la pression inflationiste

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Économie du Brésil Brésil Indicateurs économiques paysage urbain de SÉO Paulo.

Monnaie Réal brésilien Année fiscale Année calendaire Organisations internationales rit to View Mercosur, UNASUR, Statistiques produit intérieur brut 2,09 trillions $ Produit intérieur brut 2,17 trillions $ (2009) Rang pour le PIB en PPA Croissance du PIB (2010) 2,7 % (2011)1 (2012)2 PIB par habitant en PPA 10471 $ (2010) PIB par secteur agriculture : 5,8 % (2010) industrie : 26,8 % (2010) services : 67,4 % (2010) Inflation (IPC) % (2010) or61 Importations 219,6 milliards $ (2011) Biens importés achinerie, équipement électriques et de transport, produits chimiques, pétrole, pièces d’automobile,électronique Principaux fournisseurs États-Unis 15 %, Chine 14,1 %, Argentine 7,9 Allemagne corée du sud % (2010) Finances publiques Dette publique 60,8 % Dette extérieure 310,8 milliards $ (2011) 5 Recettes publiques 464,4 milliards $ (2009) Dépenses publiques 552,6 milliards $ (2009) Déficit public Aide au développement Sources : https://v. n. n. ‘w. cia. gov/library/publications/the-world-factbook/geos /br. html modifier PIB par habitant en 2011 (ONU)6 : Brésil (12 594 $)

PIB par habitant supérieur à celui du Brésil PIB par habitant inférieur à celui du Brésil Le Brésil est la septième économie mondiale avec un PIB de 2 396 milliards de dollars en

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2012 (Total GDP 2012, Banque mondiale). L’économie brésilienne est à ra rocher de son histoire : en effet, les premières formes d’in tation du bois, canne ? PAGF 51 extérieurs D, car selon lui un pilotage économique, faisant tout pour obtenir une inflation faible et un excédent budgétaire élevé, ne garantit ni la croissance ni la réduction des inégalités sociales. Les taux d’intérêts, bien qu’ayant amorcé une baisse importante es dernières années restent élevés et se situent à 9,5 % en mai 2010.

Le Brésil est entré dans un cercle économique vertueux avec des taux d’inflation et d’intérêts bas (en comparaison avec le passé récent), un fort taux de croissance, un chômage en baisse et des revenus réels en hausse. Cependant, en 2011 1’économie brésilienne ralentit et la croissance décline fortement pour s’établir à 27 dans un contexte de crise mondiale. Sommaire [masquer] Histoire de l’économie 1. 1 Les débuts de la colonisation I . 2 Le XVIIIe siècle 1. 3 Le XIXe et le XXe siècle 2 Structure actuelle de l’économie . 1 Secteur primaire: agriculture, pêche, mines 2. 1. 1 L’agriculture 2. 1. 2 Mines et hydrocarbures 2. 2 Secteur secondaire: les industries 2. 3 Énergie 2. 4 La haute technologie 2. Finances 2. 6 Tourisme 3 Chiffres clés 4 Notes et références 5 Bibliographie 6 Voir aussi 6. 1 Articles connexes 6. 2 Liens externes Histoire de l’économie[modifier modifier le code] Les débuts de la colonisation[modifier modifier le code] La colonisation par les côtes a entraîné la découverte de plusieurs nouvelles essences de boi ment le pau brasil(bois PAGF 61 plantations est alors constituée d’esclaves. Le xviiie siècle[modifier modifier le code] L’économie brésilienne dont une grande part est fondée sur la culture et le commerce de la canne à sucre est à ce moment perturbée par l’introduction en Europe de la betterave sucrière.

En parallèle, des gisements d’or et d’argent sont découverts dans l’intérieur du pays. On assiste alors à une ruée vers l’or qui installe des villes nouvelles au cœur de la forêt amazonienne. En même temps, des pierres précieuses commencent à être extraites des mines dans le Minas Gerais, région qui tire son nom de cette industrie. Le xixe et le xxe siècle[modifier modifier le code] De nouvelles productlons agro-industrielles viennent s’ajouter le café et le caoutchouc. Ce dernier connaîtra cependant assez rapidement une reconversion vers la production de latex naturel en raison du développement de la production de caoutchouc ? partir du pétrole dans la première moitié du xxe siècle.

En 1888, avec l’abolition de l’esclavagisme (grandement due à des raisons purement économiques : il devenait plus cher d’entretenir des esclaves que de payer des salaires à des ouvriers récemment immigrés), l’outil industriel commence à se moderniser lentement. Durant la Première Guerre mondiale et dans les années qui a suivent, l’industrialisation du pays se conforte de manière importante, pour atteindre un niveau de fonctionnement industriel moderne. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la première unité de production sidérurgique est construite (1940, État de Rio de Janeiro), jetant les bases d’une économie de production de masse (automobile, pétrochimie, acier, machines-outils,aéronautique… ).

En parallèle, la mise en place d’infrastructures de tran 1 En parallèle, la mise en place d’infrastructures de transport et de télécommunications permet de soutenir le développement du pays, qui connait des taux de croissance économique records usqu’en 1974 (7,4 % en moyenne). L’afflux massif de capitaux dans les années 1970, en provenance des États-Unis, de l’Europe et du Japon a été utilisé pour subventionner des entreprises d’État et construire plus d’infrastructures dans les régions les plus pauvres, pour encourager leur décollage économique. Le résultat immédiat a été sensible : le PIB a connu une croissance de plus de 8 % par an sur la décennie, malgré le double choc pétrolier. Cependant, les années 1980 ont vu un retournement de sltuation et le Brésil fut forcé de restreindre ses dépenses publiques.

Cette ituation de crise a alimenté une accélération de l’inflation et une augmentation notable du poids de la dette, avant que des mesures de rigueur économique ne soient prises pour stabiliser lamonnaie. Sur la fin de cet épisode, en 1987, le gouvernement négocia un accord avec ses créanciers pour rééchelonner le paiement de la dette, après avoir suspendu son paiement. L’accord conclu n’a pas eu les résultats espérés mais fut cependant suffisant pour que la production économique totale assure un excédent commercial permettant de couvrir les intérêts de la dette. Dans les années 1990, le Brésil a mené une politique fiscale tricte mais les contrecoups de la crise financière de 1 998 en Asiedu sud-est ont fini par le contraindre à faire décrocher la monnaie, le réal, du dollar américain.

Le Brésil, membre des BRICS, fait actuellement face à une situation économique en berne, la PAGF s 1 actuellement face à une situation économique en berne, la croissance du pays se retrouvant à 2 % en 2013, contre 7,5 % en 2011, ainsi qu’à une baisse du real face au dollar 7. Structure actuelle de l’économie[modifier I modifier le code] Secteur primaire: agriculture, pêche, mines[modifier modifier le code] L’agriculture[modifier I modifier le code] Article détaillé : Agriculture au Brésil. Le Brésil a également fortement développé la filière de l’éthanol, biocarburant dont il est, avec 154 millions d’hectolitres par an, le premier producteur mondia18.

Cet éthanol est produit ? partir de lacanne à sucre, ce qui permet grâce à des rendements élevés un coût de production bas, de l’ordre de 0,17 euro/l. Un plan de développement de l’éthanol prévoit une progression de la production de 55 % d’ici 2010, pour atteindre 240 millions d’hectolitres à cette échéance. Un vaste « plan pro-alcool » a été mis en place pour diminuer la pollution au soufre (facteur mportant de réchauffement climatique) notamment et améliorer l’autonomie énergétique. Cela n’a pas été sans conséquence sur la déforestation. Dans ce programme, la canne à sucre servait de matière première. Parmi les critiques contre ce programme, outre le coût, figure la demande de terres arables qu’elle représente, aux dépens des forêts et des cultures vivrières.

La chute du prix du pétrole dans les années 1980, l’expansion du parc diesel, et finalement la découverte d’importantes ressources de pétrole dans les eaux brésiliennes ont été autant de conditions défavorables pour ce programme, qui connait ependant un regain d’intérêt récent, du fait de la flambée des cours internationaux du pétrole. Le bilan énergétique de l’éthanol brésilien est assez b 6 1 internationaux du pétrole. Le bilan énergétique de l’éthanol brésilien est assez bon car les « raffineries » sont autonomes en énergie, la bagasse de canne à sucre fournissant suffisamment de combustible pour leur fonctlonnement. 80 % du parc automobile du Brésil fonctionnait en 2011 avec l’éthan018.

De nouveaux riches brésiliens émergent actuellement ce sont les grands propriétaires de terres à cannes à sucres ui se réunissent par groupe autour d’une raffinerie construite avec leur argent mis en commun et donc vite rentabilisé par la vente de l’alcool de cannes à sucre. Les États-Unis se sont montrés très intéressés et envisagent le développement de la culture de cannes à sucres dans leur pays à long terme ; à moyen terme l’importation de ce carburant beaucoup moins coûteux que le pétrole, ce qui signifie aussi le développement d’un parc automobile flex fuel. Mines et hydrocarbures[modifier I modifier le code] Le grésil devient un important producteur de pétrole, notamment râce à des forages en haute mer.

Cette production a pour objectif de permettre au pays d’atteindre l’autosuffisance ? court terme. L’entreprise nationale d’exploitation pétrolière est Petrobras, toutefois celle-ci ne dispose plus, depuis 1995, du monopole de production. Le 8 novembre 2007, la compagnie nationale d’hydrocarbures Petrobras et ses partenaires pétroliers aux Brésil annonçaient la découverte un nouveau gisement au large du Brésil (Tupi Sul) évalué entre 5 et 8 Milliards de barils, susceptible d’augmenter les capacités de production du Brésil d’au moins 40 %. Le Brésil eviendrait à terme l’une des dix premières réserves de pétroles du monde (actuellement 24e mondiale) en concurrence direct avec le Venezuela9.

L’exploit 7 1 monde (actuellement 24e mondiale) en concurrence direct avec le Venezuela9. L’exploitation de ce champ gigantesque (le plus gros gisement découvert depuis ceux découvert au Kazakhstan en 2000) ne devrait débuter qu’à partir de 2012. Le groupe Vale (ex-CVRD) est le premier producteur mondial de minerai de fer 10. Le géant minier est également un important producteur de houille; en décembre 2008, il fait l’acquisition de 2 isements importants du groupe colombien Cementas Argosl 1 Secteur secondaire: les industries[modifier modifier le code] Le Brésil est le leader industriel en Amérique latine. L’industrie emploie 41 % des actifs.

L’aéronautique est un secteur très important, grâce au groupe Embraer, 3e constructeur mondlal d’avlons. L’usine Embraer emploie 800 personnes. Ce constructeur, qui prévoit 3,8 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2010, mise sur l’aviation d’affaires et les court-courriers d’une capacité de moins de cent places. Énergie[modifier I modifier le code] (Voir l’article détaillé : Énergie au Brésil) En 2008, Petrobras découvre la troisième plus grande nappe de pétrole de l’histoire au large des côtes brésiliennes. Ces nouvelles nappes de pétrole permettront au Brésil d’exporter une partie de sa production de pétrole, puisqu’il était déjà auto-suffisant.

Cependant, la difficulté d’exploitation de ces réserves offshore repose sur le fait qu’elles se retrouvent à plus de 6 km de profondeur. Cette difficulté a un impact sur le coût de production du baril qui est estimé à 30$/bariI, 4 fois plus que les offshores ordinaires. Le Brésil, en 16e position en 2012 parmi les pays roducteurs de pétrole, pourrait avec ces nouveaux gisements se hisser à la Se position en 2020. La demande en éne 61 pétrole, pourrait avec ces nouveaux gisements se hisser à la Se position en 2020. La demande en énergie primaire au Brésil s’est élevée en 2001 à 238 milllons de tep, en augmentation de 30 depuls 1990.

La production nationale s’est élevée à 206 millions de tep, soit un taux d’autosuffisance proche de 90 L’enjeu du développement de la production nationale d’énergie est très important tant pour assurer la croissance du PIB que pour contribuer à l’équilibre de la balance commerciale. Au grésil, la fourniture d’énergie électrique repose essentiellement sur l’hydroélectricité, qui fournit 86 % de la production totale d’électricité. Le pays est doté du potentiel hydroélectrique le plus important du monde, estimé à 255 millions de kilowatts. Il dispose avec l’usine hydroélectrique d’Itaipu, sur le fleuve Parané de la seconde plus grande installation du genre dans le monde (La première étant le barrage des Trois Gorges en Chine).

Le pays développe aussi une filière complète dans le domaine de l’électricité nucléaire, qui fournit actuellement 4,3 % de l’énergie roduite dans le pays. II dispose pour cela d’importantes réserves d’uranium et a mis au point une technique d’enrichissement de l’uranium qui serait très compétitive. La mise sur le marché de véhicules polycarburants (ou flex fuel, VCM) a connu une spectaculaire envolée avec la hausse du cours du pétrole, pour dépasser 5 000 % en 1999. On estime que ce taux dépassera 90 % en 2008. On peut noter que la Suède a elle aussi développé cette technique, bien que les biocarburants soient pour l’essentiel importés. En effet la canne à sucre ne pousse pas en Europe.

Les deux solutions qui restent sont la roduction d’éthanol à partir de la betterave sucrière ou solutions qui restent sont la production d’éthanol à partir de la betterave sucrière ou encore l’importation, deux procédés beaucoup plus coûteux en énergie. Cela entraîne un cercle vicieux qui enlève au biocarburant une partie de ses qualités d’énergie renouvelable. La haute technologie[modifier modifier le code] Le Brésil a pour ambition de se doter d’une technologie spatiale nationale. Il dispose d’une base de lancement à Alcantara, au nord-est du pays. Depuis 1997, le Brésil a connu plusieurs échecs, dont un ayant provoqué la mort de 21 echniciens en août 2003. Le programme spatial a été maintenu et soutenu par les différents présidents sur cette période. Le 23 octobre 2004, une première fusée est lancée avec succès, et est restée quatre minutes en microgravité.

Le Brésil possède aussi des compétences avancées dans le domaine médical (fabrication de médicaments génériques), le clonage d’animaux (naissance de la première vache clonée en 2001 Le Brésil affirme avoir mis au point dans son usine nucléaire de Angra dos Reis (État de Rio de Janeiro) sa propre filière d’enrichissement d’uranium 25 fois mons chère que elle utilisée aux États-Unis. Finances[modifier modifier le code] Sous la pression de la Banque mondiale, le Brésil réduit progressivement sa dette publique, qui est passée de 57 % en 2003 à 51 % en 200512. L’inflation est maitrisée depuis 1994. L’assainissement de la situation budgétaire a conduit le Brésil ? annoncer en mars 2005 qu’il n’aurait pas recours à un nouveau prêt du FMI. Les taux d’intérêt demeurent cependant élevés : le taux directeur de la banque centrale brésilienne est de 11 % et les emprunteurs finaux peuvent être soumis à des taux de 25%13. Ces taux, qui montrent que