Dans cet exposé, je vais caractériser la situation des femmes au XVII éme siècle, et en suite je vais expliquer en quoi les salons ont aidé les femmes à s’emanciper. Pour caractériser la situation des femmes, je vais parler de 4 thémes : L’éducation feminine, le mariage, la femme dans le foyer et la femme dans la société. L’éducation feminine Au XVII ème siècle, l’éducation des femmes était beaucoup plus différente que celle des hommes, les femmes étaient beaucoup moins Instruites, des femmes dont illétrées.
Elles recevaient surtout une éducation religieuse, pour connaitre la Bible et ses rincipes moraux, pour devenir la femme modéle de la société, religieuse et sage. L’autre partie de leur à devenir une mère enseignement dome choses pratiques, co sel ne é à apprendre ‘est une x femmes des itre les soins, « hygiène, pour pouvoir plus tard servir leur mari et leur famille. Il ne faut pas oublier que toute cette éducation reste quand même pour les plus riches, les plus privilégiées. Les femmes du XVII eme siècle n’ont donc pas eu accès à une éducation plus poussée, qui aurait développé leur esprit.
En effet, la plus part du temps, pour les hommes, plus les femmes sont pirituelles et
Les salons ont été crées pour parler de curiosité et disciplines intellectuelles (débat philosophique, scientifiques t mathématiques. ) La femme cherche la liberté et elle est obéissante. Pour résumé, elles recevaient une éducation négligée, dans le seul but d’être au service de leur famllle. Le mariage Les femmes restaient souvent au couvent jusqu’à ce qu’elles se marient. Cependant les mariages dans la France du XVII ème siècle sont loin d’être les mêmes que ceux de maintenant. Pour se marier, l’âge légal est de 12 ans pour les filles et 14 ans pour les garçons.
Mais plus généralement pour eux, l’âge général est d’environ 30 ans. A l’époque on ne se mariait pas par amour ais pour avoir des enfants (pour avoir une descendance et accomplir ce que la femme était sensée faire dans la société) et accomplir un devoir religieux civique. En sortant du couvent, les filles recevaient une dot (une somme d’argent censée les aider ? trouver un sortant du couvent, les filles recevaient une dot (une somme d’argent censée les aider à trouver un homme). Presque tous les mariages étaient arrangés.
Les parents des jeunes promis ou parfois l’homme lui-même chosissaient le meilleur parti, quelqu’un de la même classe sociale. En effet, ? l’époque les unions n’étaient pas motivées par l’amour ni par es sentiments, les mariages se faisaient par intérêt et il avait toujours un but, c’étaient davantage un arrangement social et financier entre les deux familles. Il était très mal vu d’épouser quelqu’un qui n’était pas dans sa classe sociale. Enfin, une fois le mariage négocié entre les familles, on se retrouve chez le notaire pour signer un contrat de marriage.
Le divorce, était extrêmement rare et très mal vu par la société du côté de la femme. Quelles que soient ses raisons, une épouse ne peut quitter le domicile sous peine d’être privée de tous ses droits. Les procès en séparation est dû souvent des brutalités du mari. A peine veuf, l’homme se remariait souvent avec une femme plus jeune, surtout s’il disposait de quelques biens. Les veuves, elles, refaisaient leur vie plus difficilement, notamment quand elles avaient plusieurs enfants.
La femme dans le foyer La femme dans son foyer doit se comporter en épouse soumise, rester à la maison pour faire les taches ménagères et s occuper des enfants. Parfois, un Parfois, un foyer aisé peut posséder des servantes ou des domestiques, qui prennent en charge et éduquent leurs enfants. La femme possède une autorité sur eux, mais bien sûr, pas sur le mari. Le père, lui, a un rôle incontesté dans la famille. C est lui le chef et tout le monde doit lui obéir. Il a un droit tout puissant.
La vie des femmes pendant la grossesse est très difficile. Beaucoup émettent des suppositions sur le sexe de l’enfant, mais généralement la famille veut avoir un garçon, pour qu’ il puisse travailler. La femme enceinte n’est pas dérangée de son travail habituel : elle falt ses occupations jusqu’aux premières douleurs, même chez les riches. Lorsque les douleurs arrivent, on appelle une emme sage qui provoque l’ouverture de la poche des eaux avec son ongle ou une pointe de couteau ou un cristal de gros sel et la presence de l’ homme est interdite.
La femme est forcée d’attendre un enfant dans le cadre du mariage. La femme au 17ème siècle fait beaucoup d’enfants, d’abord parce que la contraception n’existe pas mais aussi parce que les problèmes dhygiène sont nombreux à cette époque, ainsi que les maladies. presque tous les enfants n’atteignent pas leur majorité. Si une femme ne peut pas avoir d’enfant à cause de problème de fertilité, elle est considérée comme PAGF
