Voyez ce que vous êtes devenus , ne vous avez- je pas prévenue ? II est magnifique ce chef qui vous commande ! Où est donc passée votre dignité ? Et votre liberté , qu’en est-elle advenue ? Avez-vous donc chassés tous les rêves de prospérité et de bonheur qui vous étaient promis ? Après de maintes et maintes remontrances , apres de vives avertissements , vous ouvrez enfin vos yeux et réfléchissez avec le peu de matière grise qu’il vous reste !
Oui ! C’est bien moi , celui dont vous avez traînez le nom dans la boue , dont vous avez aveuglement accepter de prendre n grippe sous peine de punitions , celui qui causa la destructions du moulin à vent , celui qui tua et assassina vos camarades , celui qui a détruit vos champs et vos cultures ! Mais cher « camarades » n’avez donc aucune vue de votre état me de vos visages sont sous vos yeux.
Vos o miracle… Tout cela m p isérables ! La Simple vous ! Les traits nes qui ont logés blez tenir que par Mais sachez que Napoleon et ses compères ne sont pas les seules fautifs ! Certes , ils vont