L homme qui lutte pour autrui est meilleur que celui qui lutte pour lui m me

L homme qui lutte pour autrui est meilleur que celui qui lutte pour lui m me

LINTZEN KIM 01 mai 2015 Dissertation : « Lhomme qui lutte pour autru est meilleur que celui qui lutte pour lui-même. » Clarence Darrow est né en 1857 en Amérique. Cétait un homme de la loi et il défendait principalement les adolescents. Cet homme a écrit une citation : « L’homme qui lutte pour autrui est meilleur que celui qui lutte pour lui-même. » Le verbe lutter nous révèle une acti but particulier. Cette que l’altruisme, étant bénéfiques à d’autre l’égoiSme.

L’égocentr or 7 ras Sni* to vieu t à chaque fois un us fait comprendre érisé par des actes rtant, meilleur que ne disposition ? arler trop de soi, à rapporter tout à soi ou comme l’attachement excessif à soi-même. Mais l’altruisme est-il vraiment meilleur que l’égoïsme ? Qu’est-ce que cela nous apporte ? Quelles sont les différentes interprétations possibles ? En quoi sommes-nous meilleurs lorsque nous pensons aux autres et pas à nous ? Dans cet ordre, il est pertinent de se demander si, dans la citation proposée, c’est réellement le partage qui nous rend meilleur.

Nous constaterons à travers le fait que, dans un jeu d’équipe, l’altruisme doit être obligatoirement présent si le but est de gagner. Nous verrons outefois

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que ce comportement doit être également existant pour avoir un cer Swlpe to vlew next page certain savoir-vivre dans une société telle que la nôtre. Mais il n’en demeure pas moins que nous nous devons d’être égôlstes pour réussir une compétition seul, pour décrocher un contrat par exemple. Premièrement, lors d’un jeu d’équipe, l’altruisme doit être obligatoirement présent si le but est de gagner.

L’égoïsme dans un jeu d’équipe ne signifie rien du tout, à part peut-être la défaite. En effet, si un joueur, que ce soit au basket-ball ou dans un autre jeu d’équipe, passe tout le terrain en ne faisant aucune asse, il est fort peu probable que ce dernier réussira à aller jusqu’à l’anneau pour marquer. Si par contre, celui-ci joue avec ses coéquipiers, les chances de marquer seront tout de suite beaucoup plus élevées. « On ne peut se permettre de penser qu’à soi si nous visons la victoire.

Nous avons besoin de tout le monde et pour être forts, il faut rester soudé. » nous dit Sloan Privat lors d’une intewiew. Ce dernier joue au football et est plus précisément buteur au SMC Ligue 1. L’altruisme est donc un comportement que les joueurs doivent avoir. Si tout le monde agit de la sorte, tout le monde sera récompensé. Néanmoins, l’altruisme ne sert pas qu’à viser la victoire lors d’un jeu. Deuxièmement, Phumanité est une grande valeur dans la société. Nous sommes obligés d’avoir ce comportement si nous voulons avancer ou se sentir heureux dans ce monde.

Effectivement, abreuvés d’images violentes, confrontés à une société en crise, on PAG » rif 7 monde. Effectivement, abreuvés d’images violentes, confrontés ? une société en crise, on n’imagine pas la force de la bienveillance, le pouvoir de transformation positive qu’une véritable attitude altruiste peut avolr sur nos vies au plan individuel mais également ur la société tout entière. Moine bouddhiste depuis près de quarante ans, Matthieu Ricard, lui, expérimente les vertus de l’altruisme au quotidien.

Au carrefour de la philosophie, de la psychologie, des neurosciences, de l’économie, de l’écologie, le livre « Plaidoyer pour l’altruisme » est la somme d’années de recherches, de lectures, d’expériences, d’observation et de réflexion. Avec le sens de la pédagogie qui le caractérise et toujours en s’appuyant sur des exemples très concrets, l’auteur de « plaidoyer pour le bonheur » démontre point par point que l’altruisme n’est i une utopie ni un vœu pieux, mais une nécessité, voire une urgence, dans notre monde de plus en plus interdépendant ? l’heure de la mondialisation. n essai passionnant, inspiré par un humanisme et une lucidité qui emportent l’adhésion. Toute cette recherche nous fait comprendre que l’humanité est une conduite essentielle pour se sentir bien avec soi-même et avec les autres. Cependant, nous ne devons pas toujours pratiquer de cette manière car, à toujours velller sur les autres, on se ferait un jour ou l’autre piétiner dessus. L’altruisme n’est pas un comportement à avoir lors d’une compétition solitaire. Ensuite, PAGF3C,F7