La sclérose en plaque

La sclérose en plaque

La sclérose en plaque Qu’est ce que c’est? La sclérose en plaques est une maladie qui touche le système nerveux central, en particulier le cerveau, les nerfs optiques et la moelle épinière. Cest une maladie auto-immune, ce qui signifie que le système immunitaire du corps s’attaque à lui-même. Cela entraine une affection inflammatoire provoquant une perte de myéline dans le système nerveux central (démyélinisation des nerfs).

La perte de la myéline (démyélinisation) s’accompagne d’une perturbation dans la faculté des nerfs de transmettre l’influx erveux à partir du c membres vers le ce Si la myéline est abî en plaques, la vitesse les symptômes appa Les causes ors to View s et à partir des oussée de sclérose ormation diminue et D’une manière générale, les causes de la sclérose en plaques (SEP) ne sont pas encore très bien identifiées : sa cause exacte reste à ce jour inconnue. Seules certitudes : la sclérose en plaques est une maladie auto-immune, non-héréditaire et pas contagieuse.

De nombreuses recherches ont été faites pour identifier le virus de la sclérose en plaques. Ce qui est communément admis, c’est qu’une combinaison de plusieurs facteurs est nécessaire pour déclencher la maladie. Une infection virale contractée durant l’enfance, comme le virus

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de la rougeole ou le virus Epstein-Barr, pourrait être impliquée. Un déficit en vitamine D pourrait également contribuer au déclenchement de la maladie. Quant aux facteurs génétiques prédisposants, ils sont également nombreux. On estime qu’en moyenne, 1 personne sur 1 000 est atteinte de sclérose en plaques, mais cette prévalence varie selon les pays.

Fait encore inexpliqué, il y a 2 fois plus de femmes que d’hommes atteints de sclérose en plaques. La maladie est diagnostiquée la plupart du temps chez des personnes âgées de 20 ans à 40 ans, mais elle peut aussi, dans de rares cas, toucher les enfants (moins de 5% des cas). Diagnostic Il n’y a pas de test qui permette de diagnostiquer de façon certaine une sclérose en plaques. D’ailleurs, les erreurs diagnostiques restent fréquentes, car de nombreuses maladies peuvent se manifester par des symptômes ressemblant à ceux de la sclérose en plaques.

Le diagnostic n’est pas toujours facile au début étant donné l’extrême diversité des signes de la maladie. Néanmoins le diagnostic repose sur [‘examen médical (antécédents médicaux, signes et symptômes) et sur une IRM, qui permet de visualiser le nombre et la localisation des lésions de démyélinisation. Dans certains cas, une ponction lombaire peut être effectuée. Elle consiste à prélever du liquide céphalo-rachidien au dos (entre les vertebres) pour s’assurer qu’aucune infection n’est responsable des symptômes. Les symptômes Ily a divers symptômes de la sclérose en plaque en fonction responsable des symptômes.

Il y a divers symptômes de la sclérose en plaque en fonction de l’emplacement de la détérioration de la myéline. Les symptômes courants sont: -Faiblesse musculaire -Paralysie -Trouble de la vue -Troubles de la sensibilité -Troubles cognitifs -Trouble de l’humeur -Fatigue -Incontinence -Difficulté à parler Ces troubles évoluent par poussées successives, qui durent de plusieurs jours à quelques mois, et sont séparées de plusieurs mois ou années. Entre les poussees une diminution des symptômes est quasi constante, avec même au début une possibilité de disparition complète des troubles.

Formes et évolution de la maladie En général, on distingue 3 formes principales de sclérose en plaques, selon la façon dont la maladie évolue dans le temps. – La forme rémittente: Dans 85 % à 90 % des cas, la maladie débute par la forme rémittente, caractérisée par des poussées entrecoupées de rémissions. une poussée est définie comme une période de survenue de nouveaux signes neurologiques ou de réapparition ‘anciens symptômes durant au moins 24 h, séparée de la poussée précédente d’au moins 1 mois.

Dans la majorité des cas, au bout de plusieurs années cette forme de la maladie peut évoluer vers une forme se t progressive. s’aggraver de façon continue. On parle alors de forme secondairement progressive. Des poussées peuvent survenir, mais elles ne sont pas suivies de rémissions franches et l’handicap s’aggrave peu à peu. -La forme primaire progressive: Cette forme se caractérise par une évolution lente et constante de la maladie, dès le diagnostic. Elle concerne 10 % des cas.

Contrairement à la forme rémittente, il ny a pas de véritables poussées, bien que la maladie puisse s’aggraver par moments. Cette forme apparait généralement plus tard dans la vie, vers l’âge de 40 ans. Le traitement Jusqu’à présent, il n’y a aucun traitement définitif de la SEP, mais il existe des possibilités de plus en plus grandes de traiter les poussées et de freiner son évolution. Une fois le diagnostic de SEP posé, le suivi de votre maladie repose principalement sur des visites régulières chez votre neurologue.

Dès qu’il le jugera nécessaire, votre neurologue vous proposera la mise en route d’un traitement médicamenteux. Au cours de l’évolution de votre SEP, plusieurs types de traitements peuvent être nécessaires : – Les traitements de fond: Ils visent à réduire la fréquence des poussées et à ralentir la progression du handicap. Ils peuvent être aujourd’hui administrés soit par voie orale, sot par voie injectable. Le mécanisme d’action diffère selon les médicaments. L’efficacité des traitements de fond de la SEP sur la réduction du nombre de poussées et la progression du handi PAGF