L’année 1789 L’an 1789, année de changements politiques et moment clé de la révolution française, fut riche en rebondissements et en événements connus pour avoir changé l’histoire. Entre l’assemblée nationale, les états généraux et la prise de la Bastille, cette période courte changea la vie telle que la connaissaient les français. Mais comment cela s’est-il déroulé ? Pendant les premiers mois de l’année, face à un hiver rigoureux, le peuple crie famine. La colère gronde dans les villes comme dans les villages et, pour ne rien arranger, le pays est ruiné.
Afin e régler cette crise, le roi (poussé par son ministre Necker) n’a Swp to page d’autre solution que sont une assemblée énéraux. Ceux-ci org représentants de Ian ‘esse, est constitué de repr mission de trouver u par la France. t les 3 ordres : les cler et le Tiers Etat, qui s 3 ordres ont pour ise politique subie Cependant, les tensions apparaissent rapidement, car les ordres ne partagent pas le même objectif. Les nobles sont venus pour réaffirmer leur rôle politique, ils acceptent donc les réformes seulement si leurs privilèges sont maintenus.
Le roi, lui, veut que a réforme principale soit l’augmentation des impôts, ce qui augmente les tensions. Le
Le roi réagit vivement : le 20 juin, il ferme la alle sous prétexte de « travaux ». L’Assemblée Nationale se rend alors dans la Salle du Jeu de Paume. C’est là qu’ils proclament le célèbre « Serment du jeu de Paume » : ils jurent de ne jamais se séparer et à se rassembler partout où les circonstances l’exigeront, jusqu’à ce qu’une nouvelle constitution soit établie. L’Assemblée Nationale dattaque directement au pouvoir monarchique. a réaction du roi est rapide. Il déclare les décisions de l’Assemblée Nationale nulles et illégales.
Il ordonne leur dispersion : Les membres de la noblesse et du clergé qui ont ejoint l’assemblée quittent la salle, mais le Tiers reste et défie Louis XVI. La phrase qu’ils prononcent alors restera gravée dans l’histoire : « Nous ne sortiront que par la farce des baiOnnettes ! Face à cette résistance, Louis XVI cède et accepte qu’ils restent dans la salle. L’Assemblée Nationale se déclare ensuite « assemblée constituante »le 9 Juillet 1789. Leur objectlf premier sera d’organiser la vie politique du Royaume et de créer une constitution.
A ce moment précis, on croit à la fin de la révolution l’Assemblée Nationale crée des réformes en toute légalité et roit à la fin de la révolution : l’Assemblée Nationale crée des réformes en toute légalité et le roi s’est rétracté. Tout laisse penser que l’on va vers une monarchie constitutionnelle. Mais début juillet, tout semble de nouveau chamboulé : le roi avait effectivemtn « rusé Y. Dès la fin Juin, il a fait venir vers Paris des régiments de mercenaires venus de l’étranger. Il avait préparé son revirement. Le 11 juillet, il renvoie son ministre Necker, jugé trop libéral.
Son remplaçant, Breteuil, est connu pour vouloir contrôler les émeutes par la force ; sa mise en place ffraie donc le peuple et provoque de grandes émeutes. Dans le Jardin des Tuileries, l’une d’elles se heurte à une troupe de mercenaires étrangers. La colère des émeutiers augmente de plus belle. Le peuple n’a plus confiance en son roi, qul a rusé et mentit. Les parisiens se ressaisissent et font face aux troupes : Un immense nombre de français se répandent dans Paris. Les troupes étrangères, face à cette énorme afflux d’émeutiers, se retirent, ce qui est source d’un grand espoir pour le peuple.
Dans la nuit du 12 au 13 juillet, les émeutiers incendient le mur e barrière douanière qui ceinture paris. Ce mur était détesté par les parisiens, car on y payait les impôts sur les marchandises entrant et sortant. La nuit suivante, les aristocrates augmentent le prix du pain de façon à ce qu’il devienne trop cher pour le peuple, dans le but de les affamer et de mettre fin à la révolte. Cela a reffet contraire : La colère de la foule augmente affamer et de mettre fin à la révolte. Cela a Heffet contraire : La colère de la foule augmente encore.
Le matin du 14 juillet, aux alentours de 9 heures, une foule se éplace vers le plus vaste dépôt d’armes de la capitale : L’hôtel des Invalides. Quelques dizaines de minutes plus tard, ils s’y introduisent et prennent possession de toutes les armes. Seulement, pour utiliser ces armes, il faut de la poudre… Qui se trouve à la Bastille, forteresse dotée de 8 tours. C’est une prison royale où sont enfermés des prisonniers sur la simple demande du roi, sans jugement. Elle est gouvernée par un gouverneur. La foule se déplace donc vers la prison de la Bastille où ils rejoignent d’autres émeutiers, déjà sur place.
Au départ, leur eule requête est rouverture des portes pour avoir accès à la poudre. Une délégation se forme parmi les émeutiers et demande à parle au gouverneur, qui les reçoit. Celui-ci, indécis, se trouve désemparé face aux événements. La discussion avec la délégation s’éternise ; la foule s’impatiente. Finalement, elle tente de pénétrer la forteresse de force. Les soldats de la Bastille s’affolent. Le gouverneur ne sait plus quoi faire : Donner la poudre et aider le peuple, ou combattre la foule ? Déboussolé, il ne fait ni l’un ni l’autre et ne prend pas de décision.
Alors, des oups de feu commencent à s’échanger, même si il est imposslble de dire qui, des soldats ou des émeutiers, lança le premier coup. Cet échange cause beaucoup de morts. Deux détachements de garde française, ralliés PAGF le premier coup. Cet échange cause beaucoup de morts. Deux détachements de garde française, ralliés aux émeutiers, arrivent avec des canons et les dirigent contre la Bastille, ce qui cause un affolement énorme du côté du gouverneur et de ses soldats. Ses propres officiers abandonnent la lutte. Finalement, le gouverneur capitule et montre drapeau blanc.
Il envoie ses propositions aux assaillants : Il veut la vie sauve pour lui-même et pour la garnison de la Bastille. Les assaillants acceptent, et les portes de la Bastille sont ouvertes. Le peuple s’empare dans la Bastille dans une ruée incontrôlable. Malgré le marché qui avait été conclu, des émeutiers coupent la tête du gouverneur avec un canif. Lln immense cortège se déplace ensuite dans paris, brandissant la tête coupée du gouverneur. Pour la première fois depuis bien longtemps dans l’histoire de la France, cette manifestation de foule n’est pas punie • plus rien ne eut arrêter la révolution qui est en marche.
Suite aux evénements, la bourgeoisie se réunit à l’Hôtel de ville de Paris. Ils élisent, par acclamation, un maire de Paris : Le célèbre Bailly. Pendant ce temps, à Versailles, l’insouciance habituelle continue. Dans la nuit du 14 au 15 juillet, on apprend la nouvelle de la prise de la Bastille. On vient réveiller le roi pour lui transmettre les informations de la journée : « -Sire, les parisiens ont pris la Bastille. Mais alors, c’est une vraie révolte ? Non sire, c’est une révolution. » La panique gagne la cour. Le roi hésite. Il décid