La bionique, quand la science imite la nature Les premiers gilets pare-balle ont vu le jour en 1900, au départ ils étaient constitués de soie, cependant le gilet ne pouvait arrêter que des balles lentes tirées par de la poudre noire. L’archiduc d’Autriche, François Ferdinand portait l’une de ses vestes lors de son assassinat le 28 juin 1914, mais la balle qu’on lui avait tirée a atteint son cou. Durant la première guerre mondiale, les États- Unis développèrent un gilet composé d’un alliage de nickel, de chrome et d’acier. Cette armure pouvait arrêter les balles, mais lle était très lourde (18 kg).
Après cela, plusieurs autres gilets firent leur apparition, mais le poids du produit restait toujours un to page problème. Ce n’est q plus léger, mais tout m ce gilet pare-balle est ndu la police. Depuis 1960, l’armée pa le gilet de Kevlar, brant. Aujourd’hui d’é pement standard de uver un moyen de produire de grande quantité de fibres de soie d’araignée pour pouvoir l’intégrer à des gilets pare-balle. L’utilisation de soie d’araignée pour faire des gilets pare-balle rendrait ceux-ci beaucoup plus léger et même plus résistant.
Les scientifiques ont tentés plusieurs méthodes pour produire la soie, à commencer par l’élevage d’arai
Ils ont ar la suite tentés de transmettre ce gène à des bactéries, mais celles-ci diminuaient la résistance de la soie. Ce n’est qu’en 1993 que des chercheurs de l’université McGill découvrirent des similitudes entre les glandes séricigènes des araignées et les glandes mammaires des chèvres. Ils on réussit à créer une chèvre génétiquement modifié qui produit du lait contenant des protéines qui, une fois purifiées, forment de la soie ultra- résistante, très proche de la soie naturelle. Malgré le succès de cette méthode pour créer de la soie artificiel la quantité de oie restait insuffisante.
Récemment une entreprise allemande a trouvé un nouveau procédé qui repose sur l’assemblage des protéines. Avec ce procédé beaucoup plus efficace, la firme allemande a récemment commencé à vendre des protéines de soie d’araignée, mais la fabrication de fibres synthétiques ne devralt débuter que vers 2016. 2 Le gilet pare-balle peut sauver beaucoup de vie. Il protège le thorax, l’a PAG » OF d vers 2016. 2 protège le thorax, l’abdomen et le dos contre le tir d’armes à feu en absorbant l’impact.
Dans ce cas-ci, la fibre de soie ‘araignée serait très utile, car elle est plus de 10 fois plus résistante que l’acier et 3 fois plus que le Kevlar. 3 un des défauts majeurs du gilet est qu’il est lourd, il peut peser jusqu’? 7 kg. L’utilisation de la soie d’araignée permettrait de diminuer radicalement le poids et l’épaisseur de celui-ci, le rendant ainsi beaucoup plus mobile, notamment en enlevant les plaques de métal et de céramique qui servent à absorber le choc des balles. Également, l’utilisation de la soie dans les gilets pare-balle est beaucoup moins couteuse à produire que le Kevlar.
L’utilisation de soie d’araignée dans les gilets pare-balle va avoir de grand impact sur l’équipement militaire moderne. Vu que la soie est un matériau très résistant, tout en étant très flexible, cela va permettre l’invention de nouveaux équipements qui pourrait par exemple recouvrir l’intégralité du corps. Le gilet pare-balle ne recouvre que le thorax, l’abdomen et le dos contre le tir d’armes à feu. Les autres régions du corps comme les bras, les jambes et le visage ne sont donc pas à l’abri de l’impact des balles. Le gilet pare-balle a déjà sauvé la vie de milliers de personnes.
L’incorporation de fibre de soie d’araignée pourrait avoir un gra la vie de milliers de personnes. L’incorporation de fibre de soie d’araignée pourrait avoir un grand impact sur la sécurité de nos policiers, ainsi que nos soldats. Je pourrais relier cette innovation au contexte mondial Innovation scientifique et technique, car ce procédé qui permet d’incorporer à un gilet pare-balle de la fibre de soie d’araignée est un bel exemple de comment l’humain peut interagir avec le monde naturel pour améliorer ses conditions de vie.
Pour créer ce type e gilet, des scientifiques ont dû travailler durant des décennies pour être capable de créer de la soie synthétiques. Ils ont dû utiliser et appliquer leurs connaissances et leur compréhension des principes scientifiques. 920 mots Bibliographie SERGES, Brigitte. Spidermanneke, (réf. du 27 octobre 2014), Le fil de soie d’araignée enfin synthétisé [en ligne], Adresse URL : http://bit. ly/l OvVVlwrn INCONNU. mystere-tv, (réf. du 27 octobre 2014), Les animaux rois de l’architecture [en ligne], Adresse URL : http://bit. ly/1w9AA3x INCONNU. Body Armor, (réf. du 27 octobre 2014), How does armor work?
