La Contribution Des Organisations Politiques Au Fonctionnement De La De Mocratie

La Contribution Des Organisations Politiques Au Fonctionnement De La De Mocratie

La Contribution Des Organisations politiques Au Fonctionnement De La premium chapitre 3 Partie 1 QIJFLLF CONTRIBIJTION ORGANISATIONS POLITIQUES Au FONCTIONNEMENT LA OLMOCRAITL ? ablectlfs Comprendre que les partis politiques contribuent la mobilisation et a la polit… Ha irstore. fr Premium Produits et matériel de coiffure pour particullers Numéro I en Europe Mobilier – Sèches Cheveux – Accessoires – Colorations – Lisseurs Tondeuses – Beauté et Spa – Coiffants – Soins – Shampooings Sophie CATALA – L 3 CV I – Droit de l’information et de la communication

NICOLAS CANTEl_aup LE CONNAITRE ET OECHIFFRER SON HUMOUR Introduction Nous allons naus Intéresser un nouvel as de la carlcature, le vous présente Nicolas Canteloup et ses imitations saisissantes de personnes Eco financiere Économie Financière : Mardi 3 février On appréhende la monnaie par ses fonctions ; – rest d’abord un instrument de mesure – un instrument d’échange instrument de réserve Mouton en latin pecus On repère ensuite la Dissertation Faits et Statistique Fmplacement L’Furnpe du sud-ouest, bardant la Baie de Biscay, Mer Méditerranée, le Nard L’Océan atlantique. t Montagnes de Pyrénées, le sud-ouest de France Capitale Madrid Cllmat : modéré : les étés cl.. Projet de code de la famille du mali les électeurs, ce

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qui passe aussi par un travail de mobilisation et de politisation. Dans ce travail, les partis politiques pourront s’appuyer sur un certain nombre de relais dans la société civile (syndicats, associations, églises, mosquées, etc… ), sachant que les relations entre les partis politiques et ces autres groupes peuvent être complexes : coopération mais aussi influence, voire contestation… – Comment les partis contribuent-ils à la mobilisation et à la olitisation des électeurs ? La théorie politique accorde aux partis un rôle central dans le fonctionnement de la démocratie représentative. Leur importance est reconnue par la Constitution française qui leur consacre l’article 4 : Les partis et groupements politiques concourent à l’expression du suffrage . Ils se forment et exercent leur activité librement. Ils doivent respecter les principes de la souveraineté nationale et de la démocratie.

Ils contribuent à la mise en oeuvre du principe énoncé au second alinéa de l’article 1 er dans les conditions déterminées par la loi. La loi garantit les xpressions pluralistes des opinions et la participation équitable des partis et groupements politiques à la vie démocratique de la Nation Ce rôle central qui est accordé aux partis par le fait qu’ils « concourent à rexpression du suffrage » se décline en de multiples fonctions. – La mobilisation et la politisation des électeurs 2- La politisation des individus La politisation des individus est une dimenslon de la socialisation politique : elle exprime la réalité d’un investissement d’attention et d’intérêt pour la chose politique, voire la participation active à la vie politique : lectures ‘articles, discussions, militantisme éventuellement présentation à des élections.

PAG » 7 politique : lectures d’articles, discussions, militantisme, éventuellement présentation à des élections. 3- La mobillsation électorale et la mobilisation politique des individus Une mobilisation électorale est processus par lequel les citoyens s’intéressent et participent à une élection. Elle s’inscrit dans un cadre légal et pacifié qui est celui des campagnes électorales.

La participation de soutien des élèves à une élève sans papiers peut être considérée comme une mobillsatlon polltique puisque ‘est une action collective qui se fait sur la base de valeurs politiques (liberté, égalité, fraternité) contre un adversaire politique (ici, le ministère de l’intérieur et plus généralement un gouvernement), au nom d’une identité politique (une certaine conception de la république française) : la mobilisation politique est donc à rapprocher, dans le champ spécifique politique, des 3 principes caractérisant les nouveaux mouvements sociaux pour Touraine : principe d’identité, d’opposition, et de totalité . Souvent (mais ce n’est pas le cas ici), les mobilisations polltiques sont le ait de partis politiques.

La mobilisation électorale est une mobilisation politique mais toutes les mobilisations politiques ne sont pas des mobilisations électorales. 4- Distinction entre taux de mobilisation électorale et taux de participation électorale Le taux de participation électorale et le taux de mobilisation électorale reflètent le degré d’implication des citoyens dans le système politique d’un pays. Les définitions et les usages statistiques de ces taux sont assez variés. indicateur pour mesurer l’implication des individus dans le processus électoral. Il a diminué dans la plupart des pays de ‘OCDE ces vingt dernières années, le taux d’abstention ayant symétriquement augmenté.

Selon la définition de l’OCDE, il correspond au nombres dindividus qui votent lors d’une élection par rapport à la population en âge de voter (généralement les plus de 18 ans), tel que consignés dans les registres administratifs nationaux, ou par rapport aux inscrits sur les listes électorales. Selon la population statistique de référence, le taux ne sera donc pas le même. Taux de participation électorale Un taux de participation électorale élevé est synonyme de fort degré d’implication dans le système politique d’un pays A l’inverse, un taux de participation électorale faible peut témoigner d’une indifférence des citoyens à l’égard des affaires publiques ou d’une insatisfaction vis à vis de l’offre politique. Le système politique en place reflète alors la volonté d’un nombre restreint de citoyens.

Dans certains pays (Belgique, Luxembourg, Grèce notamment, et pendant un temps Pays-Bas, Autriche, Italie), le vote est obligatoire, les taux de participation y sont particulièrement élevés sur la période 1945-2002_ 13 Taux de mobilisation électorale 5- Mobilisation et politisation partisane Un parti politique est un groupe organisé et permanent dont les membres se rassemblent afin de conquérir le pouvoir politique ou, au moins, d’exercer une influence politique sur la société. Dans une démocratie, la création de partis politiques est libre et la pluralité est la règle. Ils sont des instruments indispensables ? l’exercice des droits civiques.

Un parti politique est une organisation qui a la volonté d’exercer le pouvoir, qui s’organise en conséquence (organisation durable, sur rensemble du territoire, recherche d’un soutien populaire). Le PS ou l’UMP sont des partis politiques. On peut distinguer des partis de gouvernement de partis protestataires (Lutte ouvrière, par exemple) Un parti politique veut (en principe) exercer le pouvoir tandis qu’un groupe de pression ou d’intérêt se contente de vouloir influencer le pouvoir. Deux système de partis peuvent être repérés : le bipartisme est un système de partis dans lequel seuls deux « grands » partis sont susceptibles d’accéder au pouvoir (EU : démocrates/Républicains ; Royaume-Uni : travaillistes/conservateurs). Cette bipolarisation est favorisée par le mode de scrutin de type majoritaire au suffrage universel.

Le multipartisme est un système de partis dans lequel trois partis au moins exercent une influence réelle sur la vie politique et établissent entre eux des alliances plus ou moins solides( Belgique : 16 partis ; Pays-Bas : 13 partis) ; ce système est favorisé par la un scrutin proportionnel. La France, une fos de plus, se singularise, puisqu’elle connait à la fois un multipartisme et une bipolarisation de la vi singularise, puisqu’elle connaît à la fois un multipartisme et une bipolarisation de la vie politique . Les principaux partis susceptibles de participer à un gouvernement sont regroupés n deux grandes coalitions en raison d’un mode de scrutin majoritaire. 5 principaux partis : Selon la Commission nationale des comptes, plus de 230 organisations ont le statut de partis politiques en France. Le financement des partis politiques a été modifié dans les années 1990. Un parti peut prétendre à un financement public en fonction de deux critères : le nombre d’élus au parlement et le nombre de voix obtenus lors du premier tour des législatives. Ce système de financement favorise les grands partis politiques. A la clé, une cagnotte de 75 millions d’euros à se partager chaque nnée. Seulement quarante partis ont des financements publics. Comment font les autres ? Les subventions publiques ne sont pas les seules sources de financement d’un parti politique.

Ily a également les adhésions et les dons. Selon la loi, un particulier peut donner jusqu’à 7 500 euros par an à un parti politique et 1 50 euros à un candidat. Les financements des partis et des campagnes électorales sont plafonnés. En revanche, un particulier peut donner à plusieurs partis politiques. Et des partis politiques peuvent également financer d’autres partis, sans aucune limite ette fois-ci : Deux cents partis politiques financent les partis de premier plan. Les candidats ont tout intérêt à financer leur campagne par plusieurs partis politiques : Chaque responsable politique de premier plan a au moins un parti politique sinon plus.

Les principaux partis politiques en France Les fonctions des partis politiques Les partis politiques participent, en amont, à la sélection des gouvernants dans la mesure où ils encadrent l’offre politique et constituent l’institution par laquelle le personnel politique, et en particulier les futurs candidats, sont recrutés et sélectionnés. Georges Lavau appelait cette fonction la « fonction de relève politique Une autre fonction des partis consiste à proposer des programmes et des politiques pour un éventuel gouvernement. Ainsi, selon la théorie de G. Lavau, les partis ont un rôle stabilisateur pour la politique dans la mesure où ils convertissent en projets positifs des oppositions de vues qui risqueraient de ne demeurer qu’à ‘état de conflits.

Ce faisant, les partis égitiment, voire imposent, des idées dans l’espace politique et, par le fait, participent à structurer l’opinion. Un autre rôle de stabilisation et de légitimation important des artis politiques est leur rôle de coordination et de contrôle des organes gouvernementaux : les partis politiques font le lien entre les citoyens et le sommet de l’État et assurent symboliquement la cohérence entre la volonté des citoyens et l’action des gouvernants, issus de leurs rangs et sur lesquels ils assurent une sorte de contrôle. Les partis politiques jouent aussi un rôle important d’intégration sociétale et d’intégration sociale.

Intégration sociétale parce qu’ils peuvent à l’occasion se faire les porte-parole de groupes ou d’associations porteurs de valeurs ou d’attentes spécifiques ; ntégration sociale par leur rôle « pédagogique » lié à l’éducation politique voire à la socialisation politique des citoyens (dans ce domaine, on se souvient du rôle joué par le passé par le Parti communiste, capable d’offrlr à ses adhéren PAGF70F17 communiste, capable d’offrir à ses adhérents non seulement une culture politique mais aussi de nombreux lieux de sociabilité). Enfin, les partis politiques peuvent aussi jouer un rôle de « contre- organisation Y, voire de subversion. Paradoxalement, cette fonction ne conduit pas à un dysfonctionnement de la démocratie représentative. Au contraire, en exprimant les mécontentements d’une partie des citoyens, les partis politiques évitent que ces mécontentements ne débouchent en une violence incontrôlée. En canalisant ces contestations, les partis jouent donc le même rôle stabilisateur que le tribun de la plèbe dans la République romaine : c’est ce que l’on appelle la « fonction tribunitienne » (étudiée par G.

Lavau dans le cas du parti communiste, mais que l’on retrouve, en partie, dans le cas du Front national voire aujourd’hui dans le cas du Front de gauche). L’ensemble de ces fonctions se cristallisent dans la nécessité, our la plupart des partis politiques, de se légitimer en obtenant l’adhésion des citoyens aux idées dont ils sont porteurs. La majorité des partis aspirent à avoir des élus et se livrent, pour cela, à un important travail de mobilisation électorale. On peut définir ce travail comme l’ensemble des actions mises en oeuvre par des acteurs divers pour dlffuser une « offre politique » et persuader les électeurs de s’y rallier en apportant leur soutien et leur vote.

Cependant, cette adhésion peut s’exprimer selon des modalités variées qui ne passent pas nécessairement par le vote : des partis olitiques peuvent avoir une audience et une influence bien supérieure à ce qu’ils représentent électoralement ce qui peut conduire à des mobilisations politique PAGF qu’ils représentent électoralement ce qui peut conduire à des mobilisations politiques relativement plus puissantes que les mobilisations électorales que ces partis arrivent à entraîner. Les campagnes électorales jouent un rôle central dans la mobilisation électorale. Elles peuvent être analysées comme l’aboutissement du processus de la rationalisation du travail de sollicitation des électeurs, ce qui suppose l’émergence de savoir- aire spécifiques à l’élection.

Les campagnes électorales sont aussi un temps important dans le processus de politisation des électeurs. Ce travail de politisation est d’autant plus important que Pintérêt pour la chose publlque n’a rien de naturel ou de spontané bien au contraire, l’adoption du suffrage universel a obligé les professionnels de la politique à un long travail d’intéressement des « profanes ». Par ailleurs, ce travail reste en partie inachevé puisque l’intérêt pour la politique est inégalement réparti dans la société, de même que les modalités de la socialisation politique ont socialement tres diverses et aboutissent à une politisation qui varie largement en intensité en fonction des groupes sociaux concernés.

En ce qui concerne le fonctionnement interne des partis, Michel Offerlé propose un cadre d’analyse adapté à la complexité des organisations partisanes en s’appuyant sur une relecture de Weber, de Schumpeter et sur la théorie bourdieusienne des champs. Dans cette optique, un parti doit être analysé nan seulement comme une entreprise politique tournée vers la conquête des positions de pouvoir, mais aussi comme un espace de oncurrence objectivé entre des agents luttant pour le contrôle des ressources collectives que sont la définition légitime du parti, le droit de parler en son le droit de parler en son nom, le contrôle des investitures et des moyens de financement.

Dans cette perspective, les pans se distinguent selon l’importance de leurs ressources collectives propres (permanents, moyens matériels, notoriété du parti… ) et des ressources personnelles de leurs élus et dirigeants ; on retrouverait ici l’apposition idéal typique entre les partis de masse et les partis de cadres proposée jadis par Maurice Duverger, si cette distinction ntre «capital collectif» et «capital individuel» ne divisait, selon M. Offerlé, les élites de chaque parti. Tous les partis voient en effet s’affronter des agents qui doivent tout ou beaucoup au parti et des agents qui disposent d’autres ressources (postes d’élus solidement tenus, clientèles d’obligés, notoriété locale ou nationale, compétence garantie par un diplôme rare, appartenance à un grand corps). – Les moyens d’action des partis politiques Le temps de la campagne est celui où les partis doivent communiquer sur leurs programmes et définir les enjeux de l’élection de façon à éclairer le cholx des citoyens. Les partis ont donc recours à des techniques d’encadrement et de mobilisation électorale qui combine médias traditionnels (au premier chef la télévision, mais également radio et presse écrite), nouvelles technologies (Internet), et travail de terrain (porte-? porte, organisation de débats publics, distributions de tracts, organisation de meeting ou d’evénement festifs comme la « fête de I’ Huma les « universités d’été » du PS ou de l’UMP). La campagne électorale de Barack Obama en 2008 a articulé ces différentes techniques de façon exemplaire et réussl à mobiliser les électeurs qui ne se 17