L approche psychanalytique

L approche psychanalytique

L’approche psychanalytique Le champ de la psychopathologie Nous sommes toujours confrontés à un être humain et non une maladie. La psychopathologie peut être définie comme une approche visant une compréhension raisonnée de la souffrance psychique. Compréhension : il est important d’être touché, une identification suffisante à sa souffrance ni l’excuser, ni se mettre à sa place, ni le juger mais être capable de ressentir à minima les enjeux de ses comportements et de ses fantasmes en liens avec sa Sni* to View souffrance Raisonnée : possibilit nécessaires à la com Quand quelqu’un so qui bloque. s les éléments à l’intérieur de lui On souffre des restes de la période de l’adolescence, la période infantile et la période [email protected]. 4 marqueurs de la psychopathologie : la durée, la massivité du processus, la nature de l’angoisse et les défenses que le sujet va mettre en place. L’angoisse C’est une peur irrationnelle. Elle traduit un malaise profond, une inquiétude extrême. Elle conserve un éprouvé/ressenti relatif à un danger vis-à-vis duquel le sujet se sent impuissant. Peut être éprouvée par défaut ou par excès. L’angoisse n’est pas toujours pathologique mais peut être liée ? ermettent la fuite ou l’attaque.

L’effroi ou la terreur le danger est

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objectif mais il extraire un phénomène de sidératlon et d’impuissance. La menace est réelle mais la réactivité du sujet est paralysée. L’anxiété est un état affectif caractérisé par un sentiment d’inquiétude, d’insécurité, de troubles diffus physiques et psychiques C’est comme si le sujet était dans l’attente d’un danger indéterminé. II y a des signalisations physiologiques (sensation d’étouffement… ). L’anxieux n’est jamais tranquille. Les différentes formes de l’angoisse . 3 formes d’angoisse : L’angoisse primitive

L’angoisse de différenciation, séparation L’angoisse liée à la différence des sexes angoisse d’aneantissement où les sujets ont le sentiment d’être désintégrés. Eprouvés précoce qui appartient à runivers des bébés et génère la construction des 1 ères défenses (les enfants qui s’agrippent… ) Chez les BB c’est naturel, l’environnement le contient. Cela devient pathologique lorsque ces angoisses perdurent jusqu’à rage adulte expériences de détresses extrêmes ou agonie sans fin. Angoisse de morcèlement le sujet à la sensation qu’il se défragmenter, de se démembrer, à partir en morceaux qui enace de se casser.

I n’y a plus d’image du moi unifié Ex : une fracture de la jambe. PAG » OF d processus de différenciation et de séparation Angoisse de perte : angoisse de perdre Pobjet/ l’autre sur lequel on s’appuie ou de perdre l’amour de l’autre. Angoisse d’abandon Angoisse d’intrusion : normal à l’adolescence Angoisse de castration : qui peut avoir plusieurs formes Sentiment de culpabilité, de ne pas être à la hauteur. Angoisse de pénétration : peur d’être pénétré par l’autre. Peur de perdre quelque chose de nous : nos pensées. Sensation d’être transparent, nu. Les défenses

Les défenses sont organisées par le moi pour se protéger. C’est lorsque les défenses s’effondrent que le sujet se décompense on parle de décompensation. 1 ère défense liée aux agonies primitives : • L’agrippement, le cramponnement. Le sujet s’agrippe à une personne parce qu’il lutte contre la décompensation. • Forme d’autlsme le démantèlement permet de utter ? l’anéantissement désorganisation. L’autiste coupe tout contact avec la réalité. Il va s’accrocher ? une forme sensorielle (odorat) désorganisation des modalités sensorielles. Le sujet va se fixer à une s nsorielle (Le Parfum —