CHAPITRE 1 : L’ECONOMIE ET SON DOMAINE C’est quoi l’économie ? L’économie est là pour analyser la manière dont laquelle l’homme satisfait ses besoins et avec quelle contrepartie. En tant que sciences humaines l’économie se développe entre le 17ème et le 18ème siècle en Grande Bretagne sous l’air de la révolution industrielle. Ily a des auteurs qui essayent de comprendre les mécanismes de Féconomie nationale (Smith) et surtout de quelle manière les nations s’enrichissent.
Ils vont ainsi proposer des méthodes s’analyse, ainsi que des modèles d’explication et de prévision. I/ ESSAI DE DEFINITIO Les hommes ont des OF p g OMIQUE révéler illimités, pour les satisfaire, les ressources disponibles vont être limitées. = création de la demande et de l’offre et donc du marché et du prix. A. OBJET DE LA SCIENCE ECONOMIQUE : SATISFAIRE LES BESOINS Les individus ont des besoins et l’économie produit des biens et des services pour y répondre. 1.
Les besoins illimités es besoins physiologiques : manger, boire, dormir Les besoins sociologiques : être intégré à un groupe, à une société, appartenir à une famille Les besoins psychologiques : l’homme a besoin d’être reconnu et sont issus d’un processus de production. Ils sont payants et la rareté du
Il/ LES PRINCIPAUX COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE ly a 3 grandes familles de pensée Les classiques : 17 èrne – 18 ème siècles: Adam Smith Les néo-classiques es libéraux contemporains Adam Smith (1723-1790) est le père fondateur de l’économie lassique, son ouvrage « Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations David Ricardo (1767-1832), il a écrit « Les principes de l’économie politique et de l’impôt Jean-Baptiste Say (1767 – 1832), contemporain de Ricardo, il a écrit « Traiter l’économie politique A.
LE COURANT CLASSIQUE Les classiques et leurs idées : 1. La valeur des marchand 0 individuelles et collectives. En outre, il intervient là où le marché est le moins efficace : par ex : les biens publics (infrastructures, voirie… ). Enfin, laisser faire la propriété individuelle, c’est inalement laisser l’occasion à un individu de construire son patrimoine, son capital, on lui laisse le choix d’acquérir (base de l’économie libérale/capitaliste par opposition à l’économie communiste qui est la mise en commun des biens).
Il faut laisser faire le libre échange (la spécialisation des pays en thermes d’échange et au niveau International va augmenter les richesses globales de tous les pays). La somme des intérêts individuels est égale à Pintérêt collectif (classique). Ils vont développer le principe de la « main invisible ». Individualisme : Smith a basé ses différentes analyses sur le ravail du philosophe Hume qui traitait de l’individualisme. Il faut laisser passer la division du travail qui selon les classiques augmentent la productivité.
Ex manufacture d’épingles de Smith. 3. L’offre : c’est le point de départ des théories classiques. pour les classiques si on veut influer sur le niveau de l’économie il faut influer sur l’offre et son niveau : JB Say qui mettra en forme cette théorie en déclarant : crise économique, Hoffre est absorbée par le marché. L’offre crée la demande. 4. La monnaie : pour les classiques la monnaie est neutre et son rôle est de faciliter les échanges. La concurrence pure et parfaire : pour les classiques, l’économie pourra fonctionner à son optimum si les règles de la concurrence pure et parfaite sont respectées, qui sont Atomicité : règles de la concurrence pure et parfaite sont respectées, qui sont Atomicité : offre et la demande importante et de petites tailles (agents éco) Homogénéité : tous les produits sont identifiables avec une qualité et une performance égales (offres).
Fluidité : il n’y a pas de limitation d’accès au marché pour l’offre et la demande. Mobilité : flexibilité des facteurs de production qui peuvent ‘adapter. Transparence : l’information complète sur les conditions de réalisation du produit. Les néoclassiques • walras : 1834- 1910 Pareto : 1848 – 1923 Ils reprennent les idées des classiques en y intégrant certaines nuances, ils affinent l’analyse classique en y intégrant un certain nombre de nouveautés. Elles correspondent à une évolution historique.
Classique : valeurs des choses = le travail néoclassiques valeurs des choses = utilité et rareté Le formalisme de la microéconomie = l’analyse macroéconomique, on analyse les mécanismes économiques ? partir d’un individu. Les individus sont rationnels, ex : le consommateur qui cherche ? maximiser sa satisfaction sous la contrainte du revenu. Satisfaire au mieux ses besoins Smith satisfaire ses besoins. Optimum économique (Pareto) la situation de marché qui permet la meilleure allocation des ressources et la meilleure satisfaction des besoins. 0 général est forcément atteint sur tous les marchés, marchés des biens et services, marché du travail, marché des changes, marché des capitaux (argent) : Marché interbancaire Titres négociables à court terme Bourse : marché des capitaux + marché financier Les libéraux contemporains : Friedrich Von Hayek: 1819 – 1892 Milton Friedman: 1912 – 2005 Artur Laffer: 1941 – Milton Friedman : patron de la banque centrale américaine et prix Nobel en 1976. Von Hayek : « le retour aux vertus du marché ». L’intervention de l’Etat sur les marchés doit se cantonner ? maintenir les règles de la concurrence pure et parfaite.
Jusqu’à la 1ère Guerre mondiale Etat Gendarme 1929 : crise boursière financière et économique à force de spéculation l’économie financière était plus importante que la réelle : bulle (plus de réalité) Crise des entreprises qui a entraîné une crise de la production et onc une crise globale des marchés. Keynes = Etat providence : soutien de la demande, les libéraux vont s’opposer à lui. L’Etat ne doit pas intervenir car il augmente la dette publique et cause une distorsion des marchés. Milton Friedman est un monétariste.
Il s’est intéressé au rôle de la monnaie et à son importance. La quantité de monnaie en circulation dans l’économi étaire à une influence sur IC fiscale Pression fiscale B. LE COURANT MARXISTE Karl Marx (1 818 – 1883), c’est un philosophe il a écrit « le Capital Le cap tal = argent + moyens de production. La richesse vient du travail. ‘analyse marxiste repose sur la critique du système capitaliste qui est fondé sur le marché et sur la propriété privée. Marx dans le capital a mis plusieurs idées en avant et notamment ‘ 1.
La valeur es choses est déterminée par la quantité de travail qui y est incorporée. Conception classique du prix. 2. Le capitalisme engendre des crises à cause de la baisse tendancielle du taux de profit pour maintenir stagnant ou croissant le cap tal, les capitalistes doivent investir dans l’appareil productif et ils vont prendre plus en plus sur les salaires : c’est la héorie des rendements décroissant du capital = obsolescence. Les bénéfices que les sociétés réintègrent dans le capital de l’entreprise amènent à terme une substitution du capital au travail.
Les entreprises se composent de machines et donc d’investissement et d’hommes qui créent la plus-value. Pour Marx il existe 2 classes ui sont opposées dans la société . la classe bourgeoise et la cla 6 0 qui leur permet juste de reproduire leur force de travail : c’est le mécanisme de l’exploitation (pas de perspectives de propriété, d’acquisition). Les crises inhérentes au capitalisme et les conflits de classes onsécutifs à l’exploitation minent le système de l’intérieur.
Celui-ci est voué à sa propre perte : société sans classe d’abord un système socialiste (système transitoire) pour en arriver au système communiste (moyens de production propriété de tous ? travers l’Etat). C. LE COURANT KEYNESIEN John Maynard Keynes (1886 1946). Il démontre l’incapacité des marchés à être en équilibre spontanément et préconise l’intewention de PEtat par des politiques interventionnistes qui auront pour tout daider à la régulation du marché. Analyse macroéconomique : analyse en termes de flux et e circuits économique libéraux et de la microéconomie.
La macroéconomie est une vue d’ensemble alors que la microéconomie ne s’applique qu’à un individu. Le marché a des défaillances, il n’est pas en mesure d’assurer son autorégulation et donc il faut un interventionnisme fort de l’Etat dans l’activité économique et par des politiques économiques appropriées et centralisées. CEtat devient un acteur incontournable tout en restant dans le cadre d’une économie de marché = Etat providence. Il ne croit pas au plein emploi, il ne se réalise pas spontanément, il xiste un chômage involontaire.
Il faut soutenir la demande de consommation par des salaires élevés et arriver ainsi à rel ction pour obtenir une une situation de plein emploi : une demande de biens inférieure ? l’offre des biens et un soutien de la demande = Etat providence LE CERCLE VERTUEUX DE LA CROISSANCE L’Etat peut pratiquer le levier du déficit budgétaire pour mener une pratique de relance (multiplicateur keynésien) Les analyses keynésiennes sont très critiquées depuis les années 80 puisqu’elles butent sur 2 roblèmes : l’inflation qu’elles génèrent et le déséquilibr e extérieur.