62 mètres. La petite voûte, mesure 18,68 m de haut et 8,44 m de large.
C’est Louis-phillppe et Adolphe Thiers qui ont décidé du choix des thèmes et des sculpteurs : Le départ des Volontaires (La Marseillaise) de François Rude et Le Triomphe de Napoléon de Cortot. La frise située au sommet de VArc se divise en deux parties : Le départ des Armées et Le Retour des Armées avec une longue scène centrale à la gloire de la Nation. Détails des sculptures Les quatre plus importants hauts-reliefs sont : Le Départ des volontaires de 1792 (dit La Marseillaise), par François Rude. Ce haut-relief représente le rassemblement de tous les Français, pour défendre la nation en partant au combat.
Liensemble et la diversité du peuple français est mis en avant par la diversité des soldats partant au combat : révolutionnaires, bonapartistes et royalistes ; jeunes et moins jeunes. Au-dessus d’eux, la Victoire les guide, représenté par une femme avec des ailes poussant un cri d’alerte face à l’invasion ennemie. une femme avec des ailes poussant un cri d’alerte face ? l’invasion ennemie. Le Triomphe de 1810, par Jean-Pierre Cortot A gauche de Napoléon Ier, la femme assise avec sa tablette symbollse « Histoire qui inscrit ce triomphe. La Résistance de 1814, par Antoine Étex
La Paix de 1815, par Antoine Étex qui on vu sur l’avenue de la grande armée Six bas-reliefs sont gravés sur les quatre faces de l’arc et retracent des scènes de la révolution et de l’Empire. Ils se situent au-dessus des 4 groupes ainsi que sur les côtés de l’arc Les funérailles du général Marceau le 20 septembre 1796, par P. H. Lamaire (face Sud droite), La bataille d’Aboukir le 25 juillet 1 799, par Seurre aîné (face Sud gauche), La bataille de Jemappes le 6 novembre 1792, par Carlo Marochetti (face EST), Le passage du pont d’Arcole le 15 novembre 1796, par Jean- Jacques Feuchère (face Nord droite),
La prise d’Alexandrie le 3 juillet 1798, par John-Étienne Chaponnière (face Nord gauche), La bataille d’Austerlitz le 2 décembre 1805, par Jean-François- Théodore Gechter (face Ouest). La partie supérieure est ornée de 30 boucliers sur lesquels sont gravés les noms de grandes batailles de la révolution et de l’Empire Les grandes arcades sont rehaussées de figures allégoriques représentant des personnages de la mythologie romaine. Sur les faces intérieures des petites arcades sont gravés les noms des personnalités de la Révolution et de l’Empire. Les noms de ceux qui sont morts au combat sont soulignés.
